Drôle de réveil !

l’y mettre. Quelqu’un vient justement de lui vider la poche en faisant la génuflexion, et le premier jour, il n’a pu s’empêcher de se rassurer avec un reste d’humour de collégien : on ne pouvait pas lui faire les poches, puisqu’il n’en avait plus. Drôle de chose encore que la sonde, placée avec un sparadrap sur sa hanche, et sa bulle d’air qui parfois remonte, selon l’humeur du moment, puis redescend un peu comme à regret. Mais il sait déjà que dans quelque temps, il se sondera tout seul. Pourquoi 

 pour  trois  semaines   de  guerre,  puisqu’on  lui  avait  dit  qu’on  leur    mettrait  la  pâtée  en  trois  semaines,   aux  Allemands.  Ce  gros  communiant  qui  sen-­‐    tait  un  drôle  de  vin  de  messe   s’installa  à  côté  de  moi  pour  ne  plus  me  quitter  des    yeux.    Le  petit  train  s’est   ébroué,  en  route  pour  Libourne  et,  de  là,  Paris.  Dans

Résumé par chapitre Chapitre I MATIN. Angelo se réveille, soif de café, il poursuit sa route à cheval et rencontre une femme près de sa maison dans la vallée qui lui en offre. Il veut la payer mais elle refuse. Il repart le ventre plein avec l’indication de la route pour Banon. Il fait chaud et sec dehors. Plus loin il a soif, il tombe sur une fontaine près d’un très petit monastère. Il suit le chemin et fait face à une auberge. Il fait la connaissance du propriétaire (ancien soldat). Ils déjeunent

jours. Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J’étais bien plus isolé qu’un naufragé sur un radeau au milieu de l’Océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m’a réveillé. Elle disait : – S’il vous plaît… dessine-moi un mouton ! – Hein ! – Dessine-moi un mouton… J’ai sauté sur mes pieds comme si j’avais été frappé par la foudre. J’ai bien frotté mes yeux. J’ai bien regardé. Et j’ai vu un petit bonhomme

Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J’étais bien plus isolé qu’un nau- fragé sur un radeau au milieu de l’Océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m’a réveillé. Elle disait : – S’il vous plaît… dessine-moi un mouton ! – Hein ! – Dessine-moi un mouton… J’ai sauté sur mes pieds comme si j’avais été frappé par la foudre. J’ai bien frotté mes yeux. J’ai bien regardé. Et j’ai vu un

- MAIS QUE CE PASSE-T-iL ? Si c’est une blague, ce n’est vraiment pas drôle ! - Ce n’est pas une blague. Maintenant je t’explique. Je suis Diablo comme je t’ai dis. Tous les 6 du mois, le diable se réincarne dans la commode que tu as acheté. Comprends-tu ? - … - Ne raccroche pas. - Non, répondis-je avec une toute petite voix. - D’une minute à l’autre, le diable va se réveiller. Lorsque le diable n’est pas présent dans cette commode, il est avec nous, en

carottes. Et son cheval à finances qui mourait de faim ; il ne voyait pas souvent d’avoine, le pauvre diable. Ah ! la bonne histoire. Mais hélas ! j’ai perdu mon trésor ! Il est à Varsovie, ira le chercher qui le voudra. Père Ubu (commençant à se réveiller). — Attrapez la Mère Ubu, coupez les oneilles ! Mère Ubu. — Ah ! Dieu ! Où suis-je ? Je perds la tête. Ah ! non, Seigneur ! Grâce au Ciel j’entrevoi Monsieur le Père Ubu qui dort auprès de moi. Faisons la gentille. Eh bien, mon gros bonhomme

pour ce texte : La raison peut authentifier la foi (que la foi n’est pas absurde), la foi ouvre des horizons sur laquelle la raison peut réfléchir, ex : la création du monde. (Inutile de dire que cette phrase est importante à retenir, tiens c’est drôle, je viens de le dire …) Il y a contradiction ou non en ce qu’il croit et ce qu’il comprend. Et oui, les chemins de la foi chrétienne expriment par eux-mêmes une sorte d’exigence interne : la foi en la Parole de Dieu appelle et suscite un véritable

vieillotines » est l'une des dix nouvelles de l'œuvre Inconvenances écrit par Martine Roffinella et paru en 2004 ( éditions Phébus). Le titre de l'œuvre en dit déjà long sur son contenu, chaque nouvelle est employée à dire assez méchamment (et c'est pourtant drôle) l'horreur d'une société qui ne tient que sur la convention. Ainsi Martine Roffinella s'en prend à tout ce que la moralité tient pour le mieux sacré : les bébés (« serial infanticide »), la réussite sociale (« savoir vivre des gallinacés »), la mort

des « communautés » selon les centres d’intérêt, le métier, la situation familiale, etc. Comment donc, parmi tous ces sites, une petite plate-forme destinée à faire communiquer des étudiants, s’est retrouvée parmi les meilleures audiences du Web ? Drôle d’histoire que celle de Facebook. Débuts à HarvardTout commence à Harvard. Sur le campus de l’université, un étudiant, Mark Zuckerberg, aujourd’hui âgé de 23 ans, conçoit un site afin de faciliter les échanges avec ses amis. Le réseau grandit,