Djerba

investissements dans la pêche, le tourisme, le transport, les communications, l'éducation et la formation, la production de films, la santé, l'armement, la production industrielle de tapis et le traitement et recyclage des déchets. La Zone franche de Zarzis-Djerba • • • Les investissements peuvent être réalisés dans les secteurs de la production et des services orientés totalement vers l'exportation. Les activités interdites ont trait essentiellement à la sécurité, à la santé, aux matières et produits prohibés

allongement du crane et du cou, a l'affinement de Ia taille par le port d'un corset ou a Ia musculation des membres, cependant qu' elle neglige presque totalement des pratiques qui vont dans un sens oppose, tel que le gavage des futures mariees a Djerba en Tunisie, decrit par l'anthropologue Fran~ois Laplantine. De meme, Ia juxtaposition d'exemples empruntes a I'Afrique, a Ia Chine, aux Alnous du Japon, aux Europeennes du XIX" siecle peut sembler arbitraire. Elle possede neanmoins un interet qui

séjour, balnéaire, culturel, religieux...). • La forme d’accueil la plus classique est celle de la station balnéaire, avec, sur le modèle des pays développés, des espaces consacrés au tourisme de masse dans les P.S.E.M. : IZMIR ou ANTALYA en TURQUIE, DJERBA, HAMMAMET, SOUSSE ou MONASTIR en TUNISIE. Plus récemment est apparue la formule des villages et des clubs de vacances coupés du reste du pays (complexes hôteliers en TUNISIE, au MAROC, en TURQUIE) et fonctionnant comme des enclaves. • Le tourisme

quelques usines de ciment (U.S. Department of State, 1996). Zones de libre -échange Un des piliers de la politique de libéralisation a été la création de deux zones de libreéchange, une à Zarzis, à 450km au sud de Tunis et près de l’aéroport de Djerba, et l’autre à Bizerte, situé à 60km au nord de Tunis. La première est spécialisée dans le secteur pétrolier et a vu le jour en 1995. Quant à la deuxième zone, elle comprend l’industrie et la construction, la réparation de bateaux, la démolition et

Jean-Paul Gaultier, il enfourche son Scarabeo pour partir au boulot…et feuilleter L’Equipe du jour. La journée durant, il tapotera sur le Palm qu’il vient de dénicher à -20% sur Kelkoo.com. Les euros gagnés, il ira les claquer dans des week-ends spas à Djerba. »29. Cette description d’une journée d’un cadre CSP+ type est certes stéréotypée. Mais elle reflète très bien le paradoxe du comportement du consommateur aujourd’hui. Malgré un pouvoir d’achat confortable, il est prêt à faire ses courses dans

moyen d’un attentat majeur tous les trimestres (hors de l’Irak, où le rythme est quotidien). Les objectifs se situent aussi bien dans les grandes métropoles (Riyad, Jakarta, Casablanca, Istanbul, Karachi, Amman...) que dans les centres touristiques (Djerba, Bali, Mombasa, Taba, Sharm el Cheikh...). L’Europe fait partie depuis mars 2004 des zones d’opérations. Là comme ailleurs, les terroristes passent à l’acte chez eux, là où ils sont nés, là où ils résident de longue date. Des structures difficilement

cardiovasculaire, l’embolisation, la neurologie. * Une bonne position concurrentielle Le sous-sol tunisien est fort riche en eaux thermales dans les régions montagneuses de l’Ouest et du Nord, comme dans la ceinture d’oasis qui va de Nefta à Djerba, les sources et points d’eau intéressant le thermalisme se compte par dizaines. La Tunisie compte 250 centres de cures thermales et elle a accueilli près de 150 milles curistes en 2007 (les européens en majorité), ce qui permet à la Tunisie d’occuper

Mellègue Siliana Le Kef El Kébir Nebhana Lakhmess Algérie Sousse El Houareb Kairouan Monastir El Breck Sidi Saad Sfissifa Mahdia Kasserine Sidi Bouzid Kerkenna Sfax Sidi Aich Gafsa Tozeur Gabes Djerba Chott El Jerid Kébili Mednine Tataouine Barrage programmé Barrage construit Figure I-2.2 : Barrages réalisés et programmés en Tunisie (EGTH, 1998). Département de Génie Civil Laboratoire d’Hydraulique 7 ENIT OUVRAGES HYDRAULIQUES

construite par les Almohades De manière assez inédite, les premiers efforts militaires d'Abd El Moumen désormais « intronisé » se tournent vers l'est du Maghreb, sous la menace des Normands de Sicile menés par Roger II (qui ont pris le contrôle de Djerba et Mahdia et menacent la prospère Bejaïa) et des cohortes bédouines envoyées depuis Le Caire par les souverains Fatimides, furieux de voir Zirides et Hammadides échapper à leur contrôle. Les opérations lancées s'avèrent largement fructueuses puisque

y tua de sa main l’enseigne royal et enleva son étendard. Il figura encore honorablement à la prise de Bougie, en 1510. Mariana raconte que, la même année, ayant laissé tout en bon ordre dans cette place, il partit avec la flotte qui se rendait à Djerba. Après le terrible désastre qui mit fin à cette entreprise, on confia à Diego de Vera la garde de Tripoli avec une garnison de 3,000 hommes. La fin de sa carrière, dans ce qui nous en est connu, ne répondit pas à ces bons antécédents ; car le revers