Droit Du Plus Fort Rousseau Contrat Social

Que doit-on à l’État ?L'ETAT L'état ne se confond pas avec la société au point d'avoir des intérêts différents,voire opposés. La conciliation des intérêts particuliers par  un pouvoir s'appuyant sur un droit universel et une force pour le faire respecter n'est pas une évidence et suppose que l'on ait, préalablement, admis la nécessité de cette forme d'autorité.En effet ,comme l’État apparaît comme l'institution chargée d'organiser la communauté et de prendre les grandes décisions qui engagent cette

Corrigés du BAC de Philosophie – Année 2012 FILIÈRE S Sujet 1 « Serions-nous plus libres sans l'État ? » L'État est une puissance institutionnelle politisée, mais placée à part de la société civile et qui permet d'instaurer un état de droit. Le sujet impose que l'on s'interroge sur la pertinence de l'opposition entre l'État et la liberté, car l'existence de l'État présuppose le consentement des individus et leur permet de vivre de façon raisonnable, dans la paix et la liberté. Dans

politique se fait dès le départ par un conflit avec 2 écoles qui se sont livrées une lutte mortelle: la 1ère est l'école des sophistes, càd des philosophes « exclus » qui ont donné une réponse à la question du politique qui dit qu'avec le politique, on est plus sûrs de rien. Comment pousser les individus à ne faire qu'un? Cela passe par l'art de la persuasion, dont les opposants aux sophistes les accusent de faire pour convaincre de leur philosophie. Les sophistes vont vite se réduire à devenir des professeurs

l’homme s’appartient d’autant plus à lui-même qu’il est plus gouverné par la raison, et en conséquence (voyez chap. III, art. 3) que l’état le plus puissant et qui s’appartient le plus à lui-même, c’est celui qui est fondé et dirigé par la raison. Or le meilleur système de conduite pour se conserver autant que possible étant celui qui se règle sur les commandements de la raison, il s’ensuit que tout ce que fait un homme ou un État en tant qu’il s’appartient le plus possible à lui-même, tout cela

philosophie) La philosophie est-elle un luxe ? (Philosophie) La philosophie pourrait-elle ignorer le corps ? Pouvez-vous m'aider a trouver quelques arguments sur l'inutilité et l'utilité de la philosophie ? (philosophie) "Les questions en philosophie sont plus essentielles que les réponses." (La philosophie) Que faire des philosophes ? (Philosophie) la philosophie est-elle inutile? Y a t-il quelque chose qui puisse valoir qu'on y sacrifie sa vie? (Philo) Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société

Dans la mesure où la loi du plus fort est acceptée par la majorité c'est à dire par la moitié plus une personne, la société sera démocratique. Mais peut-on accepter la loi de la majorité si l'on refuse la loi du plus fort ? La loi de la majorité doit-elle être systématiquement gouvernée par cette confrontation et ce rapport de force ? La question posée sous-entend que la majorité implique un rapport de force avec la minorité et que par conséquent c'est elle qui détient le pouvoir. Mais ne peut-on

monde utopique serait un monde ou chaque individu pourrait faire ce qu’il désir, sans contraintes, qu’elles soient politiques, sociales, ou même intérieures à nous même. Cependant, cette vision des choses est concrètement impossible. En effet, un certains nombre d’éléments nous empêchent quotidiennement d’être libres, et d’un certain point de vue, ce système est beaucoup plus adapté et surtout indispensable à notre bien être respectif. A l’inverse, on peut aussi citer, un certain nombre de concepts

NI DIEU NI MAITRE L'idéal anarchiste était de supprimer tout gouvernement. En effet, le pouvoir écrase l'individu qui perd sa liberté (sa capacité d'agir étant prise en charge par l'Etat) et sa singularité (chacun n'étant plus qu'un numéro dans l'ordre social). Enfin, le gouvernement mène à la division de l'humanité en deux classes : les gouvernants et les gouvernés (chair à canon lors de la dernière guerre mondiale ou consommateur chargé de faire augmenter la croissance et de maintenir

La notion d’Etat « Critiquer l’Etat, c’est ton droit ; mais n’oublie pas que l’Etat, c’est toi ! ». Ainsi, ce fameux proverbe Allemand insiste bien sur le caractère prééminent de l’Etat, et même si ce dernier diffère d’un pays à l’autre, tous ou pratiquement tout état reconnait en l’Etat même la place centrale guidant les intérêts de la Nation. En effet, l’Etat occupe une place centrale dans les relations juridiques, politiques et sociologiques. Déjà, dès l’antiquité avec les Grecs notamment

obtenu les droits revendiqués dans les pays où la démocratie n’est pas solidement installée, on pourrait croire que la lutte pour la liberté se résume à protéger les frontières de son pays, sans plus se poser de questions. Ce désintéressement, ou du moins cette ignorance, de l’étroitesse du lien entre la liberté et le travail est inquiétante, ne serait-ce que parce qu’ainsi des gens malintentionnés pourraient en tirer avantage. Déjà au 16ème siècle, Rousseau abordait ce dilemme. Un peu plus tard, soit