Drang nach Osten

pour ce notamment qu’il en veut à la France. D’après lui, les conquêtes et les extensions ne doivent se faire qu’en Europe « jetons nos regards sur l’Est » (ligne 42). C. Une expansion à l’Est : Hitler souhaite une expansion à l’Est « Drang nach osten » (marcher vers l’Est). Au Moyen-Âge, les chevaliers de l’ordre teutonique avaient organisé un État (actuel Pays-Bas), traduit l’envie d’Hitler de recréer cette marche, Hitler prend les chevaliers teutoniques comme exemple. Les allemands se doivent

internationales En Allemagne Certains théoriciens allemands (comme Karl Haushofer) avant et après le Troisième Reich, ont considéré cette théorie compatible avec leur vision en faveur du contrôle de la Mitteleuropa et de l'Ukraine manifesté par le slogan Drang nach Osten, ou « conduire vers l'Est ». (impliquant l'invasion -en réalité déraisonnable- de l'URSS en 1941 avec la volonté de contrôler les puits de pétrole du Caucase vers l'iran) Durant la guerre froide Mackinder identifia le « cauchemar géopolitique

Some influential Germans, such as Karl Haushofer both before and during the Third Reich, found this theory compatible with their desire to control Mitteleuropa and to take Ukraine. The intention to take the latter was indicated by the slogan Drang nach Osten, or "drive to the east". In the western powers, Mackinder identified the geopolitical nightmare that was to haunt the world's two sea powers during the first half of the 20thcentury — Great Britain and later on the United States. The nightmare

la Russie et enfin à l’Allemagne. Les progrès rapides de l’industrialisation dans ce pays depuis 1871 et, en conséquence, le développement plus rapide encore de son commerce menaçaient de plus en plus l’hégémonie britannique dans le monde. Le Drang nach Osten, expression de l’expansionnisme économique allemand à l’est de l’Europe et au Proche-Orient (Empire ottoman), était considéré par la Russie comme une menace pour ses intérêts politiques et économiques. Les Turcs, quant à eux, s’inquiétaient des

rapports de force entre puissances. Deux zones d’expansion s’ouvrent aux intérêts allemands au début du XXème centrale : l’Europe centrale, où se sont installées au fil des siècles de nombreuses communautés allemandes, ce qui justifie un « Drang nach osten » (poussée vers l’est) et ce qui correspondait à la construction d’une puissance continentale ; ou l’expansion coloniale, qui apparaît indispensable à la construction d’une puissance internationale capable de rivaliser avec le Royaume Uni

rien de naturel. En France ce mouvement est resté purement régional et même local, les paysans français qui quittent leur village demeurent généralement dans leur région géographique. En Allemagne en revanche c’est développé un mouvement, le drang nach osten (la poussée ver l’est), qui a amené des déplacements de population sur plus de 1000km. Les territoires slaves ont été conquis et vidés par le massacre des indigènes et repeuplés par les seigneurs germaniques avec le surplus des habitants des

Europe : la CEE rebaptisée Union Européenne (UE) n'est qu'une partie de la zone géograpgique, aux limites d'ailleurs incertaines, désignée comme Europe. Rien ne permet de penser que l'écart entre ces deux notions disparaîtra jamais, même si le Drang nach Osten  [67] des limites européennes prend fin, car il restera (durablement ?) des Norvège et des Suisse pour refuser cet amalgame. Toujours est-il qu'en 2005, l'Europe demeure une partie très mobile du nouveau système mondial qui s'édifie depuis 1989-90