Djemal Pacha

24 avril 1915 (dans la nuit), à Constantinople et dans différentes villes, des centaines d'intellectuels et de notables sont arrêtés, déportés puis anéantis : c'est le signal de l'extermination totale et de la politique définie par Talaat, Enver et Djemal. De 1915 à 1923, ce même régime fait exécuter la déportation et le massacre du peuple arménien, en le dépossédant de tous ses biens et de ses territoires ancestraux. le génocide arménien s'exécute, faisant environ 1.500.000 victimes sur une population

peuple pleure un homme qui n'était plus sultan depuis 9 ans mais il n'a pas confiance en l'actuel sultan Reshat (homme faible et malade") qui ne serait qu'une marionnette entre les mains des trois vrais maîtres du pays : ENVER PACHA (ministre de la guerre) - TALAT et DJEMAL ceux-ci avaient sans l'accord du sultan jeté la Turquie dans la guerre aux côtés de l'Allemagne CHAPITRE III Les sultanes sont réveillées au son du oudh (guitare orientale), pour qu'elles se réveillent en douceur c'est

Kurdes venus les rançonner pour la énième fois. Le sultan Abdul Hamid profita de cette occasion pour tester la réaction des puissances européennes. Il envoya sur Sassoun une véritable armada : la 4e armée turque et la 26e division commandée par Zeki pacha, forte de 12 000 hommes, ainsi que 40 000 Kurdes armés jusqu’aux dents, qui se livrèrent à une véritable boucherie qui dura plusieurs semaines. Les réactions des Européens, bien que parfois outragées, ne furent que verbales. C’est ce qu’attendait

puissant. Le sultan refuse, et Ali mène la guerre pour obtenir la Syrie. Il gagne en 1831, mais l’Europe intervient en 1840 pour qu’Ali rende le Liban et la Syrie. Cette fois, l’Europe soutient l’empire ottoman. Pour pouvoir faire contrepoids à Ali, pacha d’Egypte, l’Europe demande au sultan de faire des réformes. Pour convaincre cette même Europe que son empire était encore digne de vivre et la pousser à récupérer la Syrie, le jeune sultan Abed al-Madjid promulgue le Khatti sherif de Gul-Khaneh

Arménie occidentale • Massacres hamidiens • Massacres d'Adana • Jeunes-Turcs • Panturquisme Victimes Population arménienne ottomane • Nombre de victimes du génocide arménien Responsables Jeunes-Turcs / Comité Union et Progrès (Talaat Pacha • Ismail Enver • Djemal Pacha • Bahaeddin Şakir) • Organisation spéciale • Irréguliers kurdes Procès Cours martiales ottomanes de 1919-1920 • Tribunaux de Malte Voir aussi Chronologie • Opération Némésis • Reconnaissance politique • Négation • Bibliographie •

Européenne 560 000 Pays de l'ex-URSS 1 200 000 Moyen-Or + Afrique 830 000 U.S.A. + Canada 1 080 000 Amérique latine 150 000 Arménie + Karabagh 3 200 000 Reste du monde 50 000 TOTAL 7 070 000 Le 27 mai 1915, le minstre de l’intérieur Talaat Pacha annonce « loi provisoire de déportation ». Sur 7 millions d’arménien la moitié vit en diaspora en France et au Moyen-Orient principalement. Les partis traditionnels de la diaspora sont : - le Dachnak très puissant et moins sovietophile - le Hentchek

réformateurs musulmans, Djemal ed Din el Afghani, ne manquait pas de se présenter, à la suite de ses contacts en Europe avec H. Spencer et Renan, comme un grand adversaire du matérialisme et de la science de l'Occident. L'attitude ne s'est pas fondamentalement modifiée, bien qu'elle puisse recourir à des formula-tions plus modernes. Les premières affirmations de la Ligue arabe ont d'abord concerné la mission spirituelle de l'islam et de l'arabisme ; selon l'expression de Azzam Pacha, ces derniers « sauveront

constitution de groupes professionnels ainsi que la montée des nationalismes, conduisant à une remise en question de l'ordre ottoman. Même si l'idée d'un grand État arabe, nation réunissant les Arabes de l'Égypte à la Mésopotamie, apparaît lorsqu'Ibrahim Pacha, fils adoptif de Méhémet Ali, conquiert l'Arabie (1816) et la Syrie (1832-1840), les premiers nationalistes ne revendiquent pas la création d'un État-nation mais plutôt l'existence d'une nation arabe culturelle (cf. I-B et C). À la fin du siècle

Parlement ottoman en mars 1877 composé de représentants de tout l’Empire (de Bagdad, d’Albanie, d’Arménie et de Syrie). Toutefois, à mesure que les accusations de corruption contre les ministres se multipliaient et que l’hostilité entre la Chambre et les pachas montait toujours d’un cran, beaucoup pressentirent que le gouvernement constitutionnel serait de courte durée. En effet, en février 1878 le sultan choisit de dissoudre le Parlement, congédia les quelques ministres soupçonnés d’escroqueries et fit

rectifié par le Congrès de Berlin, consacra l’indépendance de la Serbie, du Monténégro et de la Roumanie, ainsi qu’une résurgence de l’autonomie bulgare: les Turcs seront chassés de la Grèce et de Chypre. Après l’échec de la révolte nationaliste d’Arabi pacha, l’inspirateur du nationalisme égyptien, l’Egypte tomba en 1882 sous la domination de la Grande-Bretagne. Le siècle des Lumières en France se montra très critique vis-à-vis de l’Islam: les encyclopédistes l’ont considéré «fermé à la raison», et Voltaire