Du Repentir Montaigne

journal est, pour Anne, une façon de se rassurer et d'exprimer tout ce qu'elle ressent. Pour d'autres, ilpréexiste une volonté de laisser une trace, pour soi ou la postérité, de chaque évènement notoire ou non. Les CONFESSIONS servent à exprimer le repenti de l'auteur, à confesser ses fautes et à comprendre comment ila évolué au fil du temps. Elles possèdent souvent une dimension religieuse. L'auteur peut s'adresser à Dieu. Oncitera Les Confessions de Saint Augustion ou de Jean-Jacques Rousseau.

Léon BRUNSCHVICG Membre de l’Institut (1869-1944) Descartes et Pascal lecteurs de Montaigne (1942) Éditions de la baconnière, Neuchâtel Un document produit en version numérique conjointement par Réjeanne Brunet-Toussaint, et Jean-Marc Simonet, bénévoles. Courriels: rtoussaint@aei.ca et jmsimonet@wanadoo.fr. Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration

LA1: « Les Cannibales » ; Les Essais; Montaigne ; fin XVIème siècle Les « cannibales » est un extrait des Essais de Montaigne, écrivain et philosophe français humaniste de la Renaissance. C’est en plein milieu des guerres de religions et de l’express° de l’Europe vers le nouveau monde que Montaigne écrit cet extrait. Dans ce passage des Essais, Montaigne montre la réalité des jugements et critique l’ethnocentrisme (tendance à privilégier les valeurs et les formes culturelles du groupe ethnique

Bohême, une princesse allemande à l’esprit mélancolique –elle appelle les lettres de Descartes son antidote à la mélancolie - et au corps souffrant de nombreux maux, des cures de « nonchalance », ce qui n’est pas sans nous rappeler ce que disait Montaigne dans ses Essais. « Je veux qu’on agisse, et qu’on allonge les offices de la vie tant qu’on peut, et que la mort me trouve plantant mes choux, mais nonchalant d’elle, et encore plus de mon jardin imparfait. » (Essais I, p. 150). Descartes conseillera

Léon Tolstoï. "Un rire sincère est un rayon de soleil dans une maison." - William Thackeray. "Qu'on me donne six heure pour couper un arbre, j'en passerai quatre à préparer ma hache." - Abraham Lincoln. "Je me suis souvent repenti d'avoir parlé, mais jamais de m'être tu." - Philippe de Commynes. "L'homme s'exerce dans le monde comme le couteau s'affûte sur la pierre." - Proverbe chinois. "Lorsque les hommes travaillent ensemble, les montagnes se changent en or." - Proverbe

souvent de « faux amis », qui peuvent laisser échapper l’occasion d’une lecture dépaysée et peut-être plus stimulante. C’est dès ce moment aussi que risquent d’entrer en jeu les stéréotypes culturels et les définitions convenues – le scepticisme de Montaigne, le bonheur de Stendhal, la modernité de Baudelaire, etc. – qui ne permettront pas toujours de rendre un compte exact du texte retenu. Le candidat doit donc, sans pour autant perdre de temps, lire attentivement les extraits qui lui sont proposés

classification générique dans la littérature. En créant des œuvres inclassables, certains auteurs montre le potentiel d’évolution de la littérature dont les limites sont mises à l’épreuve en permanence dans la recherche volontaire ou non de son essence. Montaigne dans ses Essais , dont la première édition paraît en 1580, fait son introspection, fait la première expérience du discours de soi. Cet ouvrage, qu’il dédie à sa « recherche du moi », à la question fondamentale du «  qui suis-je ? ». Texte inédit

edu/23517435/Annie_Ernaux_portrait_de_lauteure_en_sociologue_2010_Lycée Bertran de Born / l.de-la-tour@orange.fr 4 Duras, Un Barrage contre le Pacifique ; La Douleur Goethe, Les souffrances du jeune Werther (1774). Hugo, Les Contemplations Leiris, L’Age d’homme Montaigne, Essais, III, 2, « Du repentir » et autres extraits Perec, W ou Le Souvenir d’enfance Proust, A la Recherche du temps perdu (notamment Du côté de chez Swann) Rousseau, Les Confessions (1782) et Les Rêveries du promeneur solitaire (1782). Sarraute, Enfance

gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi. Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi ! Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard, Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge, Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !), Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! Présentation : Ce poème ne figurait pas dans la première édition des Fleurs du Mal (1857). Il fut publié dans la revue L'artiste du 15 octobre 1860 et

fonctions ou les honneurs derrière lesquels se cachent les hommes. La vérité d'un homme est en lui. Là est sa richesse. Là est sa force vraie." Martin Gray, Le livre de la vie. "Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul." Montaigne. "Ne te montre pas soupçonneux envers tout le monde, mais prudent et ferme." Démocrite, Les penseurs grecs avant Socrate. "Le désir de paraître habile empêche souvent de le devenir." La Rochefoucauld, Réflexions ou Sentences et Maximes morales