Dualité De Lorenzo

Mettez en evidence la dualité de Lorenzo la dualité du personnage Lorenzo parle de son enfance « j'étais beau, tranquille et vertueux » => il était un personnage verteux et intellectuel mais il ne l'est plus du fait d'un événement => il a grandi et juré de tuer un des tyrans de sa patrie « si mon apprentissage du vice pouvait s'évanouir », apprentissage fait référence à l'adolescence où Lorenzo, qui est jeune, à découvrir le monde dans lequel il vit depuis

un de ses thèmes de prédilection, présent dans la plupart de ses pièces, celui du masque. En effet, Lorenzaccio raconte l'histoire de Lorenzo, jeune homme épris de poésie et d'idéaux romantiques, qui décide de rétablir la république à Florence. Pour ce faire, il se rapproche du Duc, son cousin, qui règne en tyran sur Florence. Tout au long de la pièce, Lorenzo, renommé Lorenzaccio, jouera un double jeu auprès du Duc, devenant son compagnon de débauche et préparant en même temps son meurtre. La

Lorenzo est un personnage éponyme, c'est-à-dire que l'intrigue principal tournera autour de lui, qu'il sera le sujet principal de l'oeuvre, et dont les actes, la personnalité, pourront être plus ou moins complexes à analyser. Les différentes dénominations de Lorenzo ont-elles une signification ? Et donc, en quoi ces appellations reflètent-elles toute l'ambiguïté et le mystère du personnage principal ? En effet, Lorenzo aborde tout au long de la pièce différents surnoms qui indiquent sa multitude

familles : les Médicis et les Strozzi : autre tension possible La distribution reflète en outre la société dans sa globalité : le monde artistique est représenté par le peintre ; on note la présence de la bourgeoisie. Acte I Scène 1 : le Duc et Lorenzo + Giomo, écuyer du duc. Scène extérieure nuit. Présence de didascalies précisant le décor (influence du théâtre romantique), les costumes et les lumières. Effets d’ombres et de lumières (tableau en clair obscur) : mention du « clair de lune » et

Le personnage de Lorenzaccio Faiblesses et grandeur d’âme mêlées Personnage perdu * Ne croyant plus en aucun idéal Ayant formé des rêves trop grands pour l’humanité, Lorenzo est contraint à affronter un monde dénué de sens et rongé par le vice. Il ne croit désormais plus en aucun idéal, aux rêves qu’il contractait dans sa jeunesse. Rêvant d’être un bienfaiteur de l’humanité, « la liberté, la patrie, le bonheur des hommes » (III,3) nourrissaient ses projets. Toutefois, si la générosité

amoureux, Scapin/Brighella, le valet rusé…). Désormais, le héros romantique a, comme les héros shakespeariens dont il s’inspire, ses forces et ses faiblesses, comme n’importe quel homme. Cette complexité se manifeste notamment dans la dualité de l’être humain. Selon le christianisme, Dieu à fait l’homme à son image : il y aurait donc dans celui-ci une part de divin, et une part d’humain. Le divin correspond aux sentiments et préoccupations hautes, tandis que sous le terme « humain » sont

mise en scène du meurtre du duc par Lorenzo. Moment d’autant plus attendu que tout, depuis le début de la pièce, tend à converger vers cet acte ; vol de la cotte de mailles, entraînement aux armes de Lorenzo, annonce et justification de ce meurtre auprès de Philippe Strozzi… Il s’agit donc d’une meurtre prémédité à l’enjeu collectif ( délivrer Florence d’un tyran ) et individuel ( retrouver la pureté perdue ). Dans cette scène, il y a trois personnages : Lorenzo, le Duc et Scoronconcolo (le maître

L'action se déroule à Florence en janvier 1537. Le patricien florentin Lorenzo de Médicis[1], âgé de dix-neuf ans, jeune homme studieux, admirateur des héros de l'Antiquité latine et grecque, se voue à la restauration de la République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc Alexandre de Médicis, règne sur Florence en tyran avec l'appui du Saint-Empire et du pape[2] ; une garnison allemande assurant sa protection. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon

collision : l’une est pure et catholique, désireuse de laisser à la religion son caractère sacré, l’autre est pervertie et corrompue. Quatre personnages incarnent la première vision. Il y a tout d’abord Marie et Catherine, la mère et la tante de Lorenzo. Leurs noms mêmes montrent leur pureté et leur dévouement religieux : en effet, le prénom Marie est une référence directe à la Vierge Marie tandis que le prénom Catherine vient du même mot grec que « catharsis » et renvoie donc à la pureté. La marquise

C'est une scène étonnante après les multiples portraits que nous avons reçus de Lorenzo ( dont un fait par le cardinal Cibo. ) Cette scène renvoie à la scène 6 de l'Acte I, scène de déploration au cours de laquelle Marie ( la mère de Lorenzo ) se lamentait sur son fils dont elle avait appris la lâcheté. Elle nous avait ainsi livré l'enfance de Lorenzo, les projets, etc.. I) Une énigme qui se dévoile. o Lorenzo le cynique, une provocation référentielle à Tarquin le violeur > vise à chaques