Dominique Morneau

grève). Pour les français, la grève est un moyen d’ouvrir les négociations avec le gouvernement, et même parfois de le faire reculer. Cela a été le cas en 2006 avec les mobilisations concernant le CPE, qui avaient contraint le premier ministre Dominique De Villepin a abandonner son contrat premier embauche comptent tenu des vives revendications. Plus récemment, les mobilisations pour les retraites ont fait parler d’elles. Débutées en Mars 2010, les protestations contre la réforme des retraites

1995). -    Affaire Karachi : soupçons de corruption sur le financement de la campagne électoral d’Edouard Balladur. Mise en examen de l’ancien ministre de droite Renaud Donnedieu de Vabres -    Elections France : annonce de la candidature de Dominique de Villepin (Parti solidaire) -    Ilich Ramirez Sanchez (Carlos) : perpétuité pour quatre attentats -    Prothèses mammaires : société Poly Implant Prothèse (PIP). Fondateur de la société : Jean-Claude Mas -    France Soir : fin de l’édition

est une loi française essentiellement destinée à lutter contre la « délinquance » et la criminalité organisée. Elle a été publiée le 10 mars 2004 dans leJournal Officiel et tire son nom du garde des sceaux du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin, Dominique Perben (UMP). Cette loi a introduit diverses notions inédites, telles que le « plaider coupable », le « stage de citoyenneté » ou la création d'un mandat de recherche d'une part, et d'autre part d'un Fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions

Mesure phare du gouvernement de Dominique de Villepin, le « contrat nouvelle embauche » et le « contrat première embauche » ont relancé en 2006, sur fond de conflits sociaux, la traditionnelle polémique relative aux politiques de flexibilité accrue du travail. Ces contrats, assortis d’une période d’essai de deux ans, incarnent pour les uns le summum d’une précarité honnie. Aux yeux des libéraux, ils devraient au contraire stimuler l’emploi en offrant aux entreprises une formule d’embauche peu contraignante

Les Verts passent un accord avec Génération écologie de Brice Lalonde pour présenter des candidats uniques aux législatives sous la bannière "Entente des écologistes". Sur la profession de foi des candidats, la photo regroupe : Antoine Waechter, Dominique Voynet, Yves Cochet, Brice Lalonde, Andrée Buchmann, Noël Mamère... Cette ligne politique est abandonnée en 1994 à l'Assemblée générale de Lille, les Verts décident alors d'accepter de passer des alliances dès le premier tour pour les élections

Mitterrand). En un mot il dispose d’un pouvoir quasi discrétionnaire. Son choix en principe sur in député. Mais il peut désigner un sénateur (J.-P. Raffarin en 2002 ou F.Fillon en 2007), voire un non-parlementaire (G.Pompidou, 1962 ; Raymond Barre, 1976 ; Dominique de Villepin, 2005 ) sans oublier pour autant la composition politique de l’Assemblée. En cas contraire celle-ci pourra s’opposer au choix présidentiel en refusant son concours au premier ministre ou en votant une motion de censure à son encontre

250 198 voix 6. 2012 Nicolas Dupont-aignan Debout la République 1,98 % 25 854 voix 2007 Philippe De Villiers Mouvement Pour la France 2,14 % 29 183 voix 7. 2012 Eva Joly Europe Ecologie les Verts 1,75 % 22 753 voix 2007 Dominique Voynet Les Verts 1,58 % 21 562 voix 8. 2012 Philippe Poutou Nouveau Parti Anticapitaliste 1,39 % 18 173 voix 2007 Olivier Besancenot Ligue Communiste Révolutionnaire 5,20 % 70 931 voix 9. 2012 Nathalie Arthaud Lutte Ouvrière

que vous ne comprenez pas. Tenez vous en aux faits ! Audience oblige, radios et surtout télévisons ont pris l’habitude de mettre en scène l’information. Et l’opprobre de s’abattre sur celui ou celle (voir la gestion comparée des marées noires par Dominique Voynet et Roselyne Bachelot) qui n’est pas filmé sur place dans les toutes premières heures qui suivent un drame. C’est au nom du rappel à cette règle du jeu (et non pas du « je »), qu’un média-training vous permet de passer du statut de consommateur

(diminution des dépenses publiques avec un allégement des impôts) et la réforme des institutions européennes. La paternité de cette décision, qui contrairement aux précédentes dissolutions apparaît d'avantage stratégique, est souvent attribuée à Dominique de Villepin, alors secrétaire général de l'Élysée. Les élections législatives sont organisées les 25 mai et 1er juin 1997. Cette dissolution a fait coulé beaucoup d'encre et a été mal perçue par l'opinion publique qui, elle, n'en voyait pas la

Jean-pierre Raffarin et Dominique de Villepin se sont distancés des propositions contenues dans ce discours. Les trois premiers ministres ont même été jusqu'à critiquer les propositions de Sarkozy: Selon eux, ces propositions rappellent trop le passé fasciste de la France et elles peuvent s'averer nuisibles non seulement à l'ordre social mais aussi à la place qu'occupe la France au niveau internationnal. Dans une interviex publiée dans un article du journal le Monde, Dominique de Villepin a qualifié