Don Juan Acte Ii élément Pathétique

figure royale est d’abord l’autorité légitime qui sait imposer un ordre : si son nom répand la terreur (v. 1), c’est que sa force est respectée, et respectable. À cette force qui protège la paix s’ajoute la justice, « ses justes faveurs aux mérites donnés » (v. 11), qui sait reconnaître et encourager les vraies valeurs et favorise le progrès. La troisième vertu dont il doit faire preuve est le respect du dieu de ses ancêtres, « la foi de ses aïeux » (v. 13). Si le nom du roi inspire la terreur à ses

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

Il a vingt ans et sa vie est marquée par la mort de son père sur l’échafaud condamné par le père de don Carlos (le roi) ; d'où sa haine envers cet homme. * Don Carlos est roi d’Espagne. C’est un personnage type de la Renaissance, capable du meilleur et du pire, traversé de tous les contrastes. Il feint la soumission au pape et exerce un chantage sur Don Ruy. Il sera élu Empereur ; * Don Ruy Gomez de Silva « duc de Pastrania » est un vieillard amoureux. C’est un duc riche, puissant, et c’est

Otto Rank (1932) Don Juan et Le Double Essais psychanalytiques Traduit par le Dr S. Lautman Un document produit en version numérique par Pierre Tremblay, Collaborateur bénévole Courriel: peninsule@gmail.com Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi en collaboration avec la Bibliothèque

utilise des mots de romancier “Le roman de la famille Almaviva” I.A.2 Absence de description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène

y a des excès : la compagnie du Saint-Sacrement devient un groupe de pression : elle sera dissoute en 1665. C'est le renouveau du catholicisme à cette époque qui est à l'origine des multiples attaques contre Molière, pour ses pièces Tartuffe et Dom Juan, on le soupçonne d'impiété, de libertinage et son mariage avec la sœur de son ancienne maîtresse, qui a de plus vingt ans de moins que lui, donne un motif de reproche supplémentaire à ses détracteurs. D'autres auteurs sont également critiqués pour

A Acte Division externe de la pièce en parties d'importance sensiblement égale, en fonction du déroulement de l'action. Pavis 1987 Acte de langage Unité de parole définie dans sa capacité d'influencer ou d'orienter l'agir. L'énoncé est : locutoire en ce qu'il est une prise de parole, production d'une séquence verbale sonore et organisée; illocutoire quand il établit ses conditions de réception et influence les relations entre participants; perlocutoire quand il indique l'effet recherché. On peut

A cela s’ajoute la restriction : « ne que », « rien de plus ». Il est donc par définition fragile et vulnérable, idée qui est reprise à travers l’image du colosse qui s’effondre sous son poids. La faiblesse de cette force est apparente (contraste). II-Dénonciation de la servitude volontaire du peuple, qui est la véritable cible de l’auteur A première vue, le peuple semble subir la tyrannie, ce qui nous laisse voir sa passivité « vous vous laissez enlever », « vous vivez de telle sorte que rien n’est

Bellay, « Sonnet XII », Les Regrets |Commentaire : Du Bellay, « Sonnet XII », Les Regrets | |- Hugo, « Réponse à un acte d’accusation » v. 61-80, Les Contemplations |Dissertation : La poésie ne doit pas décrire mais seulement suggérer. Vous discuterez cette affirmation… | |- Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet