Distinction Sociologie Anthropologie

déconstruire les catégories. Ex : Jean louis Anselme, anthropologue : recherche sur les conflits au Rwanda. Il a observé que les Hutu et les Tutsi n’existent pas. L’administration coloniale belge a construit ces 2 clans. A l’origine il n’y avait aucunes distinctions. Les colons ont distingué les peuplades. Une politique de ségrégation envers les Hutu est mise en place. Il y a une prophétie autocréatrice.  La délinquance en 1993 a augmenté de 10 points : cela est dû au changement du mode de comptabilisation

la nature. De même, il s’agissait dans l’esprit de Machiavel, Hobbes, Montesquieu, Smith, de découvrir les lois cachées du pouvoir politique, de la vie économique afin de pouvoir en contrôler les leviers de commande… Les modèles organiques En sociologie, le modèle organique a été abondamment utilisé, au point qu’on peut parler d’unecertaine école de « l’organicisme social ». C’est habituellement à H. Spencer que l’on attribue la paternité de cette école, car c’est lui qui a comparé la société à

SECTION 1 : LA SINGULARITE DES REGLES DE DROIT Qu’est qui fait qu’une règle de droit est une règle de droit ? Quels sont les attributs des règles de droit ? Quelle est la différence entre le droit et les autres systèmes normatifs ? I. La distinction entre être et devoir être Le droit est du côté du devoir être, il est là pour nous dire ce qu’on doit être de par les règles qu’il fixe. Entre les faits et le droit, il y a la réalité. Ce que le droit demande, souhaite est très souvent en décalage

faire acte… (partager les joies de la réussite du diplôme lors d’une « grosse fiesta »…) Ainsi, dans le repas, certaines de ces relations / monstrations sociales se manifestent, nous les étudierons ensemble. Le champ d’étude est large pour la sociologie, en effet, on parle d’elle dans le domaine de la culture (gastronomie, patrimoine), dans la santé (sécurité sanitaire, prévention des risques…), dans l’économie (budgets, marches alimentaires, productions, etc.). CHAMPS D’ETUDES SOCIOLOGIQUES

fin du XIXe siècle, par l’interdisciplinarité alors que par ailleurs se fixent et se démarquent les disciplines, les sciences des phénomènes, d’un côté, et les disciplines de l’esprit (du numen), de l’autre. Avec la bénédiction de Kant, cette distinction sépare la science de la non-science dans un monde jusqu’alors mêlé des savoirs humains [2]. Se différenciant de l’architecture, qui, elle-même, s’est séparée dans la tension et le conflit du génie civil, l’urbanisme s’ouvre à l’enquête sociale

sein des sciences humaines et sociales, notamment dans les champs intimement liés de l’anthropologie et de l’ethnologie (sans préjudice des rapports, encore étroits mais déjà plus distants, avec la linguistique, l’histoire, le Droit, l’économie, la sociologie, la psychologie sociale, la psychanalyse, la psychologie, la philosophie, les sciences politiques…), au cours des trois derniers siècles pour la pensée occidentale (plus particulièrement à partir de la seconde moitié du dix-neuvième et tout au long

sociabilité vécue. L'ouverture du réseau social vers la nébuleuse des proches ou vers des inconnus ayant des intérêts communs favorise une exploration curieuse du monde. Car cette nouvelle expressivité n'est pas simplement « narcissique ». Le souci de distinction et de différenciation à l'égard des autres qui s'affiche par la mise en scène de signes identitaires sert avant tout à relier. En ce sens, comme l'ont noté beaucoup d'observateurs de l'individualisme contemporain, la construction de l'autonomie

des juristes : les sciences ancillaires du Droit, 8. II. L'évolutionnisme, 14. III. Le fonctionnalisme, 35. IV. Les tendances actuelles de l'anthropologie juridique, 39. Chapitre II. — Un horizon dépassable : les Droits traditionnels I. La distinction entre Droits traditionnels et Droits modernes, 46. – II. La coexistence entre les pensées juridiques sauvage et moderne, 62. III. Interprétations anthropologiques du droit positif français, 71. Chapitre III. — L'acculturation juridique I. Transferts

Anthropologie du corps Dossier appuyé sur un travail de recherche sur le terrain. Mardi 12 Janvier avant 12 h ! Dès leur naissance, les sciences sociales se sont penchées sur le corps comme objet d’étude. Place du corps en Anthropologie ? Corps révélateur des cultures, des pratiques sociales… A partir du 20ème siècle, les sociologues, anthropologues et historiens ont abordé le « corps » comme révélateur de la vie sociale, des cultures, des normes ou habitus… Le corps : l’élément visible

fins didactiques, le renvoie d’un côté à un héritage durkheimien et de l’autre à celui de l’interactionnisme symbolique, à la contrainte sociale ou à la liberté de jeu des acteurs. Ces lectures faites avec les lunettes des oppositions classiques en sociologie cherchent à situer Goffman par rapport à une thématique de l’ordre social compris dans sa généralité – celle d’un ensemble de structures, qui s’imposent aux acteurs ou que ceux-ci remettent en jeu dans les interactions – alors qu’en se focalisant