Doutons Meme Du Doute

Philosophie Dissertation : Le doute nous libère-t-il de l'ignorance ? « L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit. », Aristote. Depuis toujours les Hommes ont douté. Personne ne peut affirmer n'avoir jamais douté au moins une fois dans sa vie. Mais face à ce doute inévitable dans la vie, la question de sa cause, de ses origines peut être utile, ou encore plus pertinent, la question de son but. Pourquoi, dans quel but doutons-nous ? Le fait de douter nous apporte-t-il

personne en qui on avait mis sa confiance. Mais qu’advient-il lorsque ce doute s’étend sur tout, lorsque que l'on est méfiant de tout ? Un tel doute n’est-il pas déraisonnable ? Douter, c’est remettre en question, considérer comme incertain, refuser de tenir quelque chose pour absolument vrai. Le doute s’oppose à la certitude, nous ne pouvons nous dire certain de quelque chose qu’à condition de l'avoir soumis au test du doute. On comprend alors pourquoi la question de douter de tout peut se poser

bénéfique et positif, de s'interroger sur soi-même : d'utiliser notre capacité de réflexion et d'analyse en ce qui nous concerne pour juger nos actes. C’est ainsi qu’une première partie sera consacrée à une réponse affirmative à la problématique : Oui, il est bon de réfléchir à soi même. Nous poursuivrons ensuite, en réfutant cette même réponse. Enfin, nous synthétiserons ces deux avis avant de conclure. Thèse : [Réfléchir à soi même est sage, car cela implique une certaine

vrai et évident, ne prendre que les idées claires et distinctes. Le deuxième est que justement ce qui est complexe devient clair et distinct lorsque nous déduisons les difficultés. Le troisième nous dit de partir des idées simples, celles dont le doute n'existe plus, pour aller de plus en plus dans les idées complexes. Et dans le quatrième, nous devons recommencer l'analyse, le découpage, revérifier pour ne rien oublier, déconstruire pour reconstruire, pour bien voir si nous n'avons rien omis. Les

faire fort, par nous même, à jamais, mais que tout viendra de ce à quoi nous nous vouons aussi longtemps que nous nous y vouerons. L’humilité envoie donc à toutes les grandeurs de l’humain, elle est le sel que nous consommons en commun qui conserve le reste et sans qui rien n’aurait de gout. Humble venant du mot Humus : la terre d’où nous sommes tous issus et ou nous retournerons tous, faisons donc ce voyage vers elle avant qu’on nous y invite, tous faisons preuve d’humilité même à son égard, renonçons

intolérable, il aperçoit au loin une oasis. A bout de forces, il s’y dirige pourtant précipitamment. Il se rend très vite compte que l’oasis n’était qu’un mirage. Nos sens, en tant qu’ils nous permettent de percevoir le monde peuvent nous tromper, quand bien même ils soient criants de vérité. Il est alors aisé de dire que ce ne sont pas nos sens qui nous ont trompés mais bien les conditions extrêmes du désert qui, pour telle ou telle raison physiques ont faussé la vision que l’on avait de lui. Certes, mais

1. Que pour examiner la vérité il est besoin, une fois en sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut. Comme nous avons été enfants avant que d’être hommes et que nous avons jugé tantôt bien et tantôt mal des choses qui se sont présentées à nos sens lorsque nous n’avions pas encore l’usage entier de notre raison, plusieurs jugements ainsi précipités nous empêchent de parvenir à la connaissance de la vérité, et nous préviennent de telle sorte qu’il n’y a point d’apparence

consciente. Par lequel l’individu peut concevoir d’apprendre et de créer ce qu’il veut être. L’être humain est sujet conscient capable de penser par lui même et de faire ses propres choix. Mais selon Rimbaud et Nietzsche, «Je est un autre». C’est la où ce trouve le paradoxe, l’homme serait libre de faire ces propres choix et de penser par lui même, mais autrui interviendrai dans la décision de ses choix. Alors l’homme ne serai donc pas capable de penser de façon autonome. C’est la où nous nous devons

être moi même immédiatement, être conscient de ce que je suis ? » Premièrement, nous expliquerons le texte de Alain puis, deuxièmement nous débâterons sur celui-ci. Tout d’abord, expliquons l’extrait du texte d’Alain, en relevant les thèmes qui permettront l’avancé d’une compréhension de la ou des thèse(s). L’auteur débute cet extrait avec un exemple concret c’est le sommeil, et révèle la complexité qu’il y a avec la conscience. L’exemple du dormeur qui dans son sommeil est lui-même, il rêve

avons donc besoin de savoir la vérité dans le but de croire en la fiabilité de la personne. D’une part, la vérité semble être très importante dans le sentiment de confiance en quelqu’un. Elle permet d’accorder une fiabilité et d’empêcher le doute. D’autre part, la confiance nous permet de croire en quelqu’un et donc d’avoir confiance en lui/elle. Le fait de dire ce que l’on pense, d’être honnête avec une autre personne de façon réciproque permet d’instaurer une relation de confiance. Or