Dors, mon amour

parapets ! Q 21 J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future vigueur ? - Q 22 Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. O que ma quille éclate ! O que j'aille à la mer ! q 23 Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide

je t'aime par dessus tout. Te dire que personne ne te fera du mal. Etre toujours là pour toi. Te dire qu'il ne faut pas t'en faire. Te dire que la vie est belle, que ce n'est que passager. Te dire que toi & moi c'est infini. Te dire que notre amour n'est pas comme les autres. Te dire que tu es unique. Te dire que tu es magnifique. Te dire que je veillerais toujours sur toi. Te dire que je ne veut aimer que toi. Te dire que personne ne t'aimera autant que moi.» Tu ecris son nom sur le miroir

anciens parapets ! J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.  Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer ! Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers

........................................ VIII. .............................................................................................. IX. ................................................................................................. X. Amour ..................................................................................... XI. ?............................................................................................. XII. Explication .............................................

merveilleuse où je vis donne un bal […] C'est cependant un poème de fin d'amour, car Lou se désintéresse d'Apollinaire qui lui écrit, tendrement: Les amours qui s'en vont sont plus doux que les autres Pour Case d'armons Apollinaire trouvera: Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Le rythme plus régulier, l'amour au singulier et l'assonance reliant le sujet et le verbe, l'amour et la mort, augmentent le charme de cet alexandrin mélancolique. Dans la version destinée à Lou cette tristesse

veines. Il bondirait, fuirait la plantation. La pluie se ferait complice de sa peine, De son désir, de son besoin, de sa passion. Elle effacerait toute trace de ses pieds. Car le hocco de sa peau est hérité De lignées qui plongent dans l’éternité Leur amour de la liberté, leur caractère entier. Mais, soudain, comme un enfant, Il tendit les deux mains. Comme un enfant insouciant, Il se mit à rire et à danser sous la pluie. ERREUR FATALE L’eau chaude goutte A goutte dans le bol Ouvert sur mille et

veux, même nulle part. Du moment que tu m'amènes avec toi. Puis un jour cette personne que tu as tant aimé, puis tant détesté tu finis par ne plus rien ressentir du tout pour elle. Tu n'y penses plus avec amertume, tu n'y penses pas non plus avec amour. T'y penses c'est tout. Avec le temps, on finit même par ne plus y penser que rarement. Parfois tu ressens de la gratitude pour les bonnes choses qu'elle t'as apporté et tu mets de côté les mauvaises parce-qu'au final elles ne sont pas si importantes

pitier, cessez de vous lamenter ! T'en vois de l'amour quelque part ? Moi j'en vois partout, partout qui traîne. Il peut être n'importe où, devant toi, derrière toi et même des fois juste à côté de toi. Mais voilà, il n'est jamais à toi cet amour, il est toujours aux autres. Et toi tu regarde. Tu souris bêtement mais au fond tu souris triste. Même si l'amour ne dur pas longtemps, on y garde une part de bonheur. Mais voilà toi le bonheur tu connais pas. t'as jamais eu trop de chance à tout ça

– être. Et que devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours des années, je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et de l’amour , et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venus. J’ai tant rêvé de toi

l'heure | |Sans doute que je m'éveille. |Les jours s'en vont je demeure | |Je dors debout, le corps exposé | | |A toutes les apparences de la vie