Dom Juan Parodie

comportements frisent la parodie. Dom Juan ou le Festin de pierre Dom Juan1 ou le Festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement trois, cinq, cinq, huit et six scènes) et en prose jouée pour la première fois le 15 février 1665 au Théâtre du Palais-Royal. Personnages[modifier] • Dom Juan, fils de Dom Louis. • Sganarelle, valet de Dom Juan. • Done Elvire, femme de Dom Juan. • Gusman, écuyer de Done Elvire. • Dom Carlos & Dom Alonse, frères

inquiéter les rivaux de Molière et de quoi déranger les ennemis du théâtre. Molière va alterner dans sa production comédies légères, destinées à plaire au roi et au grand public, et quelques grandes comédies aux sujets graves, par goût de la satire. Dom Juan ou le Festin de pierre (1665) : Molière reprend l'histoire du séducteur de Séville, mais accentue le cynisme du personnage. Le Misanthrope (1666) : l'atrabilaire Alceste, ne pouvant mettre en accord sa franchise avec le scepticisme souriant de Philinte

française. La fin de la querelle du Cid est tardive et annonce finalement la victoire du théâtre régulier. 5) Le monologue peut aider le héros tragique à faire le point, à poser son dilemme. C’est le cas de Dom Rodrigue où la question se pose si le héros doit obéir à son père et le venger en tuant Dom Diegue qui est aussi le père de sa bien aimée : Chimène. Ou bien s’il doit abandonner toute idée de vengeance pour garder sa maîtresse. «  Il faut venger un père et perdre une maîtresse, l’un m’anime le

Béziers. 1660 : contraints de quitter salle du petit Bourbon, comédiens s’installent définitivement au Palais-Royal. 1660 : Sganarelle ou le Cocu imaginaire, nouveau grand succès. 1661 : Molière, soucieux de réussir dans genre noble, écrit Dom Garcie de Navarre ou le Prince jaloux, « comédie héroïque » -> aucun succès. -> se consacre alors essentiellement au comique : à partir de cette date et jusqu’à sa mort, il écrit et met en scène en moyenne deux pièces comiques par an. L’École

ont pu l'inspirer, La Machine infernale peut par exemple susciter le désir de (re)lire Œdipe roi de Sophocle. De même, le lecteur intéressé par le mythe de Don Juan pourra par exemple, après avoir lu sa version la plus célèbre, le Dom Juan de Molière, prendre connaissance de El Burlador de Sevilla de Tirso de Molina, lire/relire le « Don Juan aux Enfers » de Baudelaire, écouter le Don Giovanni de Mozart et voir le film de Joseph Losey. Il aura ainsi le plaisir de retrouver des thèmes, des problématiques

jésuites, il s'est fait des amis auxquels il demeurera longtemps attaché : Chapelle et Bernier. Il connaitra aussi un prince de Conti, qui le protégera, lorsqu'il jouera dans le Languedoc, puis l'abandonnera, le combattra et sera peut-être le modèle de Dom Juan, si débauché et frauduleusement converti... Il n'a pas aimé l'aristotélisme de ses maîtres. Il a appris à se moquer du culte de l'antiquité et de la rhétorique sclérosée. Son bref passage à l'université d'Orléans n'a pu modifier ses sentiments. Il

auparavant à Béziers. En 1660, contraints de quitter la salle du petit Bourbon, les comédiens s'installèrent définitivement au Palais-Royal. Après Sganarelle ou le Cocu imaginaire (1660), Molière, soucieux de réussir dans le genre noble, écrivit Dom Garcie de Navarre ou le Prince jaloux (1661), « comédie héroïque » qui n'obtint aucun succès. Il se consacra alors essentiellement au comique: à partir de cette date et jusqu'à sa mort, il écrivit et mit en scène en moyenne deux pièces comiques par

moquant des moeurs de la société. On peut voir un tel témoignage de l´époque dans George Dandin (de Molière) qui réflechit dans la première scène sur son mariage. L´allié proche de la satire, la parodie se manifeste par l´imitiation plaisant. La comédie Les Précieuses ridicules reste un bon exemple de la parodie de l´époque - Molière s´y moque de langage raffiné du XVIIe siècle. Enfin, le comique de la comédie ne se limite pas seulement à son auteur et à son texte s´il s´agit de la représentation théâtrale

16). Ces répliques de Dorante laissent donc présager une sorte de périple plein de dangers, de mystère où ils risquaient leurs vies. Mais on peut aussi se demander si Dorante n’exagère pas un peu dans ses propos, si ici Corneille n'avait pas voulu parodier, se moquer du personnage d'Alcandre plutôt que de le rendre vraiment effrayant et mystérieux. - Cette grotte dont nous avons vu sont côté mystérieux représente une nouvelle étape, dans la recherche de Pridamant de son fils Clindor. Le côté pathétique

(beaucoup d’exclamations) et très théâtral : il lui prend la main, il la regarde, etc. Mais il est évidemment dans l’exagération, il en fait trop cf la quantité d’hyperboles dans son discours « cent fois » « toute ma vie ». On bascule en fait dans la parodie d’une déclaration amoureuse où Rodolphe apparaît bien comme un séducteur qui cherche à capturer sa proie cf la comparaison au sujet d’Emma « comme une tourterelle captive qui veut reprendre sa volée ». Il n’utilise en fait qu’une série de clichés