Discours Léon Blum 6 Septembre 1936

américaine, et ayant été à l’initiative de la construction européenne. I- La République (1936-1962) Dans l’entre-deux-guerres, la IIIe République, régime parlementaire installé en France depuis 1870, dirige un pays victorieux mais fragilisé. La France apparaît comme une grande puissance mais doit faire face à une violente crise économique et sociale qui débouche sur une crise politique, en partie résolue en 1936 par l’arrivée au pouvoir de la gauche et la formation du gouvernement du Front populaire

d'instruction publique que du point de vue des libertés et de l'épanouissement d'une société démocratique. La Troisième République remporte la terrible épreuve de la Grande Guerre, mais elle succombe à la défaite militaire du 10 mai 1940. Proclamée le 4 septembre 1870, deux jours après la défaite militaire de l’Empire à Sedan, la République s’installe dans des conditions difficiles. Encore en guerre contre l’Allemagne, au printemps 1871, elle réprime l’insurrection de la Commune de Paris. Son avenir est alors

du IIIe Reich. Quelles ont été les différentes phases qui ont rythmés cette période de « décadence » qui a abouti, le 3 septembre 1939 à la déclaration de Guerre ? Trois phases bien distinctes rythment cette marche à la guerre. Premièrement, de 1933 à 1935, où les premières tentions apparaissent ainsi que les premières prises de positions des démocraties. Ensuite, de1935 à 1936, la premiers front apparaissent, les crises s’intensifient et les premières alliances apparaissent : la guerre et proche

l’Allemagne, de l’Espagne ou de l’URSS), est le maintien, quoiqu’il arrive, d’un système représentatif, donc la victoire, espérons-le, définitive, du suffrage universel. Toutes les tentatives avant 40 de déstabilisation de la démocratie libérale (notamment le 6 février) ont échoué, et on peut même avancer que la seule véritable tentative, le régime de Vichy, échouera également à « étrangler la gueuse ». Mais la République de 1918, qui a été capable de s’unir dans « l’Union sacrée » est-elle en perte de repères

le socialisme français n’est pas un vrai socialisme, seulement le dernier avatar du radicalisme : pas de structure social-démocrate (pas d’enracinement ouvrier, pas de lien avec les syndicats). Mais une telle définition minimise l’importance du discours de la SFIO : Pourquoi le socialisme aurait-il mis autant d’acharnement à se distinguer des radicaux et à éviter le pouvoir s’il était seulement réformiste ? Pourquoi a-t-il toujours condamné toute dérive gestionnaire ? Pourquoi a-t-il cherché

* La grande dépression va être symbolisée par une crise économique. Les secteurs principalement touchés par la chute des prix sont les produits agricoles, l’automobile… Et ce dès 1929. Mais c’est la dévaluation de la livre sterling en septembre 1931 qui va marquer cette crise en France. L’Angleterre n’est pas la seule à dévaluer sa monnaie, de nombreux pays vont se voir contraints de dévaluer la leur, comme le Japon. C’est un enchainement de catastrophes économiques : le commerce extérieur

vieilli mais aussi parce que le souvenir n’était pas nécessairement bon. Elle était synonyme de crise (des années 30) et mal aimée. Mais finalement c’est la IVe qui sera la plus mal aimée. I. L’enracinement de la république : 1870-1914 Le 2 septembre 1870, c’est la défaite de Sedan, dû à un manque de prudence de Napoléon III peut-être. Mais l’Empire ne paraissait pas menacé et on ne s’attendait pas à sa chute, les plébiscites montrant que le régime était solide. La chute a été rapide à cause

l’Allemagne, de l’Espagne ou de l’URSS), est le maintien, quoiqu’il arrive, d’un système représentatif, donc la victoire, espérons-le, définitive, du suffrage universel. Toutes les tentatives avant 40 de déstabilisation de la démocratie libérale (notamment le 6 février) ont échoué, et on peut même avancer que la seule véritable tentative, le régime de Vichy, échouera également à « étrangler la gueuse ». Mais la République de 1918, qui a été capable de s’unir dans « l’Union sacrée » est-elle en perte de repères

Dolores Ibárruri en 1978. | Fonctions | Secrétaire générale du Parti communiste d'Espagne | 1942 – 1960 | Prédécesseur | José Díaz | Successeur | Santiago Carrillo | Députée des Asturies | 26 février 1936 – 2 février 1939 | Députée des Asturies | 13 juillet 1977 – 2 janvier 1979 | Biographie | Nom de naissance | Dolores Ibárruri Gómez | Date de naissance | 9 décembre 1895 | Lieu de naissance | Gallarta

  Le Front Populaire 1936-1937 Les élections du printemps 36 ont constitués une expérience politique fore car pousse la gauche socialiste au pourvoir. Dans ce climat de grande turbulence depuis 1930, cette élection constitue une sorte d’horizon d’attente important on espère que ça va changer la société. cela explique aussi que la FP a été aussi un moment d’euphorie dans le monde ouvrier (agricole et industrie) et aussi dans le monde des employés. On voit donc la charge émotive de ces élections