Dissertation Argent Et Liberté

position religieuse (Jusqu’alors, le droit de la famille, le mariage étaient régis par les autorités religieuses. La révolution y met un terme. Désormais, ce sont les lois d’état qui les régissent. Ainsi seul le mariage civil a une valeur juridique.) La liberté, l’égalité, la propriété que l’on trouve dans le DDHC sont consacrées dans le Code Civil. Un dernier élément que l’on retrouve dans le Code Civil et la DDHC : La sûreté. Au-delà de la sécurité, la notion de sûreté est le fait d’avoir la garantie qu’en

EX : Quand on subissait un dommage et qu’on portait plainte, il fallait que le délit que l’on invoque soit prévu par le droit, qu’il soit « nommé » sinon pas d’action Les contrats étaient donc nommés, mode de conclusion des contrats formaliste ( liberté contractuelle) Ancien droit L’emprise du droit canon  de l’Eglise = influence sur le droit des contrats Essor du principe de la force obligatoire des contrats  il faut respecter la parole donnée Emerge un principe général de responsabilité qui influencera

les agents du roi, les élus qui répartissent et lèvent les impôts (Auvergne). Tout le monde ne paie pas cette taille : * La noblesse : son rôle est la défense du royaume. Elle utilise l’armée donc elle paie l’impôt su sang mais pas l’impôt en argent. * Le clergé : il paie un impôt sous une forme globale. * Certaines charges (offices) sont exemptées d’impôt. Comme la taille ne suffit pas aux besoins, on assiste à des crues de taille payé par les villes denses, ensuite ce sont les villages

héritière de la révolution néolithique B - Phéniciens, Carthaginois et Grecs 1) Les Phéniciens 2) Les Carthaginois 3) Les Grecs C – L’Egypte ou les débuts de la planification centrale D - L'empire romain, une économie basée sur les conquêtes 1) La liberté économique 2) L'interventionnisme étatique E - Les inventions du néolithique à la fin des civilisations antiques 3 - Le moyen-âge A - L'économie domaniale : du déclin de l'empire romain au Xème siècle B - L'économie féodale : du Xème siècle à la Renaissance

Cuénin-Lieber Les Philosophes et l’esprit des Lumières 23 avril 2010 – IUFM de Franche-Comté Introduction 1) Un esprit des Lumières et des philosophes « Chaque siècle a son esprit qui le caractérise. L’esprit du nôtre semble être celui de la liberté. » (Lettre de Diderot à la princesse Dashkof, du 3 avril 1771, Diderot, Œuvres complètes, Société encyclopédique française pour le Club français du Livre, tome X, 1971, p. 1016). Les philosophes incarnent cet esprit, mais chacun à sa manière : sa

peuple et les nobles pas question de se mêler au tiers état. On entend parler pour la première fois de l’assemblée nationale, qui doit établir la loi. C’est l’époque de Rousseau, philosophe qui a écrit « du contrat social », c’est une réponse à une dissertation du côté de Dijon et il souhaite y répondre car dans le peuple il y a une volonté générale qui se dégage, elle représente la majorité. Cette majorité va prendre des décisions et les imposer à la minorité. Mais pas très démocratique. 2ème idée de

pièces de métaux précieux. Dans un premier temps, les pièces sont soit en or soit en argent : bimétallisme. La valeur de la monnaie dépend donc du prix du gramme d’or et du gramme d’argent. Or, le prix du gramme d’argent varie beaucoup. Donc à partir des années 1820, on applique le monométallisme, en indexant le prix de la monnaie sur celui de l’or qui est plus stable. En Asie, on adopte plutôt le monométallisme argent. Le fait d’avoir une monnaie stable permet d’imprimer des billets de banque. On

 Cours de droit de la famille L1S2 Mardi 18 mars de 13h à 16h amphi Larousse Galop d’essai : commentaire d’arrêt. Début du TD semaine du 30 janvier : imprimer et préparer la fiche de TD1, faire la dissertation rédigée sur une copie. Apporter le code civil. Lire tous les documents. Fichier de méthodologie à imprimer. Amener une photographie. Note : un cas pratique 2H (1), un galop d’essai 3H(1), une interro de cours (1) + pondération de -1 à +1 (participation, assiduité, comportement…) + deuxième

34-48) ; - quatrième acte : la confession de l’âne ( vers 49-55) ; - cinquième acte : sa condamnation et son exécution (vers 56-62). Il se déroule, comme toujours chez La Fontaine, à travers des vers de longueurs variées, coupés avec une grande liberté et marqués d’enjambements hardis, qui rendent la forme trrès expressive. Un préambule qui, par son ton, son allure mystérieuse, son ambiance pesante, attire l’attention sur les ravages de la peste avant d’oser la désigner. Elle imposa sa terreur

34-48) ; - quatrième acte : la confession de l’âne ( vers 49-55) ; - cinquième acte : sa condamnation et son exécution (vers 56-62). Il se déroule, comme toujours chez La Fontaine, à travers des vers de longueurs variées, coupés avec une grande liberté et marqués d’enjambements hardis, qui rendent la forme trrès expressive. Un préambule qui, par son ton, son allure mystérieuse, son ambiance pesante, attire l’attention sur les ravages de la peste avant d’oser la désigner. Elle imposa sa terreur