Discours Poincaré

éloquent, qui organise ses idées et qui les expose clairement. Séance 2 : présentation des objectifs de la séquence et notions de l’éloquence et de la critique sociale. I. L’éloquence L’éloquence est l’art de bien parler : c’est elle qui rend un discours ou un orateur persuasif. Cette capacité de persuader et de convaincre, qui pousse l’auditeur ou le lecteur à adhérer aux propos de l’auteur ou de l’orateur, peut être mise au service de causes ou d’engagements dont les enjeux varient selon les époques

qui sont exposées dans la pièce. Sous la plume d’Anne, le public découvre comment chaque émotion est amplifiée lorsque vécue en cachette. L’arrivée d’un nouveau compagnon de chambre, les visites secrètes de Miep Gies, un premier baiser ou même un discours politique à la radio sont suffisants pour redonner la joie aux annexés. Bien sûr, les huit personnages ne concordent pas sur tous les sujets. La cohabitation des deux familles et du dentiste fait naître plusieurs disputes dans l’Annexe, incluant

et analyse I) Anecdote illustrant 2 leçons V.1 à 45 : ⇒ discours explicatif, emploi du présent de vérité générale et de la 1ère personne, ⇒ poésie didactique, 1ère leçon ⇒ les sens sont fiables ‘ils sont corrigés par la raison. V.42 à 54 : ⇒ récit qui développe le titre, emploie du passé simple, et 3ème personne, ⇒ anecdote inspirée d’un fait réel avec un personnage héros : Charles II qui découvre le mystère de la bête V.54 à 72 : ⇒ discours personnel du fabuliste, ⇒ 2ème leçon ; emploie du futur

pas d'accord. I. "Comment ça marche ?" 1. S'impliquer dans son discours Le principe de l’argumentation réside dans la conviction de son auteur qui revendique la paternité des idées exprimées, notamment à travers : • le système d’énonciation On recourt fréquemment à la 1ère personne, indice de la présence du locuteur dans la phrase et des propos tenus. Du fait de cette présence forte de l'auteur, le texte argumentatif relève du discours (qui est à l'initiative du locuteur) et non du récit (qui est

Commentaire de texte : Discours sur la misère, Hugo, 1849, lignes 14/51 Au cours du XIXe siècle, de nombreux régimes politiques se succèdent après une vaste période révolutionnaire. La littérature se développe grâce à de nombreux courants comme le Romantisme, le Réalisme, le Naturalisme ou encore le Symbolisme. Parmi ces derniers, certains auteurs se sont démarqués comme Victor Hugo. Celui-ci s’est souvent battu pour l’égalité entre tous comme dans le Discours sur la misère parut en 1849. L’auteur

Emphase toute particulière sur la dernière parole : exclamation, interjection, interpellation + didascalie hyperbolique "comme par admiration" 2) Un monologue introspectif "je" sur les 12 premières lignes. Puis, quand le discours s’enflamme ("relevant la voix")=> 2e personne, interpellations qui marquent le dédoublement. Argumentation adressé à soi-même : interrogations rhétoriques, passant par les négatives, alternant avec jugement de soi-même : "tu es bien

apprivoisée ou sécularisée. Pourtant, aussi conditionnés que nous puissions l’être par le bourdonnement des radios et des télévisions, il y a un moment où la situation nous dérange, où nous éprouvons comme le besoin de nous affranchir de cette abondance de discours. Le rapprochement entre la méfiance du peuple primitif envers les dires du druide et la défiance de l’individu actuel envers la communication est un rapprochement quelque peu grossier et rapide, mais il permet de stigmatiser un même phénomène aux

littéraire auquel appartient l’extrait. b) La forme. De quel genre s'agit-il? Quelle sorte de vers est employée? Y a-t-il des variations, ou des vers qui sont différents? Est-ce une forme fixe? S’agit-il d’un extrait de pièce de théâtre ? D’un discours narratif ? c) Qu'est-ce qui se passe dans le passage? Quelle est la fonction du passage dans le texte complet? 2. La deuxième étape consiste à déterminer la manière dont le sujet est présenté dans l’extrait donné : C’est pendant

Pour répondre à cette question nous nous proposons d’analyser dans un premier temps la solitude du personnage, puis nous verrons que son statut héroïque nait d’une évolution dans son discours qui passe par la tentation de la métamorphose. ANALYSE I/ La solitude radicale et tragique de Bérenger A) Un discours particulier : le monologue Le recours au monologue est ici justifié par l'évolution du « drame » qui a conduit à la métamorphose progressive de tous les personnages. Bérenger est le

la mort de son amant - Le V e acte clôt donc la pièce par un jugement, le jugement du héros - ce dernier acte, Corneille s'est lui même reproché qu'il soit « tout en plaidoyers », « et ce n'est pas là la place des harangues et des long discours » ajoutait -il mais il met ici en scène l'une des problématiques-clé de la tragédie : celle du jugement du héros tragique - Comment juger le héros tragique ...? En quoi le texte de Corneille respecte-t-il le déroulement habituel du jugement