Don Quichotte Relation Maitre Valet

personnages. -Dès la première page (incipit), on perçoit l’originalité de l’œuvre, on y découvre un double dialogue, l’un entre le narrateur et le lecteur, l’autre entre Jacques et son Maître, construits presque symétriquement et qui suscite une réflexion sur l’écriture romanesque.  -Nous suivons Jacques et son Maître dans leur voyage et leurs conversations soulevant sans cesse des questions morales, sociales, philosophiques, en particulier l’interrogation centrale, que suggère le titre sur la liberté

et défendre les valeurs de liberté et d’égalité. L’auteur incarne l’esprit de ce mouvement littéraire. Engagé dans de nombreux combats, il écrit des lettres philosophiques qui lui auront valu vingt ans d’exil puis finira sa vie en devenant le « don quichotte des malheureux ». Ce conte philosophique vise à amener une morale au lecteur grâce au personnage éponyme du naïf Candide. A travers ce texte, Voltaire critique l’optimisme de certains philosophes comme Leibniz , mais il dénonce également l’esclavage

jouent masqués, chaque masque représentant un personnage : Pantalon (vieillard amoureux cherchant à empêcher l'Amoureux et l'Amoureuse de s'aimer), le Dottore (pédant prétentieux), le Capitan (soldat fanfaron), le valet (Brighella, le valet sérieux, rusé, intelligent ou Arlequin, le valet gouailleur, grossier, fainéant). La Tragédie classique : on parle de tragédie classique pour des œuvres datant du XVIIe siècle. Elles sont rédigées en alexandrins (vers de douze syllabes), ont, en général,

l'institution, l'ordre et l'imaginaire(page 61) Toute institution se nourrit de règles imaginées qui, pour être un pur produit de l'imagination, n'en sont pas moins contraignantes, au point d'exclure de l'ordre institué celui qui ne les suivrait pas. Or, Don Quichotte, tout à la joie de son nouvel état de chevalier errant et à la facilité de monter à cheval et de s'éloigner, ne pouvait que se soucier de ne pas avoir été armé chevalier, ce qui l'excluait de l'ordre et lui interdisait de s'en réclamer devant les

en trahissant son amitié s’il parvient à s’échapper de l’île. Finalement c’est Kensuké lui-même qui aidera Michael à retrouver ses parents. Une lecture facile, qui tiendra les jeunes lecteurs en haleine grâce à cette belle histoire d’amitié et de relation avec les animaux. Le plaisir de la lecture tient aussi au talent de conteur de Michael Morpurgo et aux illustrations de François Place. Fable écologique (la chasse responsable de la disparition des orangs-outans) et fable historique (le bombardement

Deux personnages, un valet et son maître, chevauchent plus ou moins paisiblement sur des routes, vers une destination qui restera inconnue, s'arrêtent dans des auberges, devisent à bâtons rompus : questions philosophiques, souvenirs intimes, anecdotes... Au fil de leur voyage, d'autres individus de rencontre y vont aussi de leurs récits, et voilà que s'ouvrent de nouveaux tiroirs, qui multiplient les niveaux temporels et les registres, ou confondent allégrement la réalité et la fiction. Par-dessus

être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui donner bien du fil à retordre avec, entre autres, la venue de ses deux frères en Sicile pour trouver Dom Juan

attitude ne correspond pas néanmoins à un acte désespéré ; le libertin a toujours pris des risques mortels : sous Louis XIV, certains actes de libertinage pouvaient entraîner la peine de mort et la Cabale des dévots surveillait et dénonçait les libertins. Don Juan a sans doute toujours défié le pouvoir et la répression par sa conduite non-conformiste, car, pour un libertin, l’intelligence de l’homme et la puissance de l’individu ne peuvent être prouvées que par sa liberté de penser et d’agir : le suicide

vont s’enchevêtrer pour assurer l'originalité de ce genre littéraire. I-Roman et société Le roman, bien qu'il soit une œuvre de fiction, souvent considéré comme un divertissement dépaysant, entretient avec la réalité sociale un ensemble de relations complexes. Sur le plan artistique, il révèle les choix esthétiques de son époque. Sur le plan de « l'imitation du réel », il place ses actions et ses personnages dans un contexte historique et social précis. A-Le roman, révélateur d'un état social

film de Marcel Bluwal fait de Don Juan un être défendant avec acharnement son indépendance contre l’autorité des pères (Don Louis, le Commandeur, le Ciel). Impassible là où l’on voudrait le voir sourire, grave et presque inquiétant, son Don Juan est aussi perpétuellement en mouvement et semble même se précipiter au-devant de sa propre mort. La mise en scène de Bluwal se caractérise par quatre traits majeurs : son choix de décors naturels vastes et vides qui placent Don Juan face à une image de l’infini