Dissertation Surnaturel

Jean Racine. Tout ceci pour dire que le monde se référait à un ordre surnaturel, suprême. C’est aussi le cas des sociétés africaines qui voient, en la toute puissance des dieux, une sorte d’hiérarchie sociale. Raison pour laquelle les sociétés africaines regorgent de nombreux rites et interdits auxquels tous doivent se conformer au risque de susciter la colère des dieux. En Afrique une grande part est accorder au surnaturel d’ou la floraison de récits mythiques (contes, légendes, épopée). C’est

cette découverte, nous faisons face à une chute surprenante. La fin est irréaliste, l'auteur brise nos attentes et nous plonge dans une fin illogique. En effet, un texte fantastique témoigne, avant tout, de l'apparition de l'étrange et du surnaturel dans un contexte quotidien, c'est ce que fait l'auteur en introduisant les fameuses hallucinations d'Alicia et surtout la bête qui l'a tué : un parasite d'oiseau vivant et grandissant dans l'oreiller de plumes d'Alicia, en aspirant tout le sang

d’Ahmadou Kourouma invoque le pouvoir royal dirige par un chef. En récurrence celui de la famille Doumbouya dont Fama est le prince légitime (p.13 «le prince du Horodougou, le dernier légitime Doumbouya, s’ajoute à nous»). Vient aussi les pouvoirs surnaturels des féticheurs dont le roman donne quelque exemple. Tout d’abord, les fameux métamorphoses de Balla(en aiguille, en brindille, en rivière, p.129) et son autorité sur la marche du soleil. Abdoulaye, dont on dit que « la sorcellerie et la magie couraient

bien l’événement a réellement eu lieu,mais alors sa réalité est réglée par des lois inconnues de nous (explication surnaturelle). II ne faut pas confondre fantastique, merveilleux et science-fiction. Le merveilleux implique un mondeféerique qui s’oppose au monde réel sans en détruire la cohérence. Le lecteur ne s’interroge jamais sur l’existence possible des événements surnaturels évoqués, car il sait très bien qu’il ne doit pas lesprendre au sérieux (contes). La science-fiction est un type de

déverser sa méchanceté sur ce couple aimant et innocent. Sa malice l'avait conduit jusqu'à eux, il voulait faire évanouir les espoirs de ce début de romance. La perspective de les rendre malheureux réjouissait son cœur. Il aimait le mal. Par un pouvoir surnaturel il arrêta l'eau de la cascade. Puis en battant ses ailes d'aigle, il rejoignit son maître, le père du beau prince. La licorne avait disparu laissent là les deux amoureux effrayaient. Le beau prince laissa sa princesse, lui promettant un rendez

Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière du rêve et du surnaturel, obligeant le lecteur à s’interroger sur l’ « effectivité » du phénomène décrit : rêve ou réalité ? Et au-delà de cette simple question, l’errance est-elle due à une « réelle » altération des sens (explication rationnelle) ou à une illusion forcée, voire surnaturelle (domaine de l’irréel) ? Ou encore la force obscure qui pousse le héros au-delà des limites de la vie n’est-elle

1. Le conte à travers les objets Un conte commence par sa situation initiale : généralement le héros possède une vie simple et paisible, mais il peut aussi avoir un avantage, souvent magique (pouvoir surnaturel, objet enchanté…). Sa vie est donc remplie de chance et de réussite. Avec ce genre de début, la personne qui lit le conte est tout de suite plongée dans le monde du merveilleux, elle s’imprègne de l’histoire et se familiarise avec le personnage. Le conte fait aussi travailler l’imagination

les chats noirs. Il a été considéré également comme la réincarnation du mal. Le fait que les chats puissent voir dans le noir et de leur vie nocturne sont la cause de ces croyances. Pourquoi la vision nocturne du chat n’est-elle pas un phénomène surnaturel? Leur rétine compte beaucoup de bâtonnets, leur pupille se dilate beaucoup et il possède une membrane réfléchissante derrière la rétine expliquent pourquoi le chat voit dans le noir. Autrefois, le chat a été associé à diverses croyances. Il a

Dom Juan, acte V, Scène 5 et 6 – Une fin baroque A la fin de l'acte IV, on basculait dans le surnaturel. L’acte V met en scène les sommations finales du destin, puis la chute de Dom Juan aux Enfers. L’acte s’ouvre la pseudo-conversion de DJ : après avoir menti à son père (scène 1), et avoir fait l’éloge de l’hypocrisie (scène 2), Dom Juan révèle sa stratégie : il utilise la religion pour masquer son immoralité. Depuis le début de l'acte IV, Dom Juan est empêché de souper : il a de plus

notion connexe du héros, cʼest le «grand homme». Mais ces deux termes sont bien différents : • Le héros : - son action tient très souvent du miracle, avec un côté parfois surnaturel - une seule action suffit ; une seul exploit guerrier, à lui donner le titre de héros • Le grand homme : - son action nʼa rien de surnaturel ; elle est moins glorieuse pour atteindre le titre de grand homme, il faut sʼétendre sur une longue durée (parfois toute une vie de grandeur est nécessaire) - Le héros peut