Le chêne et le roseau-la fontaine
Intro :
-bio de la fontaine
-définitions
-paratexte
-fable : pour mieux dénoncer car au 17è siècle pas de liberté d’expression
-personnages : animaux ou végétaux dans ce cas
-PB : Comment cette fable met en scène les apparences de la force et de la fragilité humaine ?
Développement
I) Le récit d’une dispute arbitrée par le vent
A) Deux argumentations opposées sur la résistance au vent
Chêne :se moque de la fragilité du roseau(discours direct et se vante de sa résistance :c’est la faute de la Nature
Roseau :-prend la parole au v.18 ; fait une concession avec le mot compassion (diérèse) -a partie du v.20 le rapport de force est inversé ; de plus, le roseau connait déjà la fin « Attendons »
B) Le rôle du vent
Personnification du vent, le récit s’accélère sur la fin du texte (octosyllabes, verbes d’action) qui mènent à la mort du chêne
II) Deux personnages inégaux
A) Une double opposition physique
Taille : grandeur(hyperbole) et petitesse(arbuste) : antithèse Roitelet(petit oiseau) et pesant fardeau ..Le roseau ne résiste pas au moindre vent
Souplesse/rigidité :le roseau est souple (voir verbes) tandis que le chêne est rigide(énumération) envers la nature positive=soleil ET négative=tempête
B) Une double opposition intellectuelle
Orgueil/modestie :le chêne se croit invincible(verbes) morale implicite: il ne faut pas être prétentieux ; le roseau fait preuve d’humilité, réponses courtes, niveau de langage plus courant que le chêne (roitelet, Caucase, fardeau)
Aveuglement/lucidité
Le chêne généralise hâtivement et se trompe ; il ne parle que du roseau et s’oublie) tandis que le roseau est prudent par rapport à l’avenir(nous)
Conclusion :Le chêne est le plus fragile les hommes les plus puissants en apparence ne le sont en fait pas . 17è s= royauté ; il faut faire comme le roseau être souple(d’esprit) et non rigide comme le