Discours de la servitude volontaire

texte : Machiavel: Theorcicien politique , historique. Contexte d'un Italie troublee , A Florence , sous Laurent de Medicis. "Le" prince : C'est LE modele . Plan : I) Un texte argumentatif efficace : a) Le theme choisit et la forme du discours : Plusieurs paragraphes+ connectuers logiques pour definirL'art de Gouverner: Necessite (champs lexical+verbes )= obligation↔Force+Fainte+Ruse Enonciateur Present + Marques de jugement(rien n'est plus vrai,surtout) b) Les etapes du raisonnement

baccalauréat à 13 ans. Meilleur ami : Étienne de La Boétie, écrivain humaniste et poète français, écrit ce texte à l’âge de 18 ans. Discours sur la servitude volontaire : les dictateurs restent au pouvoir car il y a toujours des personnes qui les soutiennent. Ce texte est une incitation à la liberté, contre la tyrannie. Le peuple est un esclave volontaire, et le roi est puissant, par le pouvoir que le peuple lui donne. Citation : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. » (Montaigne

de l'autorité d'un maître. Puis nous verrons de quel type de maître l'homme a besoin et qu'il ne s'agit par forcément d'une servitude dans le rapport entre le maître et celui qui lui obéit. Les hommes sont libres et autonomes. Ils n'ont pas besoin de l'autorité d'un maître. Certains philosophes défendent cette idée notamment Rousseau dans , Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, écrit : "Il est donc incontestable, et c’est la maxime fondamentale

Cette liberté a, plus tard, été étendue à l’ensemble des hommes. La Boétie affirme que pour avoir la liberté, il suffit de la désirer ; il se pose alors la question de savoir pourquoi les hommes choisissent l’asservissement, ce qu’il appelle la servitude volontaire. Quant à Rousseau, il défend l’idée que l’homme est de manière fondamentale un être libre ; la liberté politique doit viser à garantir la liberté individuelle. En ce sens, aucune forme d’esclavage ou d’oppression ne peut être légitimée. Dans

Nous allons vous présenter dans un premier temps les points communs et les différences des trois textes, ensuite en quoi ils constituent un appel à la liberté. Le premier texte, Discours à la servitude volontaire fut écrit par Étienne de la Boétie en 1576. Le deuxième texte est un article appelé « Liberté de penser » du Dictionnaire philosophique écrit par Voltaire en 1764, et le troisième texte est La religieuse écrit par Denis Diderot en 1796. Ces trois textes on un point en commun. Ils défendent

que, pendant que tu te permets tout, tu eusses le droit d’affliger tous mes désirs ? Non : j’ai pu vivre dans la servitude ; mais j’ai toujours été libre : j’ai réformé tes lois sur celles de la nature ; et mon esprit s’est toujours tenu dans l’indépendance. Tu devrais me rendre grâces encore du sacrifice que je t’ai fait ; de ce que je me suis abaissée jusqu’à te paraître

tenté à croire que nos actes (sois ce qui definie le plus une personne) étaient dictés par Dieu ce qui prouve qu'on pensait déjà que l'homme n'était pas libre. -On pourrait aussi parler de La Boétie qui explique clairment dans Le Discours de la Servitude Volontaire qu'on est partagé entre l'inné ou "la nature" comme il dit et "l'éducation", il affirme ensuite en illustrant par des exemples clairs et variés que l'éducation prend le dessus sur la nature. -Deplus, Jean François Dortier qui dans

la gestion de ses propriétés à sa femme. Par contre, très au fait des humanités grecques et par conséquent du Banquet de Platon, il était fidèle ami d'Etienne de La Boétie : à l'origine, il avait écrit les Essais comme écrin pour le Discours de la servitude volontaire de son meilleur ami, qui y faisait l'éloge de l'amitié contre la corruption du pouvoir et des courtisans. Il fréquente la Cour jusqu’à la mort de son père en 1568. Il peut alors vendre sa charge et se retirer dans ses terres pour se

Rousseau et à son Contrat social, à Kant et ses Fondements de la métaphysique des mœurs ou encore à son opuscule Qu’est-ce que les Lumières ? à Schelling et ses conceptions de la liberté, à Spinoza et son Ethique, à La Boétie et son Discours de la servitude volontaire mais aussi à des auteurs plus contemporains comme John Rawls et sa Théorie de la justice…Pensez enfin aux Fables de la Fontaine, qui sont toujours une source d’enseignement philosophique (« Le Chien et le Loup », par exemple…) La

finir, nous verrons la maitrise du discours de Don Juan. Dans cette tirade, Dom Juan expose sa vision de l’amour. Après avoir vivement critiqué la fidélité, il fait l’éloge de l’inconstance, puis compare ses conquêtes amoureuses à des conquêtes militaires. Ce passage s’ouvre sur une vive critique de la fidélité. La fidélité est dénoncée par Dom Juan comme un emprisonnement, une servitude volontaire. On relève des verbes faisant référence à la servitude et à la contrainte : « qu’on se