Du sang sur la neige

frissonne, l'herbe a froid. Août contre septembre lutte ; L'océan n'a plus d'alcyon ; Chaque jour perd une minute, Chaque aurore pleure un rayon. La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l'été fond. Victor Hugo (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) ____________________________________________________________ ________________________ Voici que la saison décline

voit les conditions de vie difficiles des soldats ( la neige le froid). Les couleurs froides utilisées par le peintre peuvent évoquer la tristesse de tous ces guerriers, comme si sa palette se composait de la terre, de la boue et de la poussière des tranchées. Peur: titre : La peur auteur : Gabriel Chevalier date:1930 Justification de ce choix : j'ai choisis ce livre car sur la couverture on aperçoit la couleur rouge du sang des soldats qui sont morts pendant la guerre de 14-18

fantômes, ces énormes machines à tuer appelées fantômes parce qu'elles n'ont plus d'existence légales officielle : les pavillons devenus vétustes, dangereux et polluants devraient être détruits pièce à pièce mais des armateurs assoiffés d'argent et de sang animal continuent leurs activités illégales et officieuses. Depuis un certain moment déjà l'organisation écologiste soupçonnait un bateau, le Nisshin Maru battant pavillon nippon de faire partie de ce qu'il faut bien appeler les nouveaux pirates de

rencontre l’Orgueilleux des Landes qui est en fureur contre Perceval car il avait embrassé la jeune fille dans la tante donc L’Orgueilleux des Landes défie le jeune chevalier qui gagne et le fait prisonnier. Cette nuit il neige, le matin une oie perd son sang qui tombe sur la neige et Perceval reste à la contempler car ça lui fait penser à Blanchefleur. Des chevaliers le dérange et essayent de le ramener, en vain. Keu qui se trouve là essaye de le ramener et se fait blesser par le jeune homme, puis

Qu'on ne recevait que des Blancs Elle a déchargé des cageots Lily Elle s'est tapé les sales boulots Lily Elle crie pour vendre des choux-fleurs Dans la rue ses frères de couleur L'accompagnent au marteau-piqueur Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily Elle se laissait plus prendre au piège Lily Elle trouvait ça très amusant Même s'il fallait serrer les dents Ils auraient été trop contents Elle aima un beau blond frisé Lily Qui était tout prêt à l'épouser Lily Mais la belle-famille lui

veille, et pas une miette depuis trente-six heures, une vraie danse devant le buffet ! Ce qu’elle savait, par exemple, ce qu’elle sentait sur son dos, c’était le temps de chien, un froid noir, un ciel barbouillé comme le cul d’une poêle, crevant d’une neige qui s’entêtait à ne pas tomber. Quand on a l’hiver et la faim dans les tripes, on peut serrer sa ceinture, ça ne vous nourrit guère. Peut-être, le soir, Coupeau rapporterait-il de l’argent. Il disait qu’il travaillait. Tout est possible, n’est-ce

au mot "outil" : "je me mis à travailler"... travail de mineur qui creuse non pour descendre, mais pour remonter. 7) "Enfin, je vis le jour"... "neige" : Chabert se retrouve à l'air libre et se rend compte qu'il est blessé à la tête à cause du contact avec la neige. "En ce moment, je m'aperçus que j'avais la tête ouverte. Par bonheur, mon sang, celui de mes camarades, ou la peau meurtrie de mon cheval peut-être , que sais-je, m'avait, en se coagulant, fait un emplâtre naturel." (p. 78) : image

avait compris. Puis, avant la mise en marche, il y eut un silence, les purgeurs furent ouverts, la vapeur siffla au ras du sol, en un jet assourdissant. Et il vit alors déborder du pont cette blancheur qui foisonnait, tourbillonnante comme un duvet de neige, envolée à travers les charpentes de fer. Tout un coin de l'espace en était blanchi, tandis que les fumées accrues de l'autre machine élargissaient leur voile noir. Derrière, s'étouffaient des sons prolongés de trompe, des cris de commandement, des

la décalcification des os. · Il en va de même pour l’immobilisation prolongée. L’alimentation trop riche par rapport à des dépenses énergétiques réduites a pour conséquence de favoriser la surcharge pondérale, l’accumulation de graisses dans le sang et les tissus, le diabète, l’hypertension artérielle, l’athérosclérose. · La fatigue musculaire fait place à la fatigue nerveuse, conduisant à l’usage d’excitants nocifs : tabac, alcool, café en excès. Le stress conduit à l’abus des tranquillisants

avait compris. Puis, avant la mise en marche, il y eut un silence, les purgeurs furent ouverts, la vapeur siffla au ras du sol, en un jet assourdissant. Et il vit alors déborder du pont cette blancheur qui foisonnait, tourbillonnante comme un duvet de neige, envolée à travers les charpentes de fer. Tout un coin de l’espace en était blanchi, tandis que les fumées accrues de l’autre machine élargissaient leur voile noir. Derrière, s’étouffaient des sons prolongés de trompe, des cris de commandement, des