Divinité

L'homme rend le Monde compréhensible et habitable. Hésiode au départ n'est qu'un simple homme, mais le statut de poète lui donne un rôle à part. Le poète est considéré comme un roi, il a les insignes de la loyauté. Il est enthousiaste, càd qu'il a la divinité dans son corps. C'est aussi un poète furieux parce qu'il est possédé par le furor ( poétique, amoureux, bacchique ( Bacchus ) ). Ainsi on n'est plus maître de soi-même, de la parole. Grâce à ces furor, le poète peut avoir des savoirs prophétiques

le feux, c'est le siège des divinités combattantes, couleur du sang, du cœur. C'est la fonction guerrière, elle revêt les caractère d'une classe politico-militaire. Puis la troisième fonction c'est celle de la nuit (couleur noir). C'est le temps du repos. Dans la nuit les graines poussent, la reproduction ce fait. Elle est assimilé à la fonction de production, de reproduction, de fécondité. Ce sera la couleur des travailleurs. Est assimilé à cette fonction des divinité féminine (fécondité). Ces trois

de Jupiter, on admirait la continence de Xénocrate ; la chaste Lucrèce adorait l’impudique Vénus ; l’intrépide Romain sacrifiait à la Peur ; il invoquait le dieu qui mutila son père et mourait sans murmure de la main du sien. Les plus méprisables divinités furent servies par les plus grands hommes. La sainte voix de la nature, plus forte que celle des dieux, se faisait respecter sur la terre, et semblait reléguer dans le ciel le crime avec les coupables. Il est donc au fond des âmes un principe inné

corps nu de la femme, reposent sur ce principe d'éveil des sens. Le pouvoir évocateur d'un joli corps sous un voile transparent est un artifice largement utilisé. La pose, la situation du modèle et l'accessoire lui-même permettent d'identifier la divinité, de situer l'action. Bien entendu, cette représentation du corps féminin ne coïncide pas forcément avec la femme réelle ; idéalisée elle devient autant d'allégories sous forme de déesses, de nymphes et d'ondines. L'idéalisation de la femme par les

tandis qu'en un autre endroit jaillissait de l'eau, prodiges qui étonnèrent le roi. Il envoya consulter l'Apollon de Delphes qui répondit que l'olivier signifiait Athéna et l'eau Poséidon et qu'il dépendait des citoyens de décider laquelle des deux divinités donnerait son nom à la cité. Ayant reçu cet oracle, le roi convoqua l'ensemble des citoyens des deux sexes. Les hommes votèrent pour Poséidon, les femmes pour Athéna, et comme il se trouvait une voix de plus du côté des femmes, Athéna fut victorieuse

Clément et Miséricordieux Nombreux sont ceux qui, partout dans le monde, croient en Dieu. Seulement, leur croyance est bien souvent idéelle plutôt que réelle. Ils pensent que le fait de croire à l'existence d'un Dieu revient à croire à l'idée de divinité qu'ils trouvent belle en soi : tant que l'homme conçoit l'idée de Dieu, y croit et s'y soumet, il est enclin à éviter le mal et à opter pour le bien. L'idée de Dieu est une contrainte intérieure bien plus efficace que la contrainte extérieure. Aussi

car, dans quelque religion qu’on vive, l’observation des lois, l’amour pour les hommes, la piété envers les parents, sont toujours les premiers actes de religion. En effet, le premier objet d’un homme religieux ne doit-il pas être de plaire à la divinité qui a établi la religion qu’il professe ? Mais le moyen le plus sûr pour y parvenir est sans doute d’observer les règles de la société et les devoirs de l’humanité. Car, en quelque religion qu’on vive, dès qu’on en suppose une, il faut bien que

« dévots » ; (vers 2) « céleste » ; (vers 5) « ange » ; (vers 10) « divins » et (vers 21) « une dévotion » Mêler les champs lexicaux du divin et de l’attirance exemple : (vers 2) « célestes appas » En admirant la création divine, c’est comme adorer la divinité qui l’a créer Seconde perspective : Une Scène comique et dénonciatrice -1 Un discours qui échoue Elmire : « La déclaration est tout à fait galante » Cette réplique intervient après la première la long et presque tragique déclaration de Tartuffe

Grecs anciens ont intercalé un temps entre l’époque divine et celle humaine, ils instaurèrent un âge héroïque où des hommes dotés de qualités supérieures à celle de l’homme normale triomphaient. Ces surhommes issus principalement d’unions entre les divinités et les humains, avait un rôle de motivation au près des hommes. Les légendaires œuvres d’Homère, l’Iliade et l’Odyssée, évoquent une multitude d’héros, mais deux d’entre eux feront plus d’impression que les autres, de par les incroyables faits qu’ils

amorcer un nouveau cycle. Vishnu: Il incarne la préservation. Vishnu a pour mission de préserver l’ordre du monde. Lorsque ce dernier est perturbé, Vishnu s’incarne pour descendre sur Terre sous forme d’un avatar. Ganesh. C’est sans doute la divinité la plus populaire de l’Inde. C’est le dieu du savoir et de la vertu. Porteur de chance, les hindous le prient avant d’entreprendre une action importante. Fils de Shiva et Parvati (Shakti), il est reconnaissable à sa tête d’éléphant et à son corps