Du silence et des ombres

encore leur vie pour leurs convictions, le désir de ne pas les trahir en "romançant" trop les faits et en même temps de travestir la réalité afin que ces personnes ne soient pas identifiées. Si Kessel cite certains membres de cette "armée des ombres" dont l'humanité est inattendue, le policier qui obéissait machinalement aux ordres, jusqu'à ce qu'une résistante le traite de "Boche", répondant qu'il n'en est pas un, elle lui lance "C'est encore pire!!!", ça lui ouvre les yeux et le fait rentrer

contraire du jour se sent le coeur serré. Quand l'oeil voit noir, l'esprit se trouble. Dans l'éclipse, dans la nuit, dans l'opacité fuligineuse, il y a l'anxiété, même pour les plus forts. Nul ne marche seul la nuit dans la forêt sans tremblement. Ombres et arbres, deux épaisseurs redoutables. Une réalité chimérique apparaît dans la profondeur indistincte. L'inconcevable s'ébauche à quelques pas de vous avec une netteté spectrale. On voit flotter, dans l'espace ou dans son propre cerveau, on ne sait

champ tout dans la meme scene, cela evoque plus une scene de roman. remarque la lumiere du coucher de soleil peut etre toutefois realise au theatre, c’est une lumiere appreciee des romantiques ( Musset ecrit la nuit de decembre) car elle cree des ombres mysterieuse. Un sujet commun: la degradation de l’etre humain et social dans la ville La mere et la tante de lorenzo analyse la metamorphose de Lorenzo en Lorenzaccio, elles dressent un portrait de lui en libertain insen sible et immoral. Les

J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nomSur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris

j'avais enterré maman » l.7 et cela, ajouté à « la brûlure du soleil » l.5 donne une sensation de gêne, d'indisposition. De plus, vient s'ajouter à ce pénible souvenir un trouble visuel dû à la chaleur qui crée des illusions d'optiques : « à cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire » l.4.5 « c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front » l.13.14. Ici, c'est la chaleur et la lumière qui donnent à Meursault l'impression d'être attaqué. Les mots « avait l'air » et « comme »

choses effrayantes partout. Elle essaie de s’échapper le plus vite possible de ce qui chemin qui l’amène à sa chambre. le thèmes de cette partie est la peur : champ lexical : ténèbres, nuit, mine, grandes ombres, profils effrayants, colonnes écroulés, bêtes accroupies, voleur à l’affût, silence lourd, tonnerre, effroi nocturne des églises, croix renversées, terreur, oeil clignotant, manœuvre étrange, la clé qui grinçait, bruit de massacre. On observe un deuxième champ lexical qui s’oppose au premier

respecter en partie certaines règles. Rimes des quatrains embrassées, avec alternance des rimes féminines et masc mais pas entre les quatrains avec 4 rimes au lieu des 2 traditionnelles. EL(e) - OA - IER 2 tercets avec rime suivie ER + 2 rimes embrassées OMBR(e) - IF Une typographie particulière met en valeur le dernier vers par une ligne de pointillé, ce dernier vers traditionnel est une chute, savamment orchestré, préparé dans le sonnet traditionnel. Sonnet en octosyllabes au lieu du décasyllabe ou

 André Durand présente ‘’Les rayons et les ombres’’ (1840) recueil de poèmes de Victor Hugo pour lequel on trouve ici les analyses de ‘’Fonction du poète’’ (page 3) ‘’Tristesse d’Olympio’’ (page 9) ‘’Oceano nox’’ (page 13) Bonne lecture ! “Fonction du poète” Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert Malheur à qui dit à ses frères Je retourne dans le désert ! Malheur à qui prend ses sandales Quand les haines et les scandales

profond ; mais non dénué d'humour et de fantaisie. Le poète en proie à des angoisses extrêmes • « Spleen », Baudelaire • « L'Horloge », BaudelaireMais poète qui possède un génie supérieur = voir ce que les autres ne voient pas « Les Rayons et Les Ombres », La fonction du poète, Victor Hugo Dieu le veut, dans les temps contraires. Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères Je retourne dans le désert ! Malheur à qui prend ses sandales Quand les haines et les scandales Tourmentent

J'ai regardé dans l'air et l'onde, Dans le feu clair et dans le vent, Dans toutes les splendeurs du monde, Afin d'apprendre à mieux te voir Dans toutes les ombres du soir. Afin d'apprendre à mieux t'entendre J'ai mis l'oreille à tous les sons, Ecouté toutes les chansons, Tous les murmures, et la danse De la clarté dans le silence. Afin d'apprendre comme on touche Ton sein qui frissonne ou ta bouche, Comme en un rêve, j'ai posé Sur l'eau qui brille, et la lumière, Ma main légère,