Du ciel

j'étais fatigué. Je ne savais pas où j'étais, je ne savais pas où étaient les autres. M'avaient-ils abandonnés ? Soudain, le blizzard se dissipa et je me retrouvais dans une forêt délabrée en face d'un cimetière abandonné. Il faisait sombre et le ciel était encore couvert de la tempête. J'entendais des loups hurler au loin dans la forêt. Derrière des tombes renversées se trouvait une ruine d'un ancien bâtiment religieux, sans doute. J'avançais en hésitant vers cette lugubre structure. Soudain,

quoi bon vivre, étant l'ombre De cet ange qui s'enfuit ? A quoi bon, sous le ciel sombre, N'être plus que de la nuit ? Je suis la fleur des murailles Dont avril est le seul bien. Il suffit que tu t'en ailles Pour qu'il ne reste plus rien. Tu m'entoures d'Auréoles ; Te voir est mon seul souci. Il suffit que tu t'envoles Pour que je m'envole aussi. Si tu pars, mon front se penche ; Mon âme au ciel, son berceau, Fuira, dans ta main blanche Tu tiens ce sauvage oiseau.

dernier qu’il s’agit de voir plus clair. 2.a La nuit euphorique I Dans la première description, la nuit, objet de l’amour passionnée du sujet, est qualifiée de ténèbres, d’ « espace noir », de « noire immensité », « de grande ombre douce tombée du ciel », qui grandit et s’épaissit, qui « noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable, cache, efface, détruit les couleurs et les formes, étreint les maisons, les êtres et les monuments de son imperceptible toucher. » On le voit, la couleur

traverse les ardoises du toit, la voilà partie dans le ciel ! Maman grimpe au balcon pour la rattraper, trop tard ! Accourent les pompiers avec leur grande échelle qu’ils déplient plus haute que la tour Eiffel. Grimpe le sapeur jusqu’au dernier barreau tend la main… Trop tard ! Lily montait...montait…s’éloignait. « Oh qu’il fait froid ! » Elle frôla le soleil. « Hou, qu’il fait chaud » Quand tout à coup elle aperçoit l'Ourse dans le ciel, la grosse, la Grande Ourse ouvrant sa mâchoire à belles

- Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînéesLXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme

que les astérismes sont seulement des images crées par notre imagination. Ensuite il faut se poser la question pourquoi tous les peuples n’ont pas les mêmes signes astrologiques, si les signes de l’avenir sont visibles au ciel grâce aux astres. Car on ne vit tous sur le même ciel, non ? Les horoscopes ont comme base les astérismes et sont ainsi une construction très faible, qui prend sa source de notre fantasme. Deuxièmement il faut prévenir que l’Astrologie peut vraiment devenir dangereuse. Dans

Poème 50 : Le ciel brouillé Titre : peut être regard brouillé comme le ciel. Poème composé de 4 quatrains d’alexandrins. Rimes plates et masculines. Ce poème fut inspiré à Baudelaire par sa maîtresse, Marie Daubrun. Il fut séduit en particulier par ses yeux qui lui paraissaient mystérieux. Elle occupa dans sa vie une place difficile à cerner, car il oscilla entre la tendresse et la ferveur, l'animalité pure et l'adoration mystique. Source : www.comptoirlitteraire.comC’est le premier exemple

Dans la rue un pas retentit. La cloche n’a qu’un seul battant. Où va-t il le promeneur qui se rapproche lentement et s’arrête par instant ? Le voici devant la maison. J’entends son souffle derrière la porte. Je vois le ciel à travers la vitre. Je vois le ciel où les astres roulent sur l’arête des toits. C’est la grande Ourse ou Bételgeuse, c’est Vénus au ventre blanc, c’est Diane qui dégrafe sa tunique près d’une fontaine de lumière. Jamais lunes ni soleils ne roulèrent si loin

L'amoureuse Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre dans le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul Eluard, >, Capitale de la douleur,1926 Ed. Gallimard.

mère quelle que heures au paravent. Une fois arrivé au sommet des crêtes elle grimpa sur le rocher ou elle s’était assise cette après-midi et s’y allongea confortablement emmitouflé dans la couverture qu’elle avait emportée avec elle. Elle admirait le ciel emplit d’étoiles brillant de mille feux. Rassasiée de beauté elle se leva voulant regagner sa maisonnette elle s’engagea sur le sentier puis marcha, au bout de dix minutes elle trouva le chemin bien moins praticable qu’a son arriver puis au loin elle