Discours Poincaré

plaide-t-il pour le genre de l’apologue à travers « Le Pouvoir des Fables » : en effet, à travers une argumentation indirecte, le fabuliste fait transparaître la valeur politique de la fable, ainsi que sa valeur morale. En raison de sa qualité de discours narratif à visée argumentative, nous pouvons tout d’abord définir que cet apologue plaide auprès de quelqu’un : en l’occurrence, Monsieur de Barillon, « l’Ambassadeur », à qui est dédié cette fable. Respectant les règles de bienséances de son temps

apparaît clairement que le Vlaams Blok a un discours qui se réfère énormément au peuple même si les autres partis en parlent, mais de manière plus générale. Ensuite, ils ont tenté de calculer le degré de « thick populism » en développant un index montrant le niveau de contestation envers les élites ; ils ont analysé le taux de propos anti-Etat, anti-politique, et anti-média dans les différents PPB. Suite à leurs calculs, ils en ont conclu que ce genre de discours était omniprésent chez le Vlaams Blok

pourtant déclarée ce mois de septembre 1791, alors que certains se mettent à vouloir la République. C'est donc dans ce climat de réaction répressive, de défiance envers la monarchie que O rédige cette déclaration et cet épitre qui révèle l'ambiguïté du discours politique de son auteur. De le ligne 1 à 17, O revendique son langage libre et son non respect des conventions et rappelle à la reine qu'elle a pris sa défense dès le début de la Révolution et le fait qu'elle ait pris sa défense l'autorise à lui

surcroît d'affliction» = allitération en S → surligne la souffrance fin des vers en [u] et [i] = sonorités aigües -> renforcer la souffrance → souffrance -> ostentation de la douleur = spectacle 2.«terrible» + virgule → souligne la cruauté du Roi discours direct + «terrible»→ renforce la rage du Roi “Salomon”= sagesse → contrairement au Roi 3. champ lexical de la divinité «apothéose» «saints» «profanes» «miracle» «mânes» «sacrés» «Dieux»→ omniprésence du Roi «ses prévôts» «sa province» = marques

+ dialogue + discours rapporté. Au début : récit. Utilisation de la 3ème personne, du passé simple et de l’imparfait : présentation rapide de la rencontre Dialogue entre Candide et l’esclave : cf guillemets, tirets, propositions incises ; au début échange rapide de questions et réponses puis long discours de l’esclave. A l’intérieur du discours, discours rapporté : celui de la mère. Le discours de l’esclave tend à se transformer en récit (passage au passé) puis retour au discours. Récit rétrospectif

l'écrivain est ainsi formulé en opposition à un « autre » et un « ailleurs » dont on pourrait dessiner les contours dans l'interview. 2. « Algérienne », « arabe », « musulmane », forment trois mots liés ou plutôt enchâssés jusqu'au plus profond du discours politique algérien (« l'Algérie est arabo-musulmane », etc.) mais, tout au long de l'interview, ils vont dessiner trois paradigmes de plus en plus discutés, controversés, travaillés ou investis par les différents mouvements qui, depuis les années

| |Etudier les Formes de Discours |Deuxième question (4 points): | |Relis le passage suivant : « Un hiver […] il vola » (L. 6 à 9). Quel |Etudiez les formes de discours présentes dans ce texte. Votre réponse | |est le temps employé ? ( /0,5) Déduis-en la forme de discours |sera développée et justifiée. | |utilisée

Fontaine met en place un dialogue une écriture vivante et dynamique : utilisation de plusieurs temps (imparfait, présent, passé simple), discours indirect, diversité des vers utilisés, variété schéma des rimes Discours rusé du cerf registre épidictique => il fait l'éloge du roi et de la reine antithèse entre discours du roi et du cerf déguise son discours (prosopopée de la lionne) il utilise l'argument d'autorité il dresse un portrait pathétique et idyllique de la lionne Satire des courtisans

tragique de Bérenger a) Un discours particulier : le monologue  Le recours au monologue est ici justifié par l'évolution du « drame » qui a conduit à la métamorphose progressive de tous les per¬sonnages. Bérenger est le dernier homme, il n'a plus d'interlocuteur. Un accessoire sur scène souligne cette situation : la glace ; Bérenger se parle de fait à lui-même (« il va vers la glace »l.3, « il contemple sa poitrine dans la glace »l.12).  Aucune marque du discours dialogué, fréquemment utilisé

extrait, Montaigne nous décrit l'arrivée des Espagnols sur cette nouvelle terre déjà occupée. Comment Montaigne s'y prend-il pour dénoncer les conquêtes européennes ? Sommaire: Introduction I) L'engagement du narrateur A. Le choix du discours indirect et indirect libre dans le dialogue opposant les Espagnols aux sauvages B. La part peu importante de narration et de commentaires du narrateur II) La supériorité argumentative des Indiens A. Une stratégie argumentative subtile B.