Douleur abdominale

La prise en charge de la douleur et la dépendance aux morphiniques Situation de souffrance physiologique vécue le 13 mars 2014 La situation que je vais analyser concerne la prise en charge infirmière d’une patiente qui souffre physiquement et qui s’avérait sujette à une possible dépendance à la morphine. Cela amène plusieurs axes de réflexion à propos de cette prise en charge en milieu hospitalier. Je l’ai choisi car cette étude nécessite de se renseigner sur les mécanismes d’actions

hospitalisée a deux reprises en Fevrier 2011 et Janvier 2012 pour LEC suite à la presence de calculs caliciels, une sonde JJ a été mise en place. Elle est de nouveau adressée au service d’urologie le 10 Juin 2012 pour ureteroscopie suite a une echographie abdominale et pelvienne ayant montré une dilatation des cavités pyelocaliciennes avec présence de deux calculs de l’uretère droit et d’une volumineuse lithiase gauche Resumé d’hospitalisation : Mme P est admise le 10 juin 2012 dans le service d’urologie

l'émission fréquente de selles molles, liquides et non formées. DOULEUR AIGUE Souffrance intense ou sensation de malaise subie et signalée par la personne. DOULEUR CHRONIQUE Douleur persistant depuis plus de six mois. Remarque : la douleur indique que quelque chose ne va pas. La douleur chronique peut aussi bien être récurrentes (migraines par exemple) que constante. D'une manière ou d'une autre, elle est invalidante. Le syndrome de douleur chronique se manifeste souvent par des comportements acquis

lunettes. - Présentation psychologique : Anxieuse fasse à la douleur, mais soulagée par les traitements - Mode d’habitation : Habite dans une maison en ville qui possède des escaliers. - Habitude de vie : Régime diabétique, se couche vers 23h. - Degré d’autonomie avant hospitalisation : Autonome. Histoire de la maladie : - Antécédents : DNID - Histoire de la maladie avant l’hospitalisation : Etant en promenade, Mme C. à une douleur au niveau du flanc droit, comme cela lui ai déjà arrivé elle

une capnie à 40mmHg. Sur le plan cardio : un ECG a révélé une ACFA (tachycardie à 120 pulsations par minute). Elle présente également une hépatalgie avec un discret reflux hépato jugulaire (signe insuffisance cardiaque droite). Elle ressent une douleur au niveau du mollet gauche et présente des oedèmes au niveau des membres inférieurs. Sur le plan biologique Mme PER avait une hypokaliémie qui a été corrigée par introduction de diffuK et de 3g de potassium dans sa perfusion, ainsi qu’une hyperglycémie

oculaires : Peu fréquent : vision trouble Affections gastro-intestinales : Fréquent : nausée, diarrhée, constipation, douleur abdominale haute * Affections de la peau et du tissu sous-cutané : Fréquent : hyperhidrose Peu fréquent : eczéma Rare : rash érythémateux Fréquence inconnue : prurit * Affections musculo-squelettiques et systémiques : Fréquent : douleur dorsale Troubles généraux et anomalies au site d'administration : Fréquent : fatigue * Affections hépatobiliaires :

Dr J.Y. MAIGNE - Service de Médecine Orthopédique Hotel-Dieu -75005 PARIS L 'origine discale d'une majorité de lombalgies communes est un fait bien établi qui ne reflète cependant pas la diversité des situations cliniques. La présentation des douleurs lombaires diffère pourtant d'un malade à l'autre, qu'il s'agisse de la topographie, de l'intensité, de l'horaire, du mode de survenue, des données de l'examen et des radiographies. Nous proposons d'envisager les différents composants du disque

le patient et identifier : un trouble de la marche et de la stabilité, un trouble de la posture pour prévoir des aménagements de l’environnement, les conditions de déplacements, les impacts sur l’autonomie ➢ Evaluer la douleur du patient crampes souvent présentes, douleur en lien avec des déformations articulaires Contribuer au maintient de l’autonomie du patient  Travail en équipe pluridisciplinaire Le système neurovégétatif, c'est-à-dire celui qui régit l'activité des viscères

corps. * Première catégorie les forces réactives R appliquées en O qui expriment la résistance de la partie inférieure du corps aux forces exercées sur la colonne * Deuxième type, les forces réactives nets du bassin à la pression intra-abdominale (Fpia) → contraction diaphragme * Enfin les forces musculaires Fm qui vont croisées la CLS par les muscles. On a donc 5 grands types de forces qui s'appliquent en O. La force développée par chaque muscle va être dirigée selon la direction

II- Les accidents de l’appareil locomoteur. Questions : 1. Indiquez les signes qui permettent de diagnostiquer les accidents musculaires. La personne qui subit un accident musculaire est immédiatement informée grâce à la douleur qui agit comme un signal d’alarme. La réalisation de tout mouvement peut, par la suite, être très douloureuse voir impossible, et la région atteinte peut enflée ou voir apparaître une ecchymose. 2. Définissez le terme d’entorse et montrer