Droit à la vie

Qu’est-ce qui caractérise le système de la Convention EDH ? Selon la logique du DI, qui est un droit interétatique, ce sont les Etats qui sont sujets du droit. L’individu ne dispose pas d’un droit d’action. Ex : un individu ne peut pas agir devant la CIJ. Mais en Europe, on reconnaît à l’individu un droit de recours devant une juridiction internationale : cela présente une certaine spécificité par rapport à la logique du DI classique. Dans la logique du DI, pour agir contre un Etat, il faut que

encore de nos jour cette image du surhomme nous est imposé à travers les médias et la publicité. On en vient donc à l’eugénisme qui est le contrôle de la reproduction dans le but d’améliorer les qualités de l’individu de la race humaine dans ce but d’un être humain idéal. Que ferions-nous si grâce au dépistage génétique nous pourrions découvrir les fœtus de maladies héréditaires très graves. L’État devrait-il obliger les mères de ces fœtus à se faire avorter? Nous allons donc regarder cette question

Comprendre l’actualité et y réagir : Anonymous appelle à la mobilisation, INDECT. Argumentation Suite à la lecture de l’article ‘Anonymous appelle à la mobilisation’, je souhaiterais donné mon avis sur la mise en place d’un projet tel qu’INDECT et sur le fait de savoir si il est juste d’empiéter sur la liberté personnelle des gens si c’est pour assurer leur sécurité. Je ne suis absolument pas d’accord avec la mise en place d’un projet tel qu’INDECT et je ne suis pas d’accord de sacrifié un peu

corrigé du compte rendu de « A common Dream » 1. le père d’Obama était un étudiant étranger né au Kenya 2. il a élevé des chèvres dans son enfance 3. il a grandi dans une cabane en tôle 4. le grand père d’Obama était cuisinier et domestique chez les Britanniques 5. le grand père avait des rèves pour son fils 6. le père a eu une bourse pour étudier en Amérique 7. ce fut un gage de liberté et d’opportunités 8. Pendant ses études le père d’Obama a rencontré sa femme (mère d’Obama)

criminels à nourrir. Contre : *l'article 3 de la déclaration des droits de l'homme : "tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne" *vivre avec la conscience entachée de son crime n'est-il pas une punition plus appropriée que d'en finir ? (C'est-à-dire si on croit que la mort éteint juste la sensation, le criminel exécuté n'aura pas l'occasion (la chance ?) de revenir sur son geste...Au contraire, on lui rend les choses plus faciles...) *Si on croit en la vie éternelle

Etape Adoption de la loi veil 1967 : 28 décembre Loi relative à la régulation des naissances, dite "loi Neuwirth", qui autorise la fabrication et l’importation de contraceptifs, leur vente exclusive en pharmacie sur ordonnance médicale, avec autorisation parentale pour les mineures, et qui interdit toute publicité commerciale ou propagande anti-nataliste. 1968 : 25 juillet Le Pape Paul VI publie l’encyclique Humanae vitae, qui réaffirme l’hostilité de l’église catholique aux méthodes de contraception

Le droit de l’animal Le statut juridique de l’animal est sujet à de nombreux débats, opposant la théorie de l’animal en tant que sujet de droit, de celle de l’animal en tant que simple objet de droit. Par définition, un sujet de droit est doté non seulement de droits, mais également d’obligations et de la capacité juridique. A l’inverse, un objet de droit ne possède aucun de ces éléments. Pendant longtemps, l’animal a été considéré comme un sujet de droit. Au Moyen-âge, de nombreux procès

Sur le plan européen, à défaut d’une disposition spécifique dans le texte de la Convention européenne des droits de l’Homme, la Cour EDH a comblé cette lacune dans sa jurisprudence. Selon elle, la dignité constitue “l’essence même de la Convention”34. Le juge européen en fait une notion prétorienne, un principe matériel de l’interprétation35. Les ordres juridiques nationaux soulignent aussi le respect de la dignité humaine. Ils n’apportent cependant pas plus de précisions à la définition de cette

HQ05-1244/LeMoyne En tant qu'êtres humains, les enfants ont des droits, mais ils ont aussi besoin d'une assistance et d'une protection spéciales. La mission de l'UNICEF est de défendre les droits des enfants, d'aider à répondre à leurs besoins essentiels et de leur donner davantage d'opportunités de s'épanouir pleinement. À cette fin, l'UNICEF s'appuie sur les dispositions et les principes de la Convention relative aux droits de l'enfant. S'inspirant de différents systèmes juridiques et traditions

l’interdit de donner la mort sans conséquences. Cet interdit fondamental, commun à toutes les civilisations, à toutes les cultures, ne peut faire l’objet d’aménagements sans repousser les limites de la transgression. Tout d’abord, aucun homme n’est jamais indigne. Face à certaines fins de vie, il faut peut-être parfois s’en convaincre mais un principe n’est jamais facile à tenir. Toute action sur la fin de vie devrait être fondée sur ce principe et non sur cette concession scandaleuse et littéralement