Duc-d'Albe

fille d’Henri II (roi de France), doit épouser Don Carlos, fils de Philippe II d’Espagne. - Madame, sœur du roi, doit épouser le duc de Savoie. - Marie Tudor, reine d’Angleterre, meurt en novembre 1558. Elisabeth Tudor devient reine. Hiver 1559 - Projet de mariage entre Madame, sœur du roi avec le duc de Savoie - Février 1559 : Fiançailles de Claude de France et du duc de Lorraine. - Poursuite des négociations de paix avec l’Espagne à Cateau Cambrésis. Références historiques du premier récit

adopter. Il faut toute l'habileté de la reine mère pour convaincre le cardinal de Bourbon d’unir les époux. Par ailleurs, les rivalités entre les grandes familles réapparaissent. Les Guise ne sont pas prêts à laisser la place aux Montmorency. François, duc de Montmorency et gouverneur de Paris, ne parvient pas à contrôler les troubles urbains. Catholique et cousin germain de l’Amiral, il ne veut pas se trouver dans une situation inextricable. Cédant face au danger parisien, il préfère quitter la ville

faisant passer pour Homosexuel). Les Mignons d’Henry III : Ce sont les favoris du roi comme par exemple le Duc de Joyeuse et Nogaret de La Valette, duc d’Epernon. Ce dernier n’est pas un aristocrate, (s’il choisit un aristocrate, il serait classé dans le protestantisme ou dans les fanatiques de l’Église). En 1576 : 6ème guerre de Religions. En 1579 : 7ème guerre de Religions. En 1584 : Mort du Duc d’Alençon (frère d’Henry III). C’était le dernier à pouvoir régner après Henry III, qui lui n’a pas de

difficulté de cacher son amour (l. 697-752 ; « Comme il y avait déjà assez longtemps… »)La Princesse de Clèves fréquente à nouveau la Cour, et se montre incapable de dissimuler son trouble face à Nemours. Évocation de la rivalité entre Nemours et le Duc de Guise, toujours amoureux de la Princesse. Celle-ci cherche à savoir où en est le mariage entre Nemours et la Reine d’Angleterre (Elizabeth 1ère, fille d’Anne Boleyn et Henri VIII d’Angleterre). Dans votre journal de

le texte fait aussi référence. Citer p.173 « Un des plus grands efforts fut qu'elle consulta avec le Duc d'Albe des moyens de troubler ce royaume ». L'entrevue de Bayonne a lieu en entre Catherine de Médicis et Ferdinand Alvare de Tolède, duc d'Albe. Catherine de Médicis désirait revoir sa fille aînée, Élisabeth, mariée au roi d'Espagne, Philippe II. Mais celui-ci se fit représenter par le duc d'Albe. Il avait les instructions de Philippe II d'amener Catherine de Médicis à réprimer l'hérésie protestante

les magistrats catholiques de plusieurs villes et gouvernements, serviteurs de la maison de Guise, affectionnés à la religion romaine, faisaient du pis qu'ils pouvaient à ceux de la religion". Ici, Simon Goulard évoque clairement et nominativement le duc de Guise, fervant catholique et reconnu de tout les huguenots en tant qu'instiguateur dans la lutte contre le protestantisme. Cependant, en parlant de la paix d'Amboise, il oublie de mentionné que cette édit de pacification ne convient à personne et

tête. Refus d’idéalisation, analyse détaillée et impitoyable des particularités physiques et grand goût pour le rendu des étoffes (cf M. de Bougrelon). • Le cardinal Granvelle, 1549, Vienne • Marie Tudor, Prado, Madrid • Le Duc D’Albe, 1549, Hispanic Society, New-York B. la femme espagnole Fascination également dans le discours de Monsieur de Bougrelon pour la femme espagnole et toute la symbolique qui l’accompagne : les deux femmes que le dandy a connu, qu’il a

Le Portement de croix et Les Douze Mois). Des fanatiques religieux, les "iconoclastes", pillent les églises et les monastères. 1567 Le roi Philippe II envoie aux Pays-Bas le duc d'Albe accompagné de 60000 soldats. Marguerite de Parme se démet de ses fonctions de gouvernante. Le " Conseil des troubles " institué par le duc d'Albe condamne à mort 8000 "agitateurs" flamands. Arrestation des comtes d'Egmont et de Hoorne. 1568 Naissance du second fils Jan (baptisé plus tard "Bruegel de Velours"). Bruegel

(Musset) et Clytemnestre et Egisthe (Giraudoux), ne commettent pas leur crime pour les mêmes raisons. Chez Corneille, Horace a tué Curiace, un guerrier d’Albe par patriotisme pour Rome : « Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! ». Le meurtre de Lorenzo (Musset) n’a pas encore eu lieu. Il souhaite tuer le Duc afin de libérer Florence : « Le Duc de Florence […] est craint et détesté par tous les habitants de la ville ». Enfin, Clytemnestre et Egisthe assassinent le roi Agamemnon afin de prendre

doit sa fondation; c'est lui qui fit de Madrid la capitale des Espagne (1561). Il eut d'habiles généraux auxquels il dut quelques succès, entre autres don Juan d'Autriche, le vainqueur de Lépante (Le siècle de Soliman), le duc d'Albe, le duc de Parme (Alexandre Farnèse) et le duc de Savoie (Emmanuel Philibert). Il y a peu de princes dont on ait dit plus de bien et plus de mal. Les Catholiques l'ont peint comme un second Salomon; les Protestants comme un autre Tibère.