Drosophile

L'embryon libre – Implantation (nidation) – Gastrulation et annexes extra-embryonnaires – Placentation chez la souris – Position de l'embryon et du placenta dans l'utérus – Placentation – Placenta des mammifères Partie 6 – Le développement de la drosophile Partie 7 – Conclusions 1 Embryologie précoce – phénomènes moléculaires Partie 1 - Introduction et Rappels – Le contrôle de la transcription d'un gène eucaryote – Le promoteur basal permet l'initiation de la transcription – La transcription est

cloné fin 2001. • souris : 2002 • Six lapins, clonés en 2002 par l'INRA. • « Idaho Gem », « Utah Pioneer », « Idaho Star », trois mules, clonées en 2003. • daim : 2003 • « Prometa », une jument, clonée en 2003. • « Ralph », le rat, cloné en 2003 • drosophile : 2004 • « Little Nicky », en 2004, un chat, premier clone produit à but commercial. • Le docteur Hwang annonce avoir cloné la première cellule humaine, mais quelques mois plus tard il est obligé d'avouer la supercherie. • « Snuppy », un chien,

dominant Donc génotype des F1 : (J // v ) Le croisement s’est donc fait avec des lignées homozygotes : (v//v) x ( J // J ) L’étude du phénotype des F1 permet de déterminer si les allèles sont récessifs ou dominants. Autre exemple : croisement de drosophiles à ailes longues et à ailes vestigiales. Voir résultats dans le compte-rendu du TP Le croisement des F1 entre eux donne les résultats montrés dans le Tableau de croisement (Voir TP) b-) transmission de deux couples d'allèles (donc deux gènes)

• Six lapins, clonés en 2002 par l'INRA. • « Idaho Gem », « Utah Pioneer », « Idaho Star », trois mules, clonées en 2003. • daim : 2003 • « Prometa », une jument, clonée en 2003. • « Ralph », le rat, cloné en 2003 • drosophile : 2004 • « Little Nicky », en 2004, un chat, premier clone produit à but commercial. • Le docteur Hwang, annonce avoir cloné la première cellule humaine, mais quelques mois plus tard il est obligé d'avouer la supercherie. • « Snuppy »

gènes différents. 1) Brassage inter chromosomique pour des gènes indépendants mis en évidence grâce à l’équiprobabilité des gamètes produits par l’hétérozygote. TP : résultats de croisement concernant les gènes eb et vg chez la drosophile. Les caractères testés sont la longueur des ailes (allèles longue « L », et allèle vestigial « v » et la couleur du corps avec les allèles gris « G » et ébène « e ». on croise des individus de races pures : P1 [ailes

séquences terminales répétées et inversées. La transposase est une enzyme qui coupe de part et d’autre du transposon en se repérant aux RTI. Il y a ensuite une ligation de l’ADN pour combler le trou laissé. Le transposon est alors libre. Chez la drosophile, le transposon le plus utilisé est l’élément P, c’est un transposon à ADN. On sait reconnaitre l’élément P mais on ne sait pas où il va s’insérer. 2ème catégorie : transposon à ARN de type rétroviral Le transposon sera premièrement transcrit

perception de sa vieillesse ou de celle des autres est très variable et personnelle. La longévité maximale d'une espèce est la durée de vie maximale observée pour cette espèce. Elle varie fortement d'une espèce à l'autre, allant d’un mois chez la mouche drosophile, à 5,5 ans chez le rat et jusqu’à 300 ans chez les tortues. Dans l’espèce humaine, le record de longévité est de 122 ans (Jeanne Calment). L'espérance de vie est le nombre moyen d'années que peuvent espérer vivre les personnes d'une classe d'âge

gène du sommeil défectueux chez les mouches à fruits. Ce petit insecte, appelé aussi « mouche Drosophile », est très particulier puisqu’il présente des points de similitudes avec les Mammifères. Par exemple, cette mouche dort de 6 à 12 heures et une diminution de sommeil peut lui provoquer une baisse manifeste de concentration et d’activité. Ces chercheurs ont créé des mouches drosophiles mutantes qui dorment jusqu’{ 30% de moins que leurs cousines sans aucun signe de fatigue ni d’autres

ou des signaux chimiques On encapsule le noyau et on le place dans le cerveau des animaux  Empêche les neurones de se connecter avec l’extérieur  Capsule perméable aux substances chimiques Le rat retrouve un rythme comportemental normal Drosophile avec mutations génétiques : Rythmes biologiques anormaux (19h, 29h, pas de rythme) Le locus contenant cette mutation a été noté : Gène per. La protéine PER est fortement exprimée dans els cellules du noyau supra chiasmatique. Son expression suit

biologique simple (unicellulaire, symétrie radiaire) à un organisme complexe (pluricellulaire, souvent métamérisé, et construit en organes spécialisés). Elle utilise souvent des espèces modèles pour étudier les mécanismes de formation de l'organisme (la drosophile, le nématode Caenorhabditis elegans, le poisson zèbre, une plante du genre Arabidopsis) ; * la génétique médicale étudie l'hérédité des maladies génétiques humaines, leur ségrégation dans les familles de malades. Elle cherche à identifier par