Drôle de drame

On pourrait emmener un élève de CE2 voir La Cité rose, il suffit de lui couvrir les yeux la moitié du temps. Ce drôle de film passe sans arrêt du récit enfantin à la chronique violente de la vie des cités périphériques françaises. Cette instabilité fait à la fois la faiblesse et la force du film. Faiblesse parce que les sautes de tension minent l'efficacité dramatique, force parce que la confrontation entre l'univers enfantin et la brutalité du quotidien des trafic apparaît pour ce qu'elle est :

sait supérieur aux personnage III/ La collusion entre Cie et Tie a) le drame romantique Drame = rapprochement Cie et Tie à travers l’alliance du sublime et du grotesque. Il va travailler à alterner ces deux visages de l’humanité ‘ex Hernani Dom Carlos est caché ds un placard) b) le théâtre moderne th moderne montre que le Cq est inhérent au Tq et inversement (« Rien n’est plus drole que le malheur » Beckett). Cette fusion vient du fait que la conception de l’aliénation de

une phrase ou un vers pour former à la fin une histoire. - Prévert accepte mal les exigences de Breton et quitte le mouvement en 1932. - Entre 1935 et 1945, il fait le scénario de plusieurs filmes français comme Le Crime de Monsieur Lange, Drôle de drame, Quai des brumes, Le Jour se lève, Les visiteurs du soir, Les Enfants du paradis et La bergère et le ramoneur. - A partir de 1935, ses poèmes sont mis en musiques par Joseph Kosma. - Il écrit des pièces de théâtre et des livres enfantins. -

vous dire non et pour mourir. » 2. Le pouvoir • Anouilh n'exalte pas la fonction politique. Selon lui, le pouvoir ne relève pas de l'ambition, c'est un métier : « Ce n'est même pas une aventure, c'est un métier pour tous les jours et pas toujours drôle, comme tous les métiers. Mais puisque je suis là pour le faire, je vais le faire », dit Créon à Antigone. • Il y faut cependant un certain courage : « Pour dire oui, il faut suer et retrousser ses manches, empoigner la vie à pleines mains et s'en mettre

dire non et pour mourir. » 2. Le pouvoir • Anouilh n’exalte pas la fonction politique. Selon lui, le pouvoir ne relève pas de l’ambition, c’est un métier : « Ce n’est même pas une aventure, c’est un métier pour tous les jours et pas toujours drôle, comme tous les métiers. Mais puisque je suis là pour le faire, je vais le faire », dit Créon à Antigone. • Il y faut cependant un certain courage : « Pour dire oui, il faut suer et retrousser ses manches, empoigner la vie à pleines mains et s’en

introduit immédiatement les différents psges présents sur scène et hors scène. - qui présente la situation de disgrâce de Salluste (vers 4) On notera enfin l'originalité de l'ouverture de ce drame : « classique » par certaines aspects, mais qui s'inscrit résolument dans la forme révolutionnaire du drame romantique, exposée par Victor Hugo dans la préface de Cromwell. I. Une exposition dynamique A. Présentation des personnages La scène 1 permet de présenter les psges :  3 protagonistes

hyperbolique = traduit la violence, souffrances endurées par la Clotte voir sacrifice que revêt cette mort. -Outrages Clotte (au long du chapitre) = martyre -Comparaison « Comme une branche de bois née dans le feu » = Dernière heure de la Clotte, drame qui l’a comme déshumanisée et chosifiée. = Récit bien dramatique avec une grande force émotionnelle. Attitude + propos de l’Abbé = théâtralisation scène. -« Comme la première fois » pour décrire la descente de cheval = geste donne gravité +

être heureux Chassez de votre esprit tous vos soucis Prenez la vie du bon côté Riez, sautez, dansez, chantez Et vous serez un ours très bien léché ! Cueillir une banane, oui Ça se fait sans astuce Mowgli: Aïe ! Baloo: Mais c'est tout un drame Si c'est un cactus Si vous chipez des fruits sans épines Ce n'est pas la peine de faire attention Mais si le fruit de vos rapines Est tout plein d'épines C'est beaucoup moins bon ! Mowgli: Ooh... : Alors petit, as-tu compris ? : Oh oui

compris, ce roman de Sagan travaille sur le désir triangulaire et la relation oedipienne dont il constitue une subtile mise en scène croisée.   Le récit nous conduit de transgression mineure en transgression majeure à travers la conscience d’un drôle de petit animal, Cécile, narrateur et personnage principal, une jeune adolescente pour qui la rencontre avec le plaisir sera indissociable de la douleur : douleur qu’elle va subir et faire subir avec la même intensité et la même violence, rendant coup

personnages dévoilent aussi un certain aspect comique de la pièce. En effet, les valeurs dépassées de Madame Pernelle, par exemple, montrent un personnage niais et naïf qui ne sait pas s’adapter aux nouveautés. La sottise de Madame Pernelle est très drôle car montre exagérément un réel conservatisme en vigueur à l’époque. Quant au principal antagoniste de l’histoire, Tartuffe, fait rire car son caractère, de prime abord pieux, révèle en fin de compte un personnage plutôt stupide et persuadé de son