Divination dans la Grèce antique

ET CONTRE-MODÈLE............................................................................59 INTRODUCTION...............................................................................................................60 CHAPITRE 1 – HISTOIRE ANTIQUE, HISTOIRE CONTEMPORAINE : RÉSONANCES DE LA TRAGÉDIE .....................................................................................................................................62 Mécènes et monarques : les « vertus de l’éloge »........

religions. Sommaire • 1 Origines et Antiquité o 1.1 Premiers supports o 1.2 Le papyrus  1.2.1 Production  1.2.2 Le livre en papyrus  1.2.3 Les scribes o 1.3 Le parchemin o 1.4 Grèce et Rome  1.4.1 Description  1.4.2 Culture du livre  1.4.3 Diffusion et conservation du livre en Grèce  1.4.4 Le développement de l'édition à Rome • 2 Moyen Âge o 2.1 Le livre dans les monastères o 2.2 Copie et conservation des livres o 2.3 Le scriptorium o 2.4 Transformation de l'édition

poèmes Invocation et Chant d’amour, consacrées à Elvire (Julie Charles). Le poète voit en elle un etre céleste qui le guide vers le Dieu, suivant la volonté du créateur méme. L a su trouver un équilibre entre la spiritualité chretienne et épicurisme antique de sa jeunesse. La nature porte en ellele nom de Dieu ; le monde visible est le reflet du monde invisible ; l’immensité étendue des paysages de L est l’image de cet infini auquel il aspire.dans la solitude des monts, l’ame retrouve sa pureté et sa

tragédies de l’Antiquité dont les œuvres nous sont parvenues intégralement. Il naquit en 496 avant Jésus-Christ et mourut en 406. Parmi ses œuvres les plus célèbres, Antigone. Il s’agit d’une jeune fille. Elle vient d’enterrer son frère, Polynice. En Grèce, enterrer les morts était un devoir sacré car sans sépulture une âme ne pouvait trouver le repos éternel. Antigone a donc rempli son devoir. Mais en faisant cela, elle a désobéi à son oncle, le roi de Thèbes, Créon. Celui-ci avait interdit qu’on donne

doué d'une intelligence supérieure, parce que, voyant muer quelquefois sa peau, ils durent croire qu'il rajeunissait. Il pouvait donc, en changeant de peau, se maintenir toujours dans sa jeunesse ; il était donc immortel. Aussi fut-il en Égypte, en Grèce, le symbole de l'immortalité. Les gros serpents qui se trouvaient auprès des fontaines, empêchaient les hommes timides d'en approcher : on pensa bientôt qu'ils gardaient des trésors. Ainsi un serpent gardait les pommes d'or hespérides ; un autre

doué d'une intelligence supé­rieure, parce que, voyant muer quelquefois sa peau, ils durent croire qu'il rajeunissait. Il pouvait donc, en changeant de peau, se maintenir toujours dans sa jeunesse ; il était donc immortel. Aussi fut-il en Égypte, en Grèce, le symbole de l'immortalité. Les gros serpents qui se trouvaient auprès des fontaines, empêchaient les hommes timides d'en approcher : on pensa bientôt qu'ils gardaient des trésors. Ainsi un serpent gardait les pommes d'or hespérides ; un autre veillait

(Hunan), des preuves de l'écriture sur soie dès cette époque. Le matériau était certes plus onéreux, mais aussi plus pratique que le bambou. On a ainsi découvert des traités portant sur de nombreuses sciences (météorologie, médecine, astrologie, divination...) ou même des cartes géographiques dont le support était la soie. [pic] Manuscrit taoïste sur soie retrouvé dans une tombe à Mawangdui (II° siècle avant notre ère) Dès le 2° siècle, on trouve en Chine des mouchoirs en papier. Au 6°

gravent sur les carapaces de tortue ou les os les questions de leurs clients, puis portent contre l'os un fer chauffé à blanc et interprètent les craquelures ainsi produites. Ces inscriptions témoignent de la relation fondamentale entre la divination et la naissance de l'écriture chinoise. Il s'agit déjà d'un système de pictogrammes cohérent composé de plus de 4 500 caractères. Inscriptions divinatoires sur carapace de tortue, Chine, XIIème s. avant J.-C. (Paris, BnF, manuscrits orientaux)

; Laquière, Les reconnaissances du général Servière, Paris, s.d., in-4, p. 21-22, avec une photographie de l’aérolithe ; E. F. Gautier, Le Sahara algérien, t. I, Paris, 1908, in-8, p. 253. (4) Cf. sur les dolmens en Algérie, Gsell, Les monuments antiques de l’Algérie, Paris, 1901, 2 v. in-4, t. I, p. 10-36 avec une bibliographie très complète de la question. (5) Comparaison du vocabulaire des Zénagas (Archives des missions scientifiques, Paris, 1879, p. 481). 8 REVUE DE L’HISTOIRE DES RELIGIONS

doué d'une intelligence supérieure, parce que, voyant muer quelquefois sa peau, ils durent croire qu'il rajeunissait. Il pouvait donc, en changeant de peau, se maintenir toujours dans sa jeunesse ; il était donc immortel. Aussi fut-il en Égypte, en Grèce, le symbole de l'immortalité. Les gros serpents qui se trouvaient auprès des fontaines, empêchaient les hommes timides d'en approcher : on pensa bientôt qu'ils gardaient des trésors. Ainsi un serpent gardait les pommes d'or hespérides ; un autre