Domaines Stratégique Du Groupe Bombardier

Chapitre 2 - Système d’information décisionnel : à quoi cela sert-il ? Ce chapitre cherche à définir à quoi peut servir un système d’information décisionnel en explorant ces différents usages et certains aspects des méthodes d’analyse : Du pilotage stratégique à l’intelligence économique Les approches analytiques de pointe, data mining ou fouille de données Propos sur l’analyse Chapitre 3 - Système décisionnel et fonction marketing Quel peut être l’apport d’un système d’information décisionnel à la

Jefferson Clinton. 9/37 2001-2009 : Georges W. Bush (Junior) (Républicain) 2009-2013/2017 ? : Barack Hussein Obama (Démocrate) (Source principale des portraits et photograpĥies <http://www.whitehouse.gov/history/presidents/index2.html> ; photogr. de groupe en 1991) ● : Le Président détient de très importantes attributions. Il nomme les « Secrétaires » (dont les plus importants sont le Secretary of State Secrétaire d'Etat – qui est en charge du Département d'Etat – équivalent des Affaires étrangères

Pourquoi y a-t-il des entreprises publiques ? Existence d’un monopole naturel. C’est le cas pour l’électricité. Les investissements nécessaires sont tels qu’il faut un seul opérateur pour faire ces investissements. De plus, c’est considéré comme stratégique. Exemple : le nucléaire. Il est indispensable que l’État soit propriétaire de ces entreprises. Areva (nucléaire) est publique. EDF est aujourd’hui un monopole. Dans les années qui viennent, des entreprises privées vont surement intervenir. L’industrie

DOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2009 SOMMAIRE 1. 2. 3. RENAULT ET LE GROUPE 1.1 Présentation de Renault et du Groupe 1.2 L’Alliance Renault-Nissan 5 6 28 5. 6. RENAULT ET SES ACTIONNAIRES 5.1 Renseignements à caractère général 5.2 Renseignements concernant le capital 5.3 Marché des titres de Renault 5.4 Politique d’information 181 182 184 189 193 LE RAPPORT DE GESTION 2.1 Le rapport d’activité 2.2 La recherche et développement 2.3 La gestion des risques 2.4 Les rémunérations des dirigeants

Informations financières sélectionnées 2 1 2 3 4 Gouvernement d’entreprise 1.1 1.2 1.3 Le Conseil d’administration Le Comité exécutif groupe Bourse et actionnariat 5 6 31 32 5 Rapport financier 5.1 5.2 5.3 5.4 5.5 Investissements et financements Propriétés immobilières et équipements Commentaires sur les comptes Indicateurs financiers États financiers consolidés Notes aux états financiers consolidés Rapport des Commissaires aux comptes sur les comptes consolidés Comptes sociaux Résultats

Commerciales Madame Géraldine SCHMIDT Professeur I.A.E. de Paris, Université Paris I - Panthéon Sorbonne Monsieur Will MITCHELL J. Rex Fuqua Professor of International Management Duke University, The Fuqua School of Business Rapporteurs : Le Groupe HEC n’entend donner ni approbation ni improbation aux opinions émises dans la thèse, celles-ci devant être considérées comme propres à leur auteur. 1 REMERCIEMENTS Cette recherche est l’aboutissement de plusieurs années de travail. Nombreux

adresser nos premiers remerciements à tous ceux qui ont généreusement accepté de partager leur expérience professionnelle et personnelle avec nous. Nous avons une adresse particulière à l’attention : des Directeurs des Ressources Humaines de grands groupes qui ont accepté de nous accorder du temps pour exposer les pratiques de gestion sur le sujet ; d’Anne-Laure Hincky qui nous a fait part de son vécu au Collège d’Europe et à l’Agence Européenne pour la Reconstruction ; de Veronica, Yaël, Monica, Elodie

DOCUMENT DE RÉFÉRENCE INCLUANT LE RAPPORT FINANCIER ANNUEL 2013 CHANGEONS DE VIE CHANGEONS L’AUTOMOBILE SOMMAIRE 1 2 LE GROUPE RENAULT 3 1.1 Présentation de Renault et du Groupe 4 1.2 L’Alliance Renault-Nissan 26 1.3 Le Rapport d’activité – 2013 RFA 41 1.4 La Recherche et Développement RFA COMPTES RFA 227 4.1 Rapport des Commissaires aux comptes sur les comptes consolidés ✦ 228 4.2 Comptes consolidés 230 58 4.3 Rapports des Commissaires aux comptes 298 1.5 Les facteurs de

traditionnellement relations pacifiques/relations conflictuelles : lorsque les Etats ne se font pas la guerre, ils coopèrent. Quels principes, règles et déterminants gouvernent l’usage de la violence entre Etats? Quels sont les domaines de la coopération interétatique (politique, économique, stratégique etc) ? quelles sont les formes, les vecteurs de la coopération  (diplomatie bilatérale classique ou diplomatie institutionnalisée empruntant le canal d’une OI par ex)? Ces questions, resituées dans une perspective

actions – à défaut d'actions, au minimum des discours – qui tendent à maintenir un degré de confiance des populations dans leurs capacités à gérer les nouvelles situations qui verront le jour sous l'impulsion de ces contraintes. Or, dans certains domaines tels que la lutte contre le chômage, les politiques nationales ont des limites. Il est donc légitime de s'interroger sur les conséquences et sur les adaptations qui seront requises au niveau régional ou local pour tirer le meilleur profit des opportunités