Divertir Ou Instruire

bon roi ; mauvaise religion VS bonne religion) Pourtant, le rire et la fantaisie n’empêchent pas la réflexion, au contraire : pas de contradiction. 3. Le rire permet de véhiculer la réflexion :Rappel du précepte « placere et docere » : plaire et instruire. Le plaisir que le lecteur prend à la lecture d’une œuvre au service de la réflexion. 3.1 Vertus contestataires du rire, de la caricature : personnages tournées en ridicule (les sophistes, Picrochole et ses hommes dans Gargantua) : met le lecteur

plaisir, passe-temps, hasard, règles, riques. L'étymologie latine du mot «jeu», jocus, signifie «plaisanterie» ou «badinage». → Activité d'ordre physique ou mentale, non imposée, n'ayant aucune fin utilitaire et à laquelle on s'adonne à se divertir. → Activité de loisir soumise à des règles conventionnelles comportants des gagnants et des perdants et où interviennent les qualités physiques et intellectuelles, l'adresse, l'habileté et le hasard. → Ensemble des règles qui définissent le

sacrifice du bouc, chant triste. La tragédie est donc d'origine religieuse, et était déjà assimilée à la mort. La tragédie date de la Grèce antique (5ème siècle av JC) Elle était représentée d'abord pour faire hommage aux dieux grecs, puis pour divertir la population lors des Dionysies à Athènes, fêtes religieuses en l'honneur de Dionysos, dans laquelle se déroulaient des concours de tragédies. La tragédie disparaît à partir de la fin du 4ème av JC pour réapparaître au milieu du 16eme, c'est ce

voile de la fiction L’efficacité argumentative peut venir de la critique indirecte. User de la fable, du conte philosophique ou encore du théâtre, présente l’atout majeur d’allier deux fonctions essentielles de la littérature : plaire et instruire. Ainsi l’apologue recourt au discours narratif, plus alerte, et donc plus apte à plaire au lecteur. Nombreuses sont les stratégies déployées pour rendre vivant un récit. Ainsi, dans « Les obsèques de la Lionne », La Fontaine choisit de faire alterner

l’art dramatique. En 1674 Boileau dans l’art poétique résume les principes établis. Ainsi pour la deuxième partie du XVIIème siècle la doctrine se voit incontestablement triompher grâce à Racine. Les Principes du Classicisme A. Plaire et instruire Selon la théorie de la catharsis d’Aristote, (purgation des passions) en faisant vivre par procuration des émotions fortes au spectateur (terreur, pitié…) cela lui ouvre l’esprit. Les dénouements sont de plus souvent des leçons de morale.

personnage de théâtre, est aussi valable dans la vie réelle : « L’homme », dit-il, « souffre si profondément qu’il a dû inventer le rire ». Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu’est-ce qu’un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que veut dire Nietzche quand il affirme que l’homme « souffre

personnage de théâtre, est aussi valable dans la vie réelle : « L'homme », dit-il, « souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire ». Peut-on aborder les questions graves sur le mode comique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites et ne faut-il pas traiter sérieusement certaines questions ? I définition délimitation 1. Qu'est-ce qu'un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que faut-il entendre par

poétique, Boileau les nommera « douce terreur » et « pitiécharmante ». Bretch, ne fera que renforcer cette idée du théâtre conçu comme un divertissement quand l écrit dans son Petit organon pour le théâtre : « L’affaire du théâtre a toujours été de divertir leshommes. » 2- Eduquer Dans a poétique, Aristote disait de la tragédie qu’elle est un spectacle qui doit se faire par l’entremise de la crainte, de la pitié et de la terrer. Son objectif est depurger les âmes. S’identifiant au héros, le spectateur

Lundi 17 Janvier 2011 Dissertation. « Les œuvres de fictions vous paraissent-t elles le meilleur moyen de convaincre le lecteur ? » Au travers de leurs oeuvres, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs. Cette volonté s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, époque à laquelle la diffusion du savoir apparaît comme importante. La publication de L'encyclopédie en est certainement l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent

l’Absurde avec Camus, d’Ionesco (Eugène) et de Beckett (Samuel). 14-18 et 40-45 choc intellectuel, la science peut amener des choses bien mais aussi horribles. Les bases de la société sont fragiles. Après 45, il faut changer manière d’écrire, vivre, divertir. Le langage va servir à faire réfléchir (th de l’Absurde), démontrer que le langage ne sert à rien (Ex : Attendant Godo de Beckett), langage vide qu’on a ts les jours. Dénonciation de la société individualiste. De plus, invention de l’électricité :