Dom Juan Satire Social

siècle ont souvent mis en évidence des défauts humains tels que l’avarice avec Harpagon dans L’Avare, la misanthropie avec Alceste dans Le Misanthrope sans oublier M. Jourdain dans Le Bourgeois gentilhomme qui souhaiterait outrepasser sa condition sociale. Ainsi, Molière propose une vaste étude des moeurs et des caractères qui se poursuit dans Le Malade Imaginaire avec Argan, malade imaginaire et personnage principal de sa comédie en 1673. Le rire est alors au service d’une réflexion morale comme

faire sortir des galères de la vie quotidienne ? (...) Introduction I) Un univers banal et ordinaire A. Le drame bourgeois B. La caricature au service de la dénonciation II) Un univers différent et intense A. La tragédie B. Le cartharsis sociale ou purgation psychologique C. L'affrontement de deux idéologies Conclusion Sujet : Selon vous, une pièce de théâtre doit-elle peindre le tableau de notre vie quotidienne commune, ou au contraire nous présenter une crise exceptionnelle qui se

histoire » de héros au service des idées libérales de Hugo en faveur du peuple (Ruy Blas). Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu, un plaidoyer pour la paix avant que n’éclate la Deuxième Guerre mondiale. • Les romans : le roman à portée sociale (Germinal de Zola). La variété des types de personnages Des bons, des méchants, des personnages proches de la réalité, des personnages fantaisistes… À développer à partir de vos connaissances personnelles La variété des registres possibles La

scène est amusante, quand elle fait rire. Rque : l’humour, lui, joue sur les idées.  de situation  de gestes  de mots  de caractère Satirique : critique basée sur le comique, la moquerie.La satire veut dénoncer un défaut,un abus,etc. Dramatique :quand l’ action est intense ( = rythme, tension,suspense,violence) ; cela vient du mot grec « drama » signifiant action. Tragique : quand un personnage sent peser sur lui la fatalité qui le

dissimulée. La tension dramatique est donc grande, et correspond à ce qu’on attend d’un dénouement et le plaisir du spectateur est à son comble quand la vérité éclate. Conformément à l’esthétique de la comédie classique, le dénouement rétablit l’ordre social et ouvre sur un avenir optimiste. La scène est marquée par deux coups de théâtre importants. La scène voit tout d’abord le retour de Tartuffe, absent depuis la fin de l’acte IV, comme l’indiquent les didascalies qui précisent les personnages. Mais

arts des acteurs sociaux, agissant sur les consciences et pouvant les modifier. Dans la comédie, le rire n'est pas toujours le but unique ou n'est qu'un moyen d'agir sur les spectateurs ; Il vise la critique sociale : plaire et toucher, toucher pour dénoncer, porter à la conscience. C’est le cas de Molière dont tout le théâtre propose une satire psychologique (L’Avare, Le Malade imaginaire) et surtout sociale (Le bourgeois gentilhomme, les faux dévots avec Tartuffe et Dom Juan), c’est le cas de

unis par l’intelligence la plus subtile, déjouant les projets du comte et, le rendant ridicule, l’amenant au repentir, la pièce est aussi une comédie de caractères par la diversité des types humains qu’elle nous propose : - le comte qui est le don Juan traditionnel ; - la comtesse qui est sensuelle, vibrante, passionnée, «agitée de deux sentiments contraires» (désolée et humiliée par l’infidélité de son mari, émue et un peu troublée par l’amour que lui voue le page) ; - Chérubin, le charmant et

Les Lumières I. Le contexte politique et social 1. Le siècle dit des Lumières débuta en principe suite à la mort de Louis XIV, en 1715, donc c’est le début de la Régence pour par Philippe, duc d’Orléans. Ce siècle prit fin à l’avènement de la Révolution française en 1789 ; S’ouvre le 5 mai les Etats généraux, en juin le serment du jeu de paume, en juillet se fut la prise de la Bastilles, ou encore le 4 août fut proclamée l’abolition des privilèges et le 26 août est adoptée la Déclaration

travaille l'invention comique de Molière pour atteindre à une signification humaine plus profonde. Molière s’est également servi d’un texte attribué à Charles Sorel, Les Lois de la galanterie*— qu'il aurait également utilisé pour L’École des maris, Dom Juan et Le Bourgeois gentilhomme, selon Claude Bourqui*—, qui énumère précisément les qualités dont il convient de faire preuve et les comportements qu’il sied d’adopter pour mériter le titre de galant. Ce texte mentionne ainsi entre autres la nécessité

bourgeoisie, qu'elle représente sans la moindre volonté de l'idéaliser, sans le moindre désir d'embellir les faits. Ce n'est pas là qu'on cherchera de belles descriptions de la nature ou des trésors d'imagination : ici les éléments essentiels sont la satire et la morale (apologue). Le Roman de Renart (composé de vingt-sept récits en vers, au XIIIème siècle) appartient à cette tradition satirique qui s’appuie autant sur le folklore populaire que sur des sources antiques (grande influence sur La Fontaine)