Divorce par consentement mutuel

l’alliance. Elle repose sur 2 éléments : le mariage et la filiation. Définition : le droit de la famille est un ensemble de règles patrimoniales et extrapatrimoniales qui vont régir le couple et les enfants. Pour le couple, c’est le mariage et le divorce, le Pacs et le concubinage. Pour l’enfant, c’est la filiation et l’autorité parentale. Le cadre s’adapte à chaque famille. Le droit de la famille régit aussi l’obligation alimentaire. L’enfant est-il indispensable pour fonder une famille ? oui pour

n'y a point de consentement. Art. 146-1 Le mariage d'un Français, même contracté à l'étranger, requiert sa présence. Art. 147 On ne peut contracter un second mariage avant la dissolution du premier. Art. 148 Les mineurs ne peuvent contracter mariage sans le consentement de leurs père et mère ; en cas de dissentiment entre le père et la mère, ce partage emporte consentement. Art. 149 Si l'un des deux est mort ou s'il est dans l'impossibilité de manifester sa volonté, le consentement de l'autre suffit

parentale (ce n’est qu’en 1970 que disparaît définitivement l’institution de chef de famille : Loi du 4 juin 1970 - Suppression de la notion de chef de famille au profit de l'autorité parentale conjointe), 1975 sur le divorce, avec l’autorisation du divorce par consentement mutuel, ainsi que la légalisation de l’interruption volontaire de grossesse. Une deuxième vague de réforme a eu lieu durant les années 2000. Mariage : Deux réformes récentes. Loi du 4 avril 2006 relative aux violences au sein

S’intéresser au couple institutionnalise suppose de s’intéresser à deux éléments : - Le mariage - Le divorce Titre 1: Le mariage. Même s’il est en recul, le mariage est toujours et encore une institution au cœur du droit de la famille et de la famille. Pour autant, le mariage en tant que tel n’est pas défini expressément par le Code civil. En effet, il y a deux explications : . Le mariage a de nombreux aspects: sociaux, moraux, religieux. Il est donc difficile de tous les

2)  Condition tenant à l’âge 3. 3)  Condition tenant à la santé B) Condition de capacité 1) Incapacitédesmineurs 2) Incapacitédesmajeurs C) Condition du consentement 1) L’existence du consentement a) Altération des facultés mentales b) Défautd’intentionmatrimoniale 2) L’intégrité du consentement a) Les vices du consentement b) La liberté du mariage D) Conditions morales 1) Lesempêchementstenantàlaparentéouàl’alliance a) Les cas d’inceste absolu b) Lescasd’incesterelatif 2) Les

2010: 200 000 / an. Ces chiffres ne peuvent pas laisser une image du droit de la famille identique à ce qu'elle était, le législateur est obligé de suivre l'évolution et en ça, il participe à l'évolution. Nombres de divorces en 1964: 32 000, en 2007: 152 000 > le droit du divorce a donc été obligé d'évoluer. Les changements marquants dans le droit de la famille ? Quelles perspectives d'évolution ? > progression du phénomène de l'égalité. Égalité entre le mari et la femme: égalité qui ne recoupe

nombre de mariage diminue de façon constante (2000 : 400 000/an et aujourd’hui 200 000/an) & le nombre de PACS & de concubinage augmentent. Et la relation parentale ? Apparition des familles recomposées & les familles monoparentales (suite au décès, divorce…). Cette réalité sociale ne peut pas être ignorée par le droit, à partir de là la famille n’est pas seulement un groupe de personne inorganisé mais c’est aussi un groupe régit & organisé par le droit. La famille va alors devenir une réalité juridique

même de ce droit. En effet, il est dans une évolution très importante et les mutations sont nombreuses et rapides. Les mœurs et les coutumes sont très variantes. Le droit de la famille tente de s’adapter aux circonstances de la famille (séparation, divorce, garde des enfants…). Le critère de l’intérêt de l’enfant, varie en fonction de l’âge de l’enfant et des conditions personnelles, et est un critère fondamental au sein du droit de la famille. En droit, il n’y a pas de vérité juridique intangible ;

a) Preuve par titre       Ce sont les actes d’état civil dans lesquels ont été consignés les événements relatifs à l’existence d’une personne et les éléments de son état. Ex : Acte de naissance, décès, mariage, déclaration d’adoption, mention de divorce…        Ce sont des actes établis par l’officier d’état civil à la mairie (maison commune) impérativement en présence des déclarants et des témoins quand la loi le prévoit (notamment les mariages).       Afin d’assurer la fiabilité de ces actes ceux

famille relève de la compétence législative = c’est le parement qui est habilité à modifier le droit de la famille. Dans certains pays, ce sera le peuple directement par un référendum qui pourra intervenir sur le droit de la famille (ex : Italie sur le divorce en 1975, Croatie en 2013 sur le mariage homosexuel). Art 11 : dispose que le référendum peut être disposé par le gouvernement pour 3 domaines, mais par pour les questions de droit de la famille. Il faut préciser que le droit de la famille relève