Divortialité

Corrigé Travail préparatoire 1. Le document 1 met en évidence les évolutions récentes de la famille à partir de trois indicateurs : taux de divortialité, de nuptialité et nombre de naissances hors mariage. On constate ainsi que : * le nombre de mariages baisse régulièrement depuis le milieu des années 1970, passant d'un taux de 8 à 4,5 ‰, soit une baisse de près de 50 % ; * le taux de divorces passant de 10 à 45 % en 30 ans a été multiplié par 4,5 ; * le nombre d'enfants nés hors

différent et 6 944 PACS de personnes de même sexe. Cependant, tous les mariages ne fonctionnent pas et beaucoup de personnes finissent par divorcer. En 2012, le nombre de divorce s'élevait à 128 371. Le taux de divortialité était donc de 10,6%o. De nos jours, on remarque que le taux de divortialité est plus élevé que celui de nuptialité. Comme il l'a été précisé précédemment, les ménages français sont très différent les uns de autres. En effet, en 2010, sur 27 785,9 ménages français : - 14.2% de

texte texte texte texte texte texte texte texte texte. Voici un tableau : Tableau 2 Fréquence des divorces et indice synthétique de divortialité, Québec, 1969 à 1982 | | | | |Année |Nombre de divorces |Indice de | | | |divortialité | | | | | | | |

partie). Mais divers arguments peuvent être mobilisés en faveur d’un maintien de la famille (deuxième partie). On note ainsi une augmentation du nombre de divorces : de 60 000 en 1945 à 110 000 en 1993, ce nombre a été multiplié par 2. Le taux de divortialité atteint aujourd’hui 40%. Ceci pour diverses raisons : indépendance financière de la femme grâce à son emploi, loi sur le divorce par consentement mutuel, mise en avant du bonheur personnel. Ainsi, la famille n’est plus un cadre stable. Il y a ainsi

naturel Nbr de naissance – nbr de décès 2.7 Solde migratoire Nbr de personne entrant sur un territoire – nbr de personne sortant 2.8 Nuptialité Taux de nuptialité / population totale 2.9 Taux de divortialité Nbr de divorce / nbr de mariage III. Indicateurs économiques, sociaux 3.1 Indicateur sociaux On peut parler du nbr de chômeurs Tx de chômage = nbr de chômeurs / la population active Population active

Loi Veil (1975 : temporaire, en essaie pour 4 ans) 1979 définitivement adopté. 50% des femmes travail, et 40-45% de la population est active. • Chute de la natalité (les deux parents travaillent et la vie est dure) Augmentation des divorces (divortialité augmente et la nuptialité diminue) La structure familiale change (mutation). • famille recomposée • famille de concubinage, beaucoup plus répandu • moins de mariage • PACS (1999) La famille est devenue nucléaire. Des années 1960 à

divorce a atteint un record en 2003 avec 45 c’est l’indication que donne le site www.pdffactory.com. La progression des divorces entamée en 2001 ,continue en 2004 où 134600 divorces ont été prononcés contre 128000 en 2003.L’indicateur conjoncturel de divortialité s’établit à 45 divorces pour 100 mariages soit une hausse de 3 points par rapport à 2003.J’ai pu constater grâce au graphique que l’évolution du nombre de divorce a augmenté au cours des 30 dernières années .Les changements de lois ont contribué

élever des enfants en échange de protection et d’assurance. Le divorce, à l’instar du mariage, est traité comme une décision qui dépend principalement du revenu de chaque conjoint à l’intérieur et à l’extérieur du mariage. L’augmentation du taux de divortialité est ainsi expliquée par l’augmentation du salaire des femmes sur le marché du travail et le versement d’allocation aux mères célibataires. Ses travaux sont novateurs et leur apport a été essentiel dans de très nombreux domaines tels que le capital

partie). Mais divers arguments peuvent être mobilisés en faveur d’un maintien de la famille (deuxième partie). On note ainsi une augmentation du nombre de divorces : de 60 000 en 1945 à 110 000 en 1993, ce nombre a été multiplié par 2. Le taux de divortialité atteint aujourd’hui 40%. Ceci pour diverses raisons : indépendance financière de la femme grâce à son emploi, loi sur le divorce par consentement mutuel, mise en avant du bonheur personnel. Ainsi, la famille n’est plus un cadre stable. Il y a ainsi

divorce par consentement mutuel, rendue nécessaire par l’évolution des mentalités. Depuis, le divorce et sa procédure ont encore évolué, notamment par la loi du 26 mai 2004, afin d’apaiser et de moderniser les modalités du divorce. Le taux de divortialité* est aujourd’hui de 40% alors qu’il était de 25% en 1980 et de 7% en 1970. Le divorce est donc un phénomène de société avec 130 000 divorces par an en 2000 - aujourd’hui plus d’un tiers des couples mariés divorcent - , contre 119 000 en 1995,