Discours De Kennedy

aLa crise de Cuba (1962) 1) Les acteurs principaux de cette crise sont : -Nikita Khrouchtchev qui était à la direction du parti communisme de l’URSS. -Fidel Castro qui était un opposant au régime de Batista. -John Fitzgerald Kennedy qui était le président des Etats Unis. 2) L’histoire : Dans les années 1950 Cuba est un Etat independant dont Batista est le dictateur de Cuba. A partir de 1956 Fidel Castro mène une revolution contre Batista qu’il renverse en janvier 1959. A l’origine nationaliste

Sujet 1 : Analyser la mise en scène du discours d’un Président américain Rendez-vous sur le site de l’Ina à l’adresse http://www.ina.fr et tapez sur la barre de recherche : « Ich bin ein Berliner ». Vous pourrez visionner un extrait du discours prononcé par John Fitzgerald Kennedy dont nous vous donnons la traduction française ci-dessous. En tapant ces mêmes mots sur votre moteur de recherche, vous trouverez des vidéos vous permettant de visionner le discours dans son entier. « Je suis fier d’être

Histoire de l’Europe au 20ème siècle15 dates – Guerre Froide :5 mars 1946 :Le 5 mars 1946, Winston Churchill prononce un discours, quelques mois après la défaite électorale du parti conservateur en juillet 1945, au lendemain de la victoire, au Westminster College de Fulton, se situant à l’État de Missouri aux États-Unis. En présence du président des États-Unis, Harry S. Truman, ce discours est resté célèbre par la dénonciation du « Rideau de fer » qui s’est abattu de Stettin à Trieste, de la Baltique à

Editions Hatier Le discours de J. F. Kennedy à Berlin-Ouest le 26 juin 1963 Document : Extraits du discours prononcé par le président J. F. Kennedy, sur la place de l’Hôtel-de-Ville à Berlin-Ouest, le 26 juin 1963 Je suis fier d’être venu dans votre ville, invité par votre bourgmestre régnant. Votre bourgmestre symbolise aux yeux du monde entier l’esprit combattant de Berlin-Ouest. Je suis fier d’avoir visité la République fédérale avec le chancelier Adenauer qui durant de si longues années a

Winston Churchill et John F. Kennedy sont des hommes politiques qui ont joués tout deux des rôles importants dans la Guerre Froide. D’un côté, Churchill, le 63e Premier ministre du Royaume-Uni et de l'autre, Kennedy, le 35e président des États-Unis. Ils ont tous deux eu une grande influence sur le 20e siècle et le 2ie siècle, cependant lequel des deux acteurs a davantage marqué la Guerre Froide, de 1945 à 1991? En se basant sur leurs actions posées pour contribuer à cesser la Guerre ou bien les événements

Q ui a assassiné Ke nnedy ? Le 22 novembre 1963, John Fitzgerald Kennedy, qui effectue une visite à Dallas, est assassiné, officiellement par Lee Harvey Oswald. Un documentaire allemand affirme que John Kennedy a été assassiné à Dallas par Lee Harvey Oswald sur ordre des services secrets cubains. C'est la thèse du film de Wilfried Huismann intitulé "Rendez-vous avec la mort" qui doit être présenté vendredi 6 janvier sur la chaîne publique ARD. Ce film relance donc la théorie du complot castriste

ses fonctions le 20 janvier de l’année qui suit. Dans les années 60, c’est le président John Fitzgerald Kennedy qui dirige cette grande puissance, il prend ses fonctions en 1960. C’est un homme catholique, issu d’une famille irlandaise. Il sera assassiné trois ans après le début de son mandat, le 22 octobre 1963. Lui succède son vice-président : Lincoln Johnson qui poursuivra les démarche de Kennedy. Il envoi les hommes pour la guerre du Vietnam. A la fin de son mandat, en 1969, Johnson est haïe.

dimension symbolique             --> L'activité politique repose sur la production de symboles, notamment par les actes             --> L'activité politique repose également sur le langage ::::: c principalement le langage, c la capacité à utiliser le discours pour arriver à ses fins. Avec le langage on peut réécrire le monde             --> La politique n'est donc pas seulement un univers de force mais aussi un univers de signes             --> Le langage porte en lui une représentation du monde, des

doctrine En 1946, lors d’un discours tenu à Fulton, dans le Missouri, Winston Churchill (biographie p. 371) met en garde contre l’expansion soviétique qui a conduit à installer un «rideau de fer » coupant l’Europe de la Baltique à l’Adriatique. Attention ! Ne pas confondre le « rideau de fer » et le « Mur de Berlin (1961-1989)». Le « rideau de fer » décrit une frontière fermée où les communications ne passent plus, PAS un mur « physique ». En 1946, lors d’un discours tenu à Fulton, dans le Missouri

celle de « l’indépendance graduelle » (1957-1960) puis à partir de 1960, une politique destinée à conquérir l’amitié des nouveaux États africains. Avec beaucoup de pragmatisme, l’Administration américaine renoue durant cette dernière période avec les discours insistant sur le passé anticolonialiste de l’Amérique, premier pays à avoir mené une guerre d’indépendance. Cependant, concrètement, les Américains continuent à privilégier les liens avec leur allié français, à tel point que l’on peut évoquer l’idée