Dit De La Force De L Amour

le devoir, vous excite ; Vivez, ne souffrez pas que le fils d'une Scythe, Accablant vos enfants d'un empire odieux, Commande au plus beau sang de la Grèce et des dieux. Mais ne différez point : chaque moment vous tue. Réparez promptement votre force abattue, Tandis que de vos jours, prêts à se consumer, Le flambeau dure encore, et peut se rallumer. PHEDRE J'en ai trop prolongé la coupable durée. OENONE OENONE Quoi ? de quelques remords êtes−vous déchirée ? Quel crime a pu produire

l’enfer afin que périsse la race humaine, car les humains ont préféré l’enfer au ciel, et Lucifer, leur dominateur. P12. Je viendrais une deuxième fois pour mourir afin de les sauver d’une mort plus atroce encore… mais mon Père ne le permet pas… Mon Amour le permettrait, la Justice pas. Elle sait que ce serait inutile. Je ne viendrai donc qu’à la dernière heure. L’important est de faire de son propre cœur une mangeoire de Bethléem pour y accueillir Jésus enfant, et de soi même, une croix pour porter

spectacle. Cela va lui permettre de s'affranchir des contraintes de la scène. On ne badine pas avec l'amourLa pièce donne d’emblée une leçon de morale qui intrigue, d’autant plus que jusqu’à la chute, Perdican et Camille ne se rendent compte de leur amour qu’en badinant. Cette pièce regorge de proverbes tels que « L'homme n'est-il donc né que pour un coin de terre, pour y bâtir son nid et pour y vivre un jour ? » (1,4). Au-delà du tragique, cette pièce est aussi didactique, moralisante. On ne badine

hommes et les femmes étaient très mal vu, si ce n’était pas dans un but de procréation pour l’Église. Le texte "Le Baiser" nous offre une excellente démonstration de cette réalité : «Cueillir une verte feuillette. /Il lui mit sur sa bouchette/Et me dit "Baisez cette feuille"». Si on simplifie cet extrait, le serviteur de l’homme lui propose de tricher. Effectivement, si l’homme embrasse la feuille, peu importe où elle se trouve, il n’embrasse pas la belle. Le contact physique n’était pas que quelque

cur en lui rvlant lintrt que Dorante porte Araminte. Acte II Plusieurs heures aprs le premier, laprs-midi ou le soir. Scne 1 Dorante incite Araminte plaider et donc ne pas se marier avec le comte, comme se sparer de Dubois auquel cependant elle dit tenir. Scne 2 M. Remy survient pour annoncer son neveu quune femme trs riche est prte lpouser. Mais celui-ci refuse de quitter le service dAraminte qui ly invite pourtant mais mollement. Scne 3 M. Remy demande Marton (quil pense tre la raison du

de rimes croisées pour les tercets). � Sujet du texte : Il s’agit d’une célébration des beautés de la femme aimée pour lesquelles le poète se déclare prêt au sacrifice. Autre possibilité : Ici Ronsard déclare à sa muse Cassandre tout la force de son amour. � Registre : Lyrique. Le poème est à la fois une déclaration d’amour, un éloge, un cri passionné. � Situation d’énonciation : “Je” s’adresse à “tu”. Situation traditionnelle dans ce type de poésie. � Visée du texte : Argumentative

voit quand Camille dit «  (…) vous m'avez répondu comme un voyageur à qui l'on demanderait s'il a été en Italie ou en Allemagne ». Cela veut donc dire que Perdican passe de femme en femme. Ensuite l'amour de Perdican est assimilé à une monnaie avec la question «  Est-ce donc une monnaie que votre amour, pour qu'il puisse passer ainsi de mains en mains jusqu'à la mort ? ». Ces comparaisons montrent donc que Perdican à un amour matérialiste et changeant. On peut ajouter que cet amour est sans importance

qu’ils parlent de la femme de Polyeucte Pauline, et de Dieu. Néarque demande de faire un choix à Polyeucte, de ne pas écouter se femmes qui a vu en rêve celui-ci mourir, et donc de ne pas « s’atendrir » mais , d’écouter Dieux. Il lui dit que c’est Dieu qui veut le premier amour et les premiers honneurs. ( Qu’il doit aimé Dieu avant Pauline ) Nous apprenons que Polyeucte n’est pas encore chrétien. • Pauline supplie a Polyeucte de ne pas sortir car elle a peur qu’il meurt. Pauline (qui est romaine) explique

central de la pièce, à la fin de l'acte III.et c'est un dialoque entre B et Néron Elle met en scène la mort d'un Britannicus et la naissance du monstre Néron. Néron au début de la tragédie fait enlever Junie, amante de Britannicus, lui déclare son amour et l'empêche de revoir l'homme qu'elle aime. Mais elle réussit tout de même a avoir un entretient avec Britannicus mais dans le palais de Néron. Nous montrerons tout d'abord que cette scéne mat en évidence la violence du pouvoir, puis nous verrons

essentielle du XVIIème. Lexique codes moraux: conduite innocence, intentions (pureté d'intentions, Jésuites), digne, estime, admiration. Vb volonté: affirmation vertu (l.10, l.13) b) le refus de la tentation (faiblesse) Ne pouvant forcer son cœur, elle force son esprit et sa raison. Mari=guide=lutter tentat°. Avoue culpabilité mais oppose sentiments et actes. Sentiments fautifs (l.14/15). Hyperbole "mille"= culpabilité pass° mais rectifie son sentiment par "la pureté de [s]es actes" (l.14/15)= très janséniste