Don Fernand Le Cid

à son mari était totalement dépendante de lui. Aussi le fin'amor était souvent une relation hors mariage dans laquelle le jeu amoureux était codifié par des étapes. A la rencontre et à l'échange de regards succèdent les promesses, le baiser puis le don de soi. Le déroulement de ce schéma est, bien sur, modifié par des épreuves qui viennent séparer les deux amants comme la guerre et le danger de mort. C'est en franchissant tous des obstacles que les deux amants atteignent les perfection morale. La

détail cette recherche stylistique (ainsi que les nombreuses références) permanente chez Valle à travers l’étude conjointe de plusieurs de ses écrits et la comparaison de ceux-ci avec ceux de ses contemporains espagnols et européens. Nous tenterons de donner notre interprétation du théâtre particulier de Valle qui parvint à renouer avec le genre tragique même si celui-ci n’y est plus abordé sous le même angle que dans les œuvres de Lope ou Calderón, par exemple. L’objectif ici de notre étude correspond

un demi dieu, voire un fleuve « en personne », que le peuple contemple et écoute. Le comédien est anonyme. Exactement le contraire du théâtre réaliste ou du cinéma. Il est difficile au spectateur, après avoir vu G. Philippe dans Julien Sorel, de donner au personnage de Stendhal d’autres traits que ceux de la vedette. Le cinéma limite l’imagination, le théâtre grec l’exaltait. Tout est codifié, mais le code change avec les époques. Robe pourpre : roi, robe blanche : princesse… Les Trois grands :

Dias double le cap de Bonne-Espérance. Enfin, en juillet 1497, Vasco de Gama contourne le continent africain pour se diriger vers les Indes d’où il ramène de multiples épices jusqu’à Lisbonne, au Portugal. Entre 1521 et 1522, le Portugais Fernand de Magellan, alors au service du Royaume d’Espagne, mène une expédition ayant pour objectif de contourner le sud du continent américain, puis de traverser l’océan Pacifique. Malheureusement, Magellan ne peut achever son périple, puisqu’il est tué

demande Shakespeare, on me donne Ducis.» Portrait d’Alexandre Dumas Tout le monde en convenait : le besoin d'une littérature renouvelée se faisait sentir. L'empressement avec lequel le public se pressait à l'Odéon, où des auteurs anglais venaient donner des représentations des pièces de Shakespeare, en témoigne, car il fallait que l'opinion se fût nettement prononcée en faveur des idées nouvelles pour que l'on courût applaudir les rudes chefs-d'œuvres du poète anglais. Mais autre chose était la

demande Shakespeare, on me donne Ducis.» Portrait d’Alexandre Dumas Tout le monde en convenait : le besoin d'une littérature renouvelée se faisait sentir. L'empressement avec lequel le public se pressait à l'Odéon, où des auteurs anglais venaient donner des représentations des pièces de Shakespeare, en témoigne, car il fallait que l'opinion se fût nettement prononcée en faveur des idées nouvelles pour que l'on courût applaudir les rudes chefs-d'œuvres du poète anglais. Mais autre chose était la

demande Shakespeare, on me donne Ducis.» Portrait d’Alexandre Dumas Tout le monde en convenait : le besoin d'une littérature renouvelée se faisait sentir. L'empressement avec lequel le public se pressait à l'Odéon, où des auteurs anglais venaient donner des représentations des pièces de Shakespeare, en témoigne, car il fallait que l'opinion se fût nettement prononcée en faveur des idées nouvelles pour que l'on courût applaudir les rudes chefs-d'œuvres du poète anglais. Mais autre chose était la

milliers d'hommes partis, et que un très grand nombre de femmes vont se retrouver à confectionner des colis pour les soldats mais aussi dans les usines d’armes, ou elles sont majoritaire, (les munitionnettes), car le besoin d’armement est énorme, à donner des soins, à conduire les tramways, les métros ou des ambulances, à travailler dans les postes, les banques, l'administration ou le commerce. Elles gèrent tous toute seule. En devant prendre chaque instant des décisions importantes ou à devoir faire

bourgeoisie. De Françoise Sagan à Françoise Dorin, la palette de ses héritiers ne manque pas de couleurs. Anouilh habitait le théâtre comme un fantôme ou un machino. C’était là son charme et sa limite. Le choc des années cinquante allait subitement donner un coup de vieux à ce théâtre. Le choc des années cinquante Au Théâtre des Noctambules, Nicolas Bataille monte La Cantatrice chauve, d’Eugène Ionesco, Jean-Marie Serreau La Grande et Petite Manoeuvre, d’Arthur Adamov, avec Roger Blin, Jean Vılar

d’autant plus que Louis XIV aime les arts et s’entoure d’une cour très brillante. Il encourage et aide les artistes ; il fait construire de splendides châteaux, tel le Château de Versailles. Il fait venir à la cour les écrivains les plus réputés, il fait donner de brillantes représentation théâtrales et, en un mot, ‘‘patronne’’ les lettres et les arts. Or cet engouement pour la vie artistique coïncide avec l’apparition, entre 1660 et 1680, de très grands écrivains. Ce sont les écrivains classiques. Donc