Doxographe

fondateur de l'atomisme ; plus tard Épicure s'attribua injustement l'ouvrage de Démocrite à propos de l'atomisme[1]. Ses contributions exactes sont difficiles à démêler de son mentor Leucippe car ils sont souvent mentionnés ensemble dans les textes des doxographes. Leurs spéculations sur les atomes se rapprochent de la compréhension du XIXe siècle de la structure atomique qui a conduit certains à considérer Démocrite comme le plus scientifique des philosophes grecs, mais leurs idées reposaient sur des bases

compare cette révolution dite intellectuelle est bien plus importante à la découverte de la route par le fameux cap et nous dit que l'histoire de l'homme qui eut le bonheur de l'accomplir n'est pas parvenu jusqu'à nous. Diogène est un un poète et un doxographe, mais On ne sait que peu de choses sur lui, le fait est d'autant plus paradoxal qu'il représente souvent l'unique source que nous ayons sur la vie et les doctrines de nombreux philosophes. C'est par exemple uniquement par lui que nous connaissons

« Un garçon, on l'élève toujours, même si on est pauvre ; une fille, on l'expose, même si on est riche. ». Dur constat que celui de Jean de Stobée (doxographe et compilateur byzantin du Veme siècle après J.C) afin de caractériser le statut de l'homme et de la femme dans la Grèce antique! A l'époque mieux valait naitre homme que femme. Les premiers apprenaient les choses de la guerre et in fine défendait la Cité, centre politique, culturel et social autour duquel se structurait l'individu, alors

disciples ? Il y avait un champ de fèves. Pour éviter de piétiner les fèves, Il fut tué par les gens d’Agrigente à un carrefour. DIOGÈNE LAËRCE, VIE ET DOCTRINE DES PHILOSOPHES ILLUSTRES,+- IIIÈME SIÈCLE Diogène LAËRCE (+/- IIIème siècle) : Doxographe grec Deux leçons philosophiques doivent être tirées de cette anecdote : 1. Tout d’abord le respect de la règle est plus important que la vie per- sonnelle. 22. Ensuite la règle est contraignante, pas tant au moment où l’on s’en- gage à

homme austère, peu bavard, mais facile à vivre, et sachant se donner parfois du bon temps, dans les limites de la convenance. «L'homme a deux oreilles et une seule langue, pour écouter deux fois plus qu'il ne parle». Diogène Laërce : poète et doxographe grec (Laërce, Cilicie, déb. du IIIe siècle après J.-C). On ne sait que peu de choses sur Diogène Laërce. Le fait est d'autant plus paradoxal qu'il représente souvent l'unique source que nous ayons sur la vie et les doctrines de nombreux philosophes

théorie du jugement prédicatif, systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce...). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes2. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la

théorie du jugement prédicatif, systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes. Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce...). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes[2]. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de

temps qu'elle en précise les conditions. Avec la Lettre à Hérodote et la Lettre à Pythoclès, la Lettre à Ménécée fait partie des rares textes d'Épicure qui sont parvenus jusqu'aux modernes Présentation Le texte de la Lettre nous parvient grâce au doxographe Diogène Laërce, qui le retranscrit au livre X de ses Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres. Consacré à Épicure, le livre X de Laërce reproduit également deux autres lettres, et un ensemble de 40 maximes dites « capitales ». Jusqu'à

théorie du jugement prédicatif, systématisa l'usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes.Son œuvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce...). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes2. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la

Son uvre comporte très peu de détails biographiques. De même, il n’existe guère de témoignages contemporains qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce...). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes.[1] Son époque est marquée par le renouveau de l’empire macédonien et le déclin de l’influence de la démocratie athénienne. Aristote est né en -384 en Macédoine, à Stagire (d'où son surnom : le Stagirite)