Doute Rationnel

le vice-consul, regardez comme il reste tard. On pense : Il lui fallait voir Lahore pour être sûr de Lahore ? Ah ! il tenait à cette ville un langage cruel. Ne rien lui dire, pense Charles Rossett, rester sur ses gardes. Il n’a sans doute pas encore vu Michael Richard, d’ailleurs, quelle importance ? Que voit-il ? Elle, on dirait, elle seulement. - J’ai envie de champagne, dit Charles Rossett, depuis que je suis ici, je bois trop… On pense à lui en termes d’interrogatoire :

……..il alluma sa bougie afin d’aller boire un verre d’eau fraîche au filtre de la cuisine.». Le plan : I- le doute de pierre. a- le début du doute. b- L’analyse psychologique de sa mère, et des femmes en général, poussée par ce doute. c- La souffrance causée par ce doute. La production : Dans cet extrait se révèle le doute de Pierre envers sa mère. Ce doute qui entraînera une forte souffrance. Pierre, frappé par les remarques des gens à propos du sujet de l’héritage de

Le fait d'être convaincu (l'intensité subjective d'une conviction) montre sans doute qu'on n'arrive ni à douter ni à penser différemment - mais il ne prouve pas que l'on a raison de n'y pas arriver ! L'évidence ou la certitude sont des sentiments, des états mentaux de fait. « La certitude qu'il y a des certitudes de droit n'est jamais qu'une certitude de fait », conclut Marcel Conche 5, ajoutant que lorsque le philosophe « prétend parler des choses, il ne fait que parler de lui-même » : il ne dit

: - en mettant en parallèle la raison et la grâce, tout en affirmant la prédominance de la raison, Dumarsais laisse entendre que philosophie et christianisme s'excluent => problèmes avec les Jésuites et la censure - affirmation de la valeur du doute : « il sait demeurer indéterminé » : telle est sa réponse à l'appel à la foi où le mystère subsiste. II/ Les valeurs du philosophe et son rapport au monde : a) Le philosophe n'a pas recours à Dieu : - comparaison de la raison et le philosophe

antipodes de la notre et enfin, prendre le temps de s'intégrer à son équipe et d'acquérir auprès d'elle les connaissances et pratiques nécessaires à l'enquête de terrain au Japon. Le pire est que, malgré cela, n'étant pas natif, il subsistera sans doute à jamais un risque de mal-interprétation de la langue. Malgré tout, l'enjeu de cette méthode est primordiale pour garder un oeil sur les évolutions constantes des sociétés, et afin de ne pas tarir en informations, risquant ainsi de retomber dans

permettra d’apporter une réponse à la question: puis-je me connaître totalement et parfaitement, en toute transparence? Descartes a dit « cogito ergo sum » ; « je pense donc je suis » pour en arriver à cette conclusion il a appliqué la méthode du doute qui consiste à douter de tout pour arriver à une vérité absolue, indubitable. Il a donc commencé à douter de ses sens car ils pouvaient se révéler trompeur, il douta de son corps et en arriva même à douter des mathématiques. À force de douter de tout

été débattu mais aussi dans la volonté de Perdican de réduire et assécher le discours de Camille. • Les questions, le questionnement systématique et rhétorique est très appuyé (Camille faisait pareil dans la première partie). Le but est de semer le doute dans l’esprit de la jeune fille « e-tu sure que .. ? ». L’anaphore se transforme en « sais-tu ». L’élargissement de la prise de parole de Perdican est très visible : ça laisse à Camille la « portion congrue » alors que juste avant c’était elle qui

assistera donc, dans cette scène VI, à un échange basé sur une situation d’énonciation complexe. Tout d’abord, Britannicus n’étant pas aux aguets, va s’inonder de sa joie retrouvée et de son amour pour Junie. Mais sa pensée va se teinter de doute devant l’accueil froid que lui réserve sa dulcinée. Le champ lexical de la proximité et de la vue, très présent, accentue fortement l’expression de désir semblable à l’obsession dont fait preuve Britannicus (« quel bonheur me rapproche de vous …»)

fureur dogmatique dont les prêtres et les hommes politiques se sont rendus coupables tout au long de l'Histoire. Pas un massacre, en effet, qui, jusqu'à nos jours, n'ait répondu à quelque obsession d'imposer sa norme, sa race, sa religion. On peut sans doute convenir avec Cavanna qu' "un croyant ne peut être qu'intolérant" et, avec Cioran, que "sous les résolutions fermes se cache un poignard". Pourtant, si redoutable que soit ce dernier argument, n'est-il pas possible de plaider pour la certitude ? D'abord

(® endoctrinement = perte des libertés). · Il se pose des questions (33-44) notamment sur le problème de la communication : « convaincre » (32, 35) ; « parler » (35, 37) ; « comprendre » (doute sur la force de la parole, cad aussi l’endoctrinement...) ® la communication étant impossible, il bascule et doute de sa propre condition humaine: « n'ont ils pas raison? ». · Il va vers le milieu de la salle pour s'éloigner encore des murs, et pour se rassurer, il se regarde dans la glace, vérifie ses