Dragon rouge

Leur contrée pouvait semblé être idyllique; le roi participait beaucoup au confort de ses sujets. Il était apprécié de la majorité de cette paisible cité éloignée du reste du monde par une épaisse forêt, où vivait de dangereuses créatures tel le dragon aux yeux de braises ardentes traversant la campagne dans un fracas de tonnerre et d'étincelles, terrifiant toutes personnes aux alentours .Voulant protéger son royaume le roi décida la mise à mort de la créature d'un appétit sans fin , il avait réuni

mythologiques.Dans un premier temps, je vais situer Ovide et son œuvre dans son contexte ainsi que développer brièvement les interprétations données à ce livre énormément commenté.Ensuite, je me focaliserai sur un passage de cette œuvre à savoir Cadmus et le dragon .Confrontant cet épisode à des œuvres ultérieures et contemporaines, je tâcherai de montrer l'influence ovidienne sur ces productions. B.Contexte de l'écriture des Métamorphoses, Sens de l’œuvre a Contexte de l'écriture Lorqu'Ovide s'attelle à

histoires d’adolescent ordinaire, et qui tout d’un coup se transforme en magicien ,comme dans Harry Potter à l’école des sorciers, ou en dompteur de dragons, comme dans Eragon (malgré que le héros soit un peu plus vieux) .Dans Eragon, le héros est au début du roman n’est qu’un simple fermier .Mais un jour il trouve un œuf de dragon et deviens un dompteur de dragons .Bien sur c’est un univers fantastique, qui n’existe pas, mais si on s’identifie au personnage de départ, un jeune homme d’environ dix-sept ans

s’engage dans un combat surhumain avec le géant Morholt, qui terrifiait le royaume de Cornouailles. Il a demandé à son oncle de le faire chevalier pour affronter Morholt, qui n’est autre que l’oncle d’Iseut. Sans oublier, bien entendu, son duel avec le dragon d’Irlande qui faillit lui coûter la vie. Tristan reflète aussi l l’une des plus grandes vertus de la chevalerie : l’humilité, l’ennemi de l’orgueil par conséquent, du roi. En effet, ce qu’il recherche n’est pas la gloire à tout prix, contrairement

cœur pour tuer ces fantômes. Deux personnages de l'Europe de l'Est, ont servi de modèle à Bram Stocker pour son roman Dracula : Erzebeth Bathory et Vlad Teppes dit Dracula. Le mythe de Dracula Dracula viendrait du nom latin draco qui veut dire dragon ou diable ou encore du mot slave drakol qui signifie pieu ou pal.Durant son enfance, Vlad Tepes dit Dracula, fut pris en otage par les Turcs qui faisaient pression sur son père Vlad II, alors sur le trône de Valachie.Une fois au pouvoir, il dut constamment

coupé en deux moitiés par une césure à l'hémistiche. d) Un homme qui doit affronter un monde surnaturel, fantastique. Le monstre : "Son front large est armé de cornes menaçantes, Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes, Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux. Ses longs mugissements font trembler le rivage." "Se roule, et leur présente une gueule enflammée, Qui les couvre de feu, de sang et de fumée." 3 Réflexion personnelle : Quels détails font

blessure au fond d’un lac. Boewult devint un héros. Pour se venger, la mère de la créature dévora deux autres gardes du palais du roi. Boewult en finit avec elle. Plus tard, il affrontera de nombreux dragons dont le cracheur de feu. Il périt peu après avoir distribué les richesses du dragon à son peuple.

passe sur scène pourrait se produire réellement. Ici, il y a tout de même quelques éléments appartenant au merveilleux comme le monstre marin qui sort des eaux au moment ou Hippolyte quitte la ville. Il est qualifié d’ « indomptable taureau » et de « dragon impétueux » en même temps d’où l’étrangeté du monstre qui nous amène à nous demander qui il est vraiment. Cependant, ce monstre aux allures surnaturelles est indirectement la cause de la mort d’Hippolyte. Mais, le fait que ses chevaux ne veulent plus

large est armé de cornes menaçantes ; / Tout son corps est couvert d’écailles jaunissantes » (v. 11-12). L’aspect monstrueux de la créature est exprimé par les métaphores qui empêchent de se représenter sa véritable apparence : « Indomptable taureau, dragon impétueux, / Sa croupe se recourbe en replis tortueux » (v. 13-14). Le dieu qui pique les chevaux pour les agiter est certainement Neptune, sollicité par Thésée. 6. Hippolyte est courageux : contrairement aux autres, qui fuient et se réfugient

dire que c'est à la fois un conte et à la fois une tragédie. On peut facilement retrouver dans ce roman médiéval les éléments fondamentaux de ces deux genres. Toutes les batailles mythiques auxquelles Tristan doit faire face, notamment celle face au dragon pour obtenir la main de la belle Iseut, nous montrent bel et bien que ce roman appartient au fantastique et peut être affilié à un conte. Le breuvage dont Iseut et Tristan vont être victimes, ainsi que lorsque Tristan est sauvé par une force semble-t-il