Dissertation Vulgarité

| | | | | | |mettre la capote et faire les péliminaire ?| |17/05/2009 | |20:40:48 | |[c=15][b]Cam.[/b] [/c] | |Maanon[c=#BBBBBB]'[/c] | |je ne te parle pas de vulgarité | |17/05/2009 | |20:41:02 | |[c=15][b]Cam.[/b] [/c] | |Maanon[c=#BBBBBB]'[/c] | |seulement d'antipathie. | |17/05/2009 | |20:41:28 | |Maanon[c=#BBBBBB]'[/c] | |[c=15][b]Cam.[/b] [/c]

objets. Sartre indique ici que la conscience solitaire existe sur le mode du pour-soi et par extension qu'elle n'est entravée par aucune limite. Cependant la conscience solitaire ne demeure pas et ce geste viens à être mis en cause : « toute la vulgarité de mon geste et j’ai honte ». Car même si la conscience solitaire ne peut éprouver de honte, la conscience en public elle va faire prendre en compte son geste au sujet. La conscience en public est ainsi présenté comme étant le second mode de conscience

d’accès dans le sens strict comme dans le sens de l’esthétisme et de l’éthique. Pourquoi ? Parce que ça donne l’impression au spectateur d’être « pris pour le premier venu ». Le vulgaire est lié à la corporéité (le sexe et le ventre). 5§ à 6§ : La vulgarité puisque reliée à la corporéité, flatte nos instinct animaux. (exemple dans le paragraphe précédent des nues et des natures mortes). Il exerce donc une violence sur le spectateur en le forçant à adhérer d’office à l’œuvre d’art. Il n’est pas libre

intéressée, vulgaire, sournoise, pas bête car elle veut le pouvoir * tensions entre le couple * jurons déviés à cause de la censure imposée par une société moralisante (merdre) * scène grotesque, peu subtile, farce * Exagération, vulgarité, ridicule B) grotesque * Le lieu n’est pas historique : Pologne c’est absurde => indications spatio-temporelles confuses * Manque d’argent : pas noble * La prise de pouvoir est un complot classique au théâtre qui est un acte noble

dans le livre qui démontre une tonalité pathétique. Cette scène est celui où Cyprien, un homme atteint du sida, et sa femme, Georgina, se font tuer par des miliciens Hutus. Cette tonalité est représenté non seulement à l’aide de la violence et la vulgarité des miliciens, mais aussi par le traitement des corps après la mort de ceux-ci. Premièrement, Gil Courtemanche démontre à quel point la scène où Cyprien et sa femme décèdent est violente et vulgaire à l’aide d’un langage très riche et coloré. Par

Tonnerre de Dieu !, avec une syntaxe simple, marquée par des phrases nominales dame !, des répétitions toujours, toujours, ça me fait froid cette machine…la boisson me fait froid. La gestuelle – rire de poulie mal graissée, ricanaient- suggère la vulgarité joyeuse qui règne au cabaret , et à laquelle Gervaise – qui tâchait de sourire- a du mal à participer B. La précision de la description Zola décrit avec précision l’alambic qui fait l’orgueil de la maison , est l’objet de l’attention de tous

geste maladroit ou vulgaire : ce geste colle à moi, je ne le juge ni ne le blâme, je le vis simplement, je le réalise sur le mode du pour-soi. Mais voici tout à coup que je lève la tête ; quelqu'un était là et m'a vu. Je réalise tout à coup toute la vulgarité de mon geste et j'ai honte... Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même: j'ai honte de moi tel que j'apparais à autrui. Et par l'apparition même d'autrui, je suis en mesure de porter un jugement sur moi-même comme un objet, car

comme dit précédemment, d’interpeler le Frère Jean avec des noms relatifs aux couilles. L’énumération scatologique de Frère Jean à la page 135 : « Merde », « Mâche-étrons, mâche-crottes, mâche-merdes », « elles m’échauffent le colon », accentue la vulgarité de l’extrait. Puis, Panurge, à l’aide d’une épiphore à la page 139 :« Et j’y fus grandement irrité pour trois raisons : la première parce que j’y étais irrité; la seconde, parce que j’y étais irrité; la troisième, parce que j’y étais irrité. », et

est vulgaire, il est brutal. Et pourtant il amusait déjà il y a 3000 ans et il amuse toujours aujourd’hui. Il n’a jamais été réellement censuré, il ne s’est pas essoufflé et pourtant il n’a guère changé. Certes les façons de parler ont évolué, la vulgarité a grimpé et les mœurs ont changé mais l’intensité est la même. Le vulgaire reste le vulgaire. Le burlesque est immuable ! Nous connaissons tous les bouffons. Êtres aux allures généralement repoussantes et aux comportements ridicules et moqueurs

On a cherché un moyen de guérir l'humanité de ses souffrance innées. Ne serais ce que d'exterminer ces hommes qui ont le pouvoir de tout avoir. Le pouvoir ultime de ce monde réside dans le sexe et l'argent, et ceux qui goûtent le plus à la liberté sont ceux qui aiment la drogue et les gens. Et surtout n'oublie pas que ce soir nous irons danser avec le diable, ne faut-il pas avoir foi envers ce vénérable! Vénérons celui qui nous a appris a souffrir dans ce monde sans merci. Nous ne somme que