Dom Juan Comique De Mots

Dissertation Note Observation Signature | La comédie se caractérise en grande partie par le fait qu'elle provoque le rire chez le spectateur, par différent comiques. Depuis l'antiquité Grec , le théâtre est un divertissement où l'on a toujours distingué la tragédie de la comédie. Mais Molière par sa citation nous propose une autre caractéristique, celle de dénoncer et de critiquer les vices des hommes. On peut alors se demander si la fonction de la comédie est elle de corriger les

Dom Juan, acte I, scène 1 – L'éloge du tabac Introduction : Molière, plus grand auteur et acteur comique de son temps, contesté par une partie influente de l'opinion, le parti dévot, qui vient de faire interdire Tartuffe. Dom Juan, un sujet populaire. Une entrée en matière originale : Sganarelle, valet de Dom Juan, fait l'éloge du tabac, un éloge en bonne et due forme, mais paradoxal et bouffon, propre à donner le ton de la comédie mais aussi à relancer des polémiques. 1 / Un éloge en bonne

retour à la raison, l’harmonie, l’imitation des anciens. Il écrit Dom Juan en 1665, pièce dans laquelle il s’attaque à la médecine, la tyrannie des pères, la religion, sous des traits comiques qui engendrent le rire, par l’intermédiaire d’un personnage qui trouve dans les défis et les obstacles une raison d’exister et de se sentir vivant. Antoine Adams, dans Histoire de la littérature au dix-septième siècle, tome trois, juge la pièce Dom Juan de façon très catégorique : ainsi, le premier acte se développerait

pièce, Mesguich a fait le choix de placer Sganarelle dans le public. Cela rappelle que ce personnage sert, en quelque sorte, de lien entre le public et Dom Juan. Ainsi, c'est par le biais du valet que l'on comprend, lors du premier acte, les vices du maître. La discussion avec Gusman, le valet d'Elvire, est, dans cette adaptation, plutôt comique. En effets, les deux acteurs sont vêtus de la même façon et semblent tous les deux endosser un rôle de pitre. Leur jeu de scène, leurs déplacements et

l'affaire et Sganarelle, le «cocu imaginaire», tire la leçon burlesque des événements: De cet exemple-ci ressouvenez-vous bien, Et, quand vous verriez tout, ne croyez jamais rien. À ce moment de sa carrière, Molière n'a pas encore élaboré sa poétique comique; il se cherche et procède à une nouvelle expérience dramaturgique, quoiqu’il ne quitte pas encore le registre de la farce. En témoignent le choix du cocuage comme thème central, les trivialités débitées par Gros-René, qui ne pense qu'à bien boire

Dom Juan, MOLIÈREI. Le contexte La pièce Dom Juan de Molière fut représentée pour la première fois en février 1665. La deuxième moitié du XVIIème siècle est marquée par l’apogée de la monarchie absolue, sous le règne du roi Soleil, Louis XIV. Louis XIV accède au pouvoir le 10 mars 1661 à l’âge de 22 ans. Il développe notamment le commerce extérieur et devient le « plus grand prince d’Europe ». Le XVIIème siècle est appelé le Grand Siècle, c’est une époque prospère

DISSERTATION SUR DOM JUAN « Plus que dans ses autres pièces, Molière auteur et homme de théâtre, a réfléchi pour dom juan au statut du discours : il a ainsi réussi une mise en scène aboutie de la parole. » I-LE DISCOURS Il convient tout d’abord d’expliquer le sens du mot « auteur et homme de théâtre » avant de commencer notre démonstration. Le mot acteur vient du latin « auctor » qui signifie « celui qui pousse à agir » ; le mot homme vient du latin « homo » qui signifie « individu », et

Dom Juan commentaire linéaire Acte V scènes 5 et 6Introduction Le mythe de Dom Juan : personnage issu du théâtre espagnol (Tirso de Molina, 1665), repris par les Italiens (Cicognini, 1650). Il incarne la figure/le mythe du séducteur puni ( mythe –du grec « muthos » : « la parole », désigne dans le langage courant une fiction trompeuse (cf mythomane) ou une utopie, et dans le langage littéraire une histoire présentant des repères et des éléments universels de réflexion, c’est pourquoi il

Dom Juan – Etude du dénouement : acte V, scènes 5 et 6 I. La fin du parcours des personnages : des personnages qui restent fidèles à eux-mêmes 1. Don Juan : Orgueilleux et dominateur. Attitude de refus ; ton menaçant du « grand seigneur » : « Qui ose tenir ces paroles ? » + didascalie « Don Juan le veut frapper » ; affirmation de sa liberté fondamentale, de son refus de toute influence extérieure : répétition de « je veux », « rien n’est capable de m’imprimer de la terreur »,  « il ne sera pas

son ensemble. De plus, le texte n’est pas suffisant pour représenter une pièce dans son ensemble. Il manque le décor, indispensable pour situer le lieu dans l’espace et dans le temps. Ainsi, l’antique temple à la romaine dans la scène finale de Dom Juan lui confère une dimension de châtiment divin, chose qu’on ne peut remarquer au premier abord à la lecture de la pièce mais qui marque tout de suite l’esprit du spectateur dès l’acte III lors de la représentation. Il en va de même pour les costumes