Dom Juan Métaphore

21 par les termes animaliers et dépréciatifs « caméléon » et « singe »: « Peuple caméléon, peuple singe du maître ». Le nom « caméléon » suggère la servilité et l’hypocrisie des courtisans qui obéissent et s’adaptent aux humeurs du roi. Enfin, la métaphore dépréciative « les gens sont de simples ressorts. » au vers 23 conforte l’idée de servilité des courtisans. 2. La critique du roi. La Fontaine, dans cette fable, critique également le pouvoir royal. D’abord, le champ lexical de la divinité

tournent vers les hôtels particuliers et leur décor intérieur, visibles dans le faubourg Saint-Germain et dans le Marais ou encore sur les boiseries extraordinaires de Rambouillet. Le baroque littéraire La littérature baroque utilise de nombreuses métaphores et allégories dans ses œuvres. Le thème le plus abordé est le thème religieux, car l’Église catholique était centre à cette époque, mais les artistes baroques aiment aussi parler de la mort et utilisent fréquemment l’illusion dans leurs œuvres.

Jean-Sébastien Bach, Haendel et Schutz. Dans le domaine du théâtre apparaît l’opéra qui regroupe plusieurs arts comme la musique. De nombreuses pièces de théâtres ont été écrites durant la période baroque : Corneille (L’Illusion comique), Molière (Dom Juan), Shakespeare (Roméo et Juliette). Le théâtre baroque préfère l’émotion, l’illusion et l’inconstance. La littérature et le baroque : Les auteurs du baroque littéraire sont séparés entre ceux de l’inconstance noire et ceux de l’inconstance blanche

marquée par l'exubérance, le foisonnement de l’écriture et la surcharge ornementale, dominée entre autres par l'alambique rhétorique et la multiplication de figures de style comme la métaphore. Le théâtre et le roman mettent souvent en scène des personnages versatiles et mystérieux « portant un masque » (ex : Dom Juan avec une duplicité acharnée.). On a donc une récurrence de thèmes comme l’inconstance, l’illusion (pièce de théâtre L'Illusion comique de Corneille), les figures minérales, la métamorphose

d’horloge. 

 -Champs lexical de l’horlogerie (= ensemble des instruments crées par l’Homme pour mesurer SON temps) : cadran (v1, v4), son (v14, v20, v21) – horloge la plus primitive (clepsydre) à horloge moderne (cadran solaire) + jacquemart (v5-6) – métaphore sur le cadran solaire (v2, v5-6) 

 -Division du temps, rappel du décompte : v 7, v9, v15, v21, temps naturel : v 8, v 19, série d’adverbes : v4 écho à v24, v11, v20-21-22, complément circonstanciel de temps : v 8 et 9 + « où » 

 -Système des

peut-être ainsi, comme lui-même le ferait à leur place. Ainsi, les personnages qui se confient sur scène, se déchirent ou s’aiment sont les rêves de l’auteur, animés par des comédiens qui les « jouent », dans un décor souvent stylisé où tout est signe, métaphore. La mise en scène d’ « Antigone », imaginée par Anouilh, est très dépouillée. Les deux seuls accessoires de la pièce sont un bol et une chaîne. Le premier est apporté par la nourrice et cet objet familier conduit Antigone à redevenir l’enfant qui

d’horloge. 

Champs lexical de l’horlogerie (= ensemble des instruments crées par l’Homme pour mesurer SON temps) : cadran (v1, v4), son (v14, v20, v21) – horloge la plus primitive (clepsydre) à horloge moderne (cadran solaire) + jacquemart (v5-6) – métaphore sur le cadran solaire (v2, v5-6) 

Division du temps, rappel du décompte : v 7, v9, v15, v21, temps naturel : v 8, v 19, série d’adverbes : v4 écho à v24, v11, v20-21-22, complément circonstanciel de temps : v 8 et 9 + « où » 

Système des temps

Étape 6 Étape 7 Étape 8 Un théâtre dans tous ses états ................................ Un nouvel avatar du mythe de Don Juan ............ Don Juan à la recherche de lui-même : sincérité, duplicité, complicité ................................ Le libertinage dans la dramaturgie de sa problématique ...................................................... Don Juan traître à lui-même ou la mort d’un surhomme ................................................................... Une dramaturgie

spectateur mais aussi celle de l'universalité de cette image qui dépasse les particularités d'existences singulières. Autrement dit, le spectateur peut-il se reconnaître dans l'Antigone de Sophocle créée cinq siècles avant Jésus-Christ, ou dans le Dom Juan de Molière créé au xviie siècle aussi bien que dans Les Bonnes de Jean Genet, pièce écrite en 1947 et inspirée par un fait divers contemporain, celui des sœurs Papin, deux employées de maison qui ont sauvagement assassiné leurs patrons ? Nous verrons

représentation plus directe des rapports sexuels, toutefois le phénomène actuel va au-delà de la manifestation de cette licence. La sexualité est devenue un terrain où se concentrent bien des égarements et des incertitudes contemporaines, une sorte de métaphore des doutes existentiels. Par là s'expriment des souffrances qui sont aussi morales que physiques. En puisant encore une fois dans la mise en scène de Claude Poissant du Triomphe de l'amour, on trouve l'illustration de cette présence soulignée du