Dom Juan Métaphore

_ Cultivée : elle s’est construite elle-même  Son style est bref, varié et efficace. Elle a une maîtrise parfaite de la langue française et utilise un vocabulaire varié.  Elle utilise de nombreuses images et métaphores et comparaisons : (l.10).  Le Vicomte de Valmont : C’est le personnage qui écrit le plus de lettres (51 sur 175) et en reçoit 39. Il a le plus de correspondants. Son langage est proche de celui de Madame de Merteuil. Il est également le reflet

conduit à « balayer » le texte plusieurs fois, jusqu’à ce que toutes les questions aient trouvé leur réponse. Premier travail donc => définir grosso modo la problématique. (De quoi parle le texte ? Que raconte-t-il à première vue ? (le final de Dom Juan met en scène la mort d’un libertin intraitable par exemple). S’il ne « raconte » pas de façon évidente, quel est son propos : une description par exemple, un éloge, un blâme… (Quelle(s) déformation(s) l’auteur y imprime-t-il ? Ces déformations

réalité. 1. Elle conditionne notre vision du monde. ° Héros de fiction qui deviennent des références pour qualifier des comportements. On verra désormais un homme qui se bat contre des causes perdues comme un DQ ou un coureur de jupons comme un Dom Juan. ° …Tel qu’il pourra être. Exemple Orwell, 1984. Puisqu’on ne sait de quoi l’avenir sera fait et que la fiction est le territoire du conditionnel, notre vision du futur à tendance à être façonné par les fictions qui parfois portent un message prophétique

Jean-Poquelin est né en 1622 et est mort en 1673. C’est un auteur dramaturge du l’époque du classicisme. Il est comédien et chef de troupe du théâtre français sous le règne de Louis 14. Il est l’auteur de nombreuse pièce de théâtre les plus connues étant Dom Juan, Les fourberies de Scapin, L’école des femmes, Les précieuses ridicules, Le tartuffe, Le médecin malgré lu, L’Avare et Le malade imaginaire. Ce texte est un extrait de Les Femmes savantes qui est une comédie en 5 actes écrite en 1672. Dans cette

de fondement de la peur de la divinité, tout comme dans la Lettre à Hérodote d’Epicure : il est inutile de craindre les dieux, car ils sont bienheureux, ils ne se soucient pas des hommes. C’est ce que Molière réunit dans le personnage éponyme de Dom Juan qui ne croit ni en Dieu, ni à la vie après la mort, seulement en l’instant présent, c’est ce qui fait de lui un libertin. La critique du pouvoir religieux est relayée par la critique des notions de vice et vertu. La Motte-le-Vayer, avec De la divinité

ferveur... »; « Mon bon Ange m'a conduit ici... »; « la Divinité que j'adore... ». Il y a même une allégorie religieuse : « et si ce Dieu-là nous jugeait sur nos œuvres... », la notion de libertinage est ici représentée en la personne de Dieu. Ces métaphores filées : « nous prêchons la foi chacun de notre côté... », « cette mission d'amour... » concrétisent un principe du libertinage : il faut séduire sans s'attacher. C'est une sorte de profanation, car les tentations immorales du Vicomte sont incompatibles

femmes", jouée dans sa nouvelle salle du Palais-Royal en 1662. Victime de son succès Molière est critiqué par des jaloux et surtout par le parti religieux, qui l'accuse d'athéisme, le qualifie de démon et fait interdire deux pièces: "le tartuffe" et "Dom Juan". Quand "L'avare est créé, le 9 septembre 1668, Molière n'a pas encore gagné, malgré l'appui de Louis XIV lui-même, ce qu'on appelle «la bataille du "Tartuffe"». La pièce interdite ne sera jouée que le 5 février 1669. La couleur assez sombre de "L'avare"

fermés » à la fin, p.137 Lectures cursives : Lectures obligatoires: Shakespeare, Le Roi Lear . Cette lecture est évaluée par un contrôle de lecture. Lecture(s) conseillée(s): Racine, Bérénice ou Andromaque ou Phèdre ; Molière, Le Tartuffe ou Dom Juan ; Marivaux, Le jeu de l ‘amour et du hasard ; Beckett Fin de partie. |Complément | Les

Tous les arts sont mis au service de la propagation de la foi. Le baroque est aussi utilisé pour exalter la puissance de la religion catholique. LE CONTEXTE INTELLECTUEL : Par ailleurs, se développe un courant de libre pensée - les libertins (Dom Juan) - qui critique le christianisme et défend une conception matérialiste du monde. Aussi, les mœurs sont plus légères. Les grandes découvertes ont aussi des effets sur l’art et notamment sur le baroque; Il ne faut pas oublier que c’est l’ère de l’héliocentrisme

litanie, enveloppante, très structurée et imagée du Dealer qui joue de nombreuses figures de répétition, « avec l’humilité de celui qui propose […] avec l’humilité de celui qui possède ». L’extrême densité du discours, la force évocatrice de ses métaphores et images, emportent les spectateurs dans le flux du discours, et la tension croît dans l’attente de la réponse. Ces scènes ont beau être invraisemblables, elles n’empêchent pas l’illusion théâtrale de s’installer de par la force poétique des personnages