Duc De Nemours Description

permettent de les réaliser dans chacun de ses domaines (crayon, peinture à l’huile, à l’eau, pastels, instruments à gravure, mosaïque…). Même si les termes portraits photographiques, littéraires et cinématographiques se sont répandus pour désigner la description d’un individu dans les autres arts, nous conserverons l’acception initiale du portrait pour ne pas étendre trop largement le traitement du sujet. Le portrait décrit surtout une relation à autrui puisque l’individu autre est portraituré par un artiste

Il est écrit à l’époque du classicisme et il est considéré comme le 1er roman d’analyse psychologique. Ce roman raconte une histoire d’amour vu de l’intérieur, celle qui uni une femme, La Princesse de Clèves à un homme rencontré trop tard, le Duc de Nemours à qui elle ne se donnera jamais. Cet extrait donne un premier aperçu de Mme de Chartres, et évoque sa rencontre avec celui qui deviendra son mari, le Prince de Clèves. On remarque cependant qu’en travers de ce portrait et de cette rencontre apparait

sur ce point encore, hommes et femmes sont inégaux. Si la société accepte qu’un homme ait des relations adultères, elle le condamne pour une femme. Dans La Princesse de Montpensier, lors de la scène de la rivière, la princesse est courtisée par le duc d’Anjou : elle se doit alors de lui répondre avec la plus grande politesse, qu’elle ait envie ou non de le laisser monter dans sa barque. Pour représenter le séjour des deux hommes à Champigny, Bertrand Tavernier, dans son adaptation de la nouvelle

reprise par une beauté parfaite et la grande beauté. Elle est l’incarnation de la beauté. Sa description physique demeure très vague. On évoque seulement la blancheur de son teint, ses cheveux blonds, la régularité de ses traits. On insiste également sur sa jeunesse dans sa seizième année. Il n’y a donc aucun élément vraiment pittoresque dans la présentation qui est faite de l’héroïne. C’est une description stéréotypée. Mme de Lafayette, bien loin de tendre vers le réalisme, se plaît au contraire

reprise par une beauté parfaite et la grande beauté. Elle est l’incarnation de la beauté. Sa description physique demeure très vague. On évoque seulement la blancheur de son teint, ses cheveux blonds, la régularité de ses traits. On insiste également sur sa jeunesse dans sa seizième année. Il n’y a donc aucun élément vraiment pittoresque dans la présentation qui est faite de l’héroïne. C’est une description stéréotypée. Mme de Lafayette, bien loin de tendre vers le réalisme, se plaît au contraire

reprise par une beauté parfaite et la grande beauté. Elle est l’incarnation de la beauté. Sa description physique demeure très vague. On évoque seulement la blancheur de son teint, ses cheveux blonds, la régularité de ses traits. On insiste également sur sa jeunesse dans sa seizième année. Il n’y a donc aucun élément vraiment pittoresque dans la présentation qui est faite de l’héroïne. C’est une description stéréotypée. Mme de Lafayette, bien loin de tendre vers le réalisme, se plaît au contraire à

répétition ) - les gens les regardent comme si ils étaient sur scène - 1er paragraphe présentation d’elle puis de lui - 2ème paragraphe présentation d’eux - ils sont objet, ils ne décident de rien - scène muette - le dialogue : - Duc de Nemours : modeste et flatteur - la Dauphine : jalouse, elle est lucide et ne veut pas cautionner leur jeu - Mme de Clèves : avoue qu’elle est tombée sous le charme, une retenue => thème du regard pour la séduction ( double jeu, ils se regardent

révélée, il y a un mystère autour de son apparition. - Il y a également de nombreuses hyperboles « une beauté parfaite » (à la ligne 1), « tous des traits étaient réguliers » (à la ligne 38), ou « la grande beauté » (à la ligne 35), qui font de la description un éloge. - L’adverbe d’intensité « si » à la ligne 3 insiste sur le caractère exceptionnel de cette beauté - Beauté qui est presque stéréotypée, avec « les cheveux blonds » (à la ligne 37) ou « la blancheur de son teint » (à la ligne 36) b)

reprise par une beauté parfaite et la grande beauté. Elle est l’incarnation de la beauté. Sa description physique demeure très vague. On évoque seulement la blancheur de son teint, ses cheveux blonds, la régularité de ses traits. On insiste également sur sa jeunesse dans sa seizième année. Il n’y a donc aucun élément vraiment pittoresque dans la présentation qui est faite de l’héroïne. C’est une description stéréotypée. Mme de Lafayette, bien loin de tendre vers le réalisme, se plaît au contraire

mouvement très présent lors de la seconde moitié du siècle, il publie " L'éducation sentimentale " en 1869. Dans cet extrait , le protagoniste Frédéric Moreau contemple une femme à qui il vient de croiser le regard, faisant une description longue et détaillée de son physique, de ses moindres mouvements, et même des