Dosage Colorimetrique

de base ; rédaction d’un cahier de laboratoire - Préparation d’une solution, dilution ponctuelle ou en cascade, manipulation de faibles volumes - pHmétrie - Préparation d’une solution complexe - Spectrophotométrie - Dosages colorimétriques ; notion d’exactitude - Extraction et dosage d’une molécule provenant d’une matrice biologique X3B0070 Microbiologie L’objectif de cette UE est de montrer aux étudiants le rôle primordial des micro-organismes dans la nature et dans plusieurs domaines de la

O O O O NH2 CH R COOH CH N OH O COOH + H 2O currentpoint Il s’agit d’une réaction très sensible (seuil de détection voisin de la pmole) qui permet des dosages de quantités d’acides aminés de l’ordre de 0,1 nmole. La fluorescamine ne réagit pas non plus avec les amines secondaires comme la proline ou ses dérivé. Pour réaliser le dosage de ces acides aminés il faut donc les transformer en amines primaires par traitement à l’hypochlorite ou à la N-chlorosuccinimide . page 40 r Jean-Louis CUQ

grandeur Niveau d’une nappe ou débit d’une source Une installation pilote pour les procédés complexes et multi-étapes 8 | Traitement de l’eau destinée à la consommation nature, comme par exemple la durée de séjour et de contact ou encore le dosage des additifs. Cette approche permet de réunir des données précieuses concernant l’installation grandeur nature, et d’anticiper à temps les problèmes éventuels. Les procédés pré/post-traitement introduisent souvent de nouvelles contraintes à prendre

prélèvement de 10 mL de la solution (A’) auquel on ajoute quelques gouttes de B.B.T., que l’on dose avec une solution normale de soude (B). 1. Ecrire l’équation de la réaction qui se produit. 2. Préciser la couleur du B.B.T. avant et après le dosage. 3. Déterminer la molarité de la solution (A’), puis celle de (A). 4. Calculer la masse de sel que l’on peut récupérer, en faisant évaporer l’eau. Exercice 23: 1. On prépare une solution S d’acide chlorhydrique, en dissolvant 56 cm3 de gaz

acides faibles et bases faibles ........................................ Polyacides et polybases, ampholytes, solutions tampon ......................... Réactions acides bases ...................................................................... Dosages acido-basiques ..................................................................... Équilibres de complexation ................................................................ 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38 40 42 44 Chimie

saisie des symptômes (idéalement au moyen de l’(IPSS), 2)-examen clinique (y compris toucher rectal [TR]), 3)- mesure du résidu urinaire et débimétrie urinaire, 4)- investigation du tractus urinaire supérieur (idéalement par échographie), 5)- dosage du PSA (Prostatic Specific Antigen) sérique. 6)- examen de l’urine. Ces investigations permettent un diagnostic Conclusif chez 90–95% des hommes âgés présentant des troubles de la miction. 1-les symptômes : Initialement, le patient

pourront peut-être pas être tous traités en séance. Certains seront traités en priorité, vous pourrez faire les autres chez vous et les faire vérifier par l’enseignant. Il est demandé d'apporter son cours en séance de TD. Thème 1 : Concentrations-Dosages (en 2 séances) Concentration : à faire en priorité : exo n° 1,2,3,4. Spectrophotométrie : à faire en priorité : exo n° 2, 3 et 4 (bien le détailler) Thème 2 : Glucides (en 2 séances maxi) à faire en priorité : exo n° 2, 3, 4 et 5. Thème 3 : Acides

acides faibles et bases faibles ........................................ Polyacides et polybases, ampholytes, solutions tampon ......................... Réactions acides bases ...................................................................... Dosages acido-basiques ..................................................................... Équilibres de complexation ................................................................ 30 32 34 36 38 40 42 44 Chimie des solutions Solubilité

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 7. Réactions d’oxydoréduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 8. Dosages directs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 LA CHIMIE CRÉATRICE 9. La chimie organique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

nécessaires à la compréhension de l’ouvrage : historique, documents, dossiers, rapports, implantation, orientation, date de construction, plans de coffrage et de ferraillage, environnement (nature chimique, vents dominants), matériaux (ciment, agrégats, dosage), etc. un examen succinct de l'intégralité de la structure, et le relevé de tous les symptômes avec prise de photographies. On utilisera les moyens d'accès les plus adaptés : il est nécessaire de voir de près les surfaces dégradées. Quelques tests