Discours De Kennedy

million de vietnamiens, surtout des enfants. « Bobby qu’on assassine » nous renvoie à l’assassinat de Bobby Kennedy (Robert Francis Kennedy Junior) le 6 juin 1968, le soir de sa victoire au primaire de Californie, il a combattu, comme son frère, pour l’égalité de tous, la justice sociale, il s’engagera pour les droits civique de tous. Il se prononcera contre la peine de mort. Dans son discour de 1963, il le commence par « I have a dream » « Panthère noire traquée » fait référence a la traque subit

de la honte » et dénoncent le totalitarisme et les affronts au droit de l'Homme de l'URSS. Le président Kennedy prononce ainsi, le 26 Juin 1963, la phrase « ich bin ein berliner » qui montre le soutien des États-Unis aux habitants de l'Allemagne de l'Ouest et notamment aux Berlinois, enclavée dans les territoires communistes de la RDA. Ce discours est considéré comme l'un des meilleurs de Kennedy et comme un moment fort de la guerre froide. Berlin et l'Allemagne sont donc plongé dans un monde bipolaire

neuf élèves noirs d'entrer en sécurité et poursuivre leur scolarité dans le lycée central de Little Rock. 35 John F. Kennedy 1961 1963 Démocrate Ancien représentant et sénateur du Massachusetts, il est élu de justesse face au vice-président sortant Richard Nixon. Premier président catholique, il est également le plus jeune président élu des États-Unis. Entamé par le discours sur la Nouvelle Frontière, son mandat est marqué sur le plan international par le débarquement de la baie des Cochons

congressionnel. Le congrès est composé de deux chambres: la chambre basse qui est la chambre des représentants, composée de 435 représentants. Et la chambre haute qui est le sénat composé de 100 sénateurs, celle-ci est la plus prestigieuse, en effet John Kennedy la définissait comme «le club le plus fermé du monde». Le congrès est doté du pouvoir législatif selon l'article 1 de la Constitution. Ses 535 membres sont élus au suffrage universel direct et siègent au Capitole, à Washington. Ainsi, contrairement

limites à la coexistence pacifique, et se solda par le retrait de l'URSS en échange d'une concession publique et de deux promesses confidentielles accordées par l'administration Kennedy. La résolution de cette crise ouvrit la voie à une nouvelle période de la guerre froide, la Détente. Question 5 : Le discours de Kennedy après la mort de Trujillo et la carte des guérillas et coups d’Etat préventifs en Amérique Latine dans les années 1960, nous permettent de comprendre quelle fut la politique des

(Staline) se “partagent” l'Allemagne qui sera divisée en 4 zones d'occupation. Mais très vite les anciens alliés rentrent en rivalité: => 1946: Discours de Fulton où Churchill dit que l'Europe est divisé en deux par un "rideau de fer" (Europe Est - Europe Ouest) => un monde bipolaire : 2 camps Bien que Churchill ne soir plus 1er ministre, son discours marque le début de la Guerre Froide. Les USA qui se veulent le leader du "monde libre" défendent la démocratie, la liberté individuelle, les droits

la honte » et dénoncent le totalitarisme et les affronts aux droits de l'Homme de l'URSS. Le président Kennedy prononce ainsi, le 26 Juin 1963, la phrase « ich bin ein berliner » qui montre le soutien des États-Unis aux habitants de l'Allemagne de l'Ouest et notamment aux Berlinois, enclavée dans les territoires communistes de la RDA. Ce discours est considéré comme l'un des meilleurs de Kennedy et comme un moment fort de la guerre froide. Berlin et l'Allemagne sont donc plongés dans un monde bipolaire

Martin Luther King est à la tête de la marche sur Washington pour le travail et la liberté. Devant 250 000 personnes, il prononce son célèbre discours connu sous le nom « I have a dream » (« Je fais un rêve »). Il appelle de ses vœux un pays où chacun partagerait les mêmes droits dans la justice et la paix. Il sera ensuite reçu par John Fitzgerald Kennedy. En 1964, il reçoit le prix Nobel de la paix après avoir rencontré Willy Brandt et le Pape Paul VI. Il est alors une figure mondiale. LYDIA

organise et dirige des actions tel le Boycott des bus de Montgomery pour défendre le droit de vote, la déségrégation et l'emploi des minorités. Il prononce un discours célèbre le 28 août 1963 devant le Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l'emploi et la liberté : « I have a dream » (Je fais un rêve). Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la discrimination raciale ; la plupart de ces droits seront promus par le « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act » sous la présidence

provoque la séparation des familles berlinoises qui doivent avoir un visa pour passer dans l’autre partie de la ville. Deux ans après la construction du mur, en juin 1963, le président américain John Kennedy se rend à Berlin et y prononce un discours célèbre « je suis berlinois ». Par ce discours, Kennedy affirme que la construction du mur est la preuve de l’échec du communisme, puisqu’il a été construit pour empêcher la fuite des Allemands de l’Est vers l’Ouest. Ce mur est le symbole de la coupure