Discours Humoristique

I) La satire d’une coquette 1. La duplicité de Cléanthis 2. La duplicité d’Euphrosine 3. Le rôle de Trivelin II) La représentation de la contestation sociale 1. La mise en abyme 2. Le spectacle 3. Le discours polémique Plan Syntaxique I ) La satire d’une coquette 1. La duplicité de Cléanthis Dans cette scène, la prise de parole est plus grande chez Cléanthis. Nous serons, ici, face à l’épreuve du portrait. Dans la première prise de parole de celle-ci, nous pouvons remarquer la présence

présentatifs (« C’est…qui ») qui soulignent le caractère emphatique du discours -présent de vérité générale -formules sentencieuses : « Qui en choque un, se les attire tous sur les bras » -questions rhétoriques -référence implicite à la cabale des dévots =>accentue la portée de sa démonstration II.Un éloge paradoxal a.Eloge de l’hypocrisie (du vice) Mise en relief : -par l’usage de tournures impersonnelles qui simule un discours moral : « C’est ainsi qu’il faut profiter… » -par un ton appréciatif :

cette fable met en scène les apparences de la force et de la fragilité humaine ? Développement I) Le récit d’une dispute arbitrée par le vent A) Deux argumentations opposées sur la résistance au vent Chêne :se moque de la fragilité du roseau(discours direct et se vante de sa résistance :c’est la faute de la Nature Roseau :-prend la parole au v.18 ; fait une concession avec le mot compassion (diérèse) -a partie du v.20 le rapport de force est inversé ; de plus, le roseau connait

L'homme qui rit, Victor Hugo Ursus → auto-représentation de l'auteur = clé[*] possible du personnage mais pers. = plus que le modèle réel. Le discours social d'Ursus ressemble à celui de V. Hugo Hommes de savoir U. = intellectuel, « philosophe », ancien précepteur d'un Lord mais a été EXILÉ à cause de ses idées . = être inentendu // V. Hugo → appel à l'INSURRECTION après le coup d'état de Napoléon III U. = petit créateur ex nihilo Il a écrit une pièce de théâtre

le changement. Paris, Dunod. 2004 Ghiglione Rodolphe, Matalon Benjamin . Les enquêtes sociologiques. Théorie et pratique. Paris : Armand Colin, 1998 Jean Marie Floch : Identités visuelles, Paris, PUF, 1995 J Fontanille : Sémiotique du discours, Limoges PULIM,1998 Martin Henri-Jean. Histoire et pouvoirs de l'écrit. Paris : Albin Michel, 1996. 536p. Vaittraino- Soulard Marie-Claude. Les enjeux culturels d'Internet. Hachette éducation, 1998. Pierre Zémor, La communication publique

I) Justification du libertinage : un éloge paradoxal 1) Une argumentation construite ( deux arguments principaux étayés de petits arguments et d'exemples de son expérience personnelle) 2) Eloquence du discours ( Passion et exaltation du discours avec la gradation, les hyperboles et le rythme des phrases, Dom juan se met lui même en valeur avec la comparaison avec Alexandre et la volonté de se faire passr pour une victime courageuse) 3) En quoi est-ce un éloge paradoxal? ( Eloge

D’autre part, la violence est intrinsèquement liée au discours politique. P. Boucher dénonce cet accouplement qui peut-être facteur de manipulation, le but étant d’intensifier le sentiment de peur de la population. Maurice Cazaux rejoint justement le premier auteur au niveau de cette jonction. Effectivement, l’approche quantitative qu’il formule au sujet des dégradations des biens publics met en exergue le fait que le vandalisme lié au discours politique ne cesse d’augmenter. Par ailleurs, il évoque

romancier. Plan détaillé : I La peinture sociale et la critique de la justice 1. Le point de vue adopté Jeu de points de vue avec un narrateur omniscient et un point de vue interne : accès aux pensées de Julien : « Pleurerait-elle, par hasard ? », discours à la première personne. Le narrateur décrit les circonstances, romanesques, du procès qui se termine durant la nuit : « Minuit sonna ». Une hyperbole souligne la tension qui règne dans la salle (et dans la ville) : « au milieu de l’anxiété universelle

sur les sentiments, les références communes, l'implicite. C'est agir sur sa sensibilité par différents procédés stylistiques et oratoires, que l'on nomme la rhétorique (art de composer et d'orner un discours). Pour persuader efficacement il faut: 1- Bien connaître le destinataire et adapter son discours à ce qu'il est (ton, niveau de langue, valeurs) 2 – Utiliser des procédés rhétoriques : - Implication du destinataire grâce à l'énonciation (jeu des pronoms: tu, vous, nous) - Recours à la modalisation

royaume, décadenceDénonciation de la corruption : * Voc du « vol », société entière corrompue, conséquences néfastes corruptionAttaque contre les nobles : * Exorde ironique, nobles ne sont pas patriotiques, ne sont pas fidèles au roi | II. Un discours poétique et polémique :Alternance entre constats objectifs et attaques directes : * Constats objectifs, attaque par les pronoms « vous »/ »je », recours à l’ironie Les éléments épiques et lyriques : * Personnifications et allégories, Espagne